Depuis les années 70, le secteur privé des pays du Golfe a compté sur la main-d'œuvre étrangère. Toutefois, comme le rapportent Arab Times et le Jerusalem Post, les expatriés s'en vont en masse, notamment à cause des effets de la pandémie, tant sur le secteur pétrolier que les secteurs non pétroliers, le manque de subventions pour les ressortissants étrangers et la nationalisation des emplois. Les plus touchés sont les expatriés de la classe moyenne qui reçoivent très rarement un soutien financier de leur employeur.