Enfants adoptée

tiana88 a écrit:

Cest C'est destinée a qui la fable Crusaders?
Je n ai aucune colère mais juste que le long discours de lys jen vois pas l interet par rapport a ce que je recherche....le debat adopter ou pas moi perso je m en fiche totalement!
Et pour information je connais la misère la difficulté a Mada jy ai vécus j ai rte adopté assez tardivement donc bon...tout ce que vous me dites sur la misère la vie etc....je sais tout sa...
moi je souhaite juste essayee de retrouvee des membres de ma famille ou des gens que jai pu côtoyer tout simplement. ...Merci a Segolene pour m avoir laissee ses coordonnées. ..

Quand tu lances un sujet sur un blog public, les participants à ce blog en font ce qu'ils veulent...  tu y es venue rechercher des renseignements techniques... des pistes...  et si le débat sur l'adoption ne t'intéresse pas... il en intéresse d'autres... c'est comme çà... ou alors tu fais ton blog à toi que tu modères à volonté...

Tu vas bientôt venir à Madagascar où tu es née, où tu as vécu... il y a 19 ans... !!!
Tu connais tout sur ce pays, sa misère, blablabla...tu te sens malgache et tu penses qu'en posant tes pieds à Ivato tu vas être reconnue comme membre à part entière de cette communauté, qu'on va être sensible à ton histoire et que tous vont se mobiliser pour t'offrir une issue heureuse à ta recherche...

Je suis peut être vahaza, mais je peux te dire que tu as exactement le profil de la future "vache à lait".
Je te souhaite bon courage néanmoins et formule des vœux pour une issue heureuse... ou tout du moins une issue...

Je me trompe peut être, mais le coup de la fable de Crusaders s'adresse à toi je pense... il ne manquera pas de te le confirmer à mon avis...
Tu devrais écouter Prisca qui elle est malgache, vit à Madagascar et vit au jour le jour son pays....

-ANDRE- a écrit:

Pays de tous les dangers
Encore un brave français bernard sauvagement poignardé à manakara ce dimanche 8 janvier 2015 et ne parlons pas des 3 morts brulés vifs depuis le 1er janvier 2015 sur l ile rouge
PRUDENCE et lisez ceci
Manakara, le pays antaimoro....c'est la même chose de partout.les français sont toujours montrés du doigt (quoique les malgaches ne montrent jamais avec le doigt mais font une mimique discrète , que les vazaha ne voient pas....le tondro molotra(gueule poisson)
Madagascar sera isolé sur le plan touristique, et ce ne sera pas de la faute des vazaha .les visiteurs ont toujours un grand coeur; payent, donnent, offrent , soignent et repayent souvent lorsqu'ils sont rentrés.les étrangers sont toujours la faute de tout....de la misère, de la famine, des coups d'état, de la décadence d'une partie des filles....alors tout seul ce sera mieux....eny tompoko, hitatsika rahampitso.

Bonjour
j'ai cherché le fais divers dont vous relaté et je n'ai trouvé aucun post à ce sujet
mais ce ke j'ai vu c'est que le post diffamatoire que vous faites sur MANAKARA est relaté sur le forum voyage
depuis 2013 il serait plus honnête de nous dire se qui vous rends si @mère avec cette ville on comprendra peut être un peu mieux

Bonjour à nouveau Tiana.

Il faut que vous passiez outre les  émotions que certains commentaires suscitent de votre part.
Ne les laissez pas interférer dans la recherche de votre maman biologique .
D'accord c'est plus facile à dire qu'à faire mais il faut aller à l'essentiel.et avancer étape par étape.
1ère étape : elle consiste à identifier le jugement d'adoption malgache.
Ce jugement a fait l'objet d'une vérification d'opposabilité par le parquet du lieu de naissance ( si l'enfant est né à l'étranger, c'est le procureur de la République de Nantes qui est compétent.).
C'est ce parquet qui a ordonné la transcription du jugement sur le registre de l'état civil à Nantes .
Vous pouvez sur simple demande vous  faire délivrer une copie intégrale en vous adressant au service central d'état civil de Nantes (c'est possible par internet)
Cette copie intégrale mentionne le jugement d'adoption malgache, et précise le tribunal qui l'a prononcée ainsi que sa date mais aussi la date de la décision du parquet ordonnant la transcription du jugement.

2ème étape: elle consiste à se procurer le jugement d'adoption malgache.
Ce jugement doit avoir été conservé dans le dossier de la procédure d'opposabilité suivie au parquet du TGI de Nantes. Il convient donc de s'adresser à ce parquet pour obtenir communication d'une copie du jugement d'adoption qui mentionne l'identité de votre maman, sa date et lieu de naissance.

3ème étape : la plus difficile elle consiste à localiser votre  mère biologique
Il va falloir que vous vous rendiez sur place.et chercher, se renseigner auprès du tribunal, de l'avocat s'il est mentionné dans les pièces de justice, de la religieuse qui est intervenue à l'époque etc.
Il vous faudra vous faire accompagner d'une personne d'absolue confiance, malgache ou non, mais dans ce cas parlant parfaitement le malgache.

Un agent en charge des questions d'adoption, en poste au consulat général à Tananarive se propose de vous aider dans votre recherche.  Ne négligez pas cette possibilité.
En effet, votre entrée sur le territoire national a nécessité la délivrance d'un visa.
L'autorisation de sa délivrance est intervenue sur accord de la Mission de l'adoption internationale du ministère des affaires étrangères (elle a été instituée en 87 ). Son accord suppose la vérification de la régularité des formalités locales et leur accomplissement. Sait on jamais, le dossier constitué à l'époque est il conservé dans les archives du MAE ou du poste ?

Courage Mademoiselle Tiana........................et bonne chance!!!

Lys de Diego a écrit:

Je me trompe peut être, mais le coup de la fable de Crusaders s'adresse à toi je pense... il ne manquera pas de te le confirmer à mon avis...

C'est, en effet, bien à "tiana88" que je m'adressais.

Je te comprends Tiana. J'ai 26 ans , adoptée aussi. Madagascar - abandon - adoption. Recherche d'identité à tout prix. En fait j'ai juste l'impression que c'est moi qui écris et pas une autre personne...Si tu veux parler , tout simplement je suis là. En fait je crois que c'est fou mais je comprends cœur-pour-cœur ce que tu vis.