Europe : la relation France et Allemagne, mouvementée et indispensable

http://static.foot01.com/img/images/650x600/2014/Jul/01/france-allemagne-seville-82-se-reveille-iconsport_onz_080782_36_02,86437.jpg


LAllemagne, qui a pris sa revanche sur lAlgérie, qui lavait battu lors du Mondial 1982, va retrouver un adversaire rencontré plus tard dans cette compétition. Dans le fameux stade Sanchez Pizjuan de Séville, une place en finale se jouait dans un match des plus dramatiques de lhistoire. Lattentat de Schumacher sur Battiston, les deux buts davance de la France dans la prolongation, et la défaite finale aux tirs au but avec les échecs de Six et Bossis ont ancré cette rencontre dans la légende de la Coupe du monde. Et forcément, à lapproche du quart de finale du Mondial entre les deux pays, ceux qui ont vécu la « Nuit de Séville » prennent la parole.

« Ça fait partie de l'histoire de l'équipe de France. Moi, tout ce que je souhaite, c'est que la jeune génération arrive à gagner, à battre l'Allemagne dans un quart de finale. Donc, l'Equipe de France doit bien se préparer. C'étaient des garçons qui n'étaient pas nés. Pour eux, c'est tout neuf ! », a confié sur RTL Marius Trésor, qui pensait bien avoir donné la victoire aux Bleus ce jour là avec son but exceptionnel dans la prolongation. Pour Patrick Battiston, évacué inconscient en deuxième période sur une civière après lénorme faute du gardien allemand, la double revanche est possible, puisque la France avait également perdu, plus logiquement, en demi-finale de lédition suivante, en 1986.

« Jaime cette équipe de France. Depuis quelques mois, elle nous montre des choses très intéressantes, un cur, une solidarité et une envie quon ne lui connaissait pas. Elle a la possibilité de réaliser une belle Coupe du monde. Le Nigeria, cétait quand même le champion dAfrique. Là, cest lAllemagne. On ne part peut-être pas favori. Mais cette équipe de France a des qualités. LAllemagne a montré quelques faiblesses en défense, et avec la vivacité de Valbuena ou Griezmann, on a la possibilité de mettre à mal léquipe dAllemagne. Il faudra être très sérieux, croire en nos chances et ne pas oublier que lAllemagne est redoutable », a prévenu lancien défenseur tricolore, qui sattend à un match équilibré ce vendredi au Maracana.

Pour Maxime Bossis, héros malheureux de la séance des tirs au but, la volonté de revanche est encore plus clairement affichée. « Je le vivrai avec lenvie dune revanche. Jai envie de dire aux hommes de Deschamps Vengez-nous de Séville. Ces deux défaites sont des souvenirs pour toute ma génération. On men reparle encore très régulièrement. Il ne sert pas à grand-chose de comparer les époques mais je vivrais une éventuelle qualification française pour les demi-finales en pensant très fort à mes échecs contre lAllemagne », a confié lancien défenseur du FC Nantes, qui sait que les joueurs actuels de léquipe de France nétaient pas nés au moment des faits (en dehors de Mickaël Landreau et Patrice Evra), mais que ce France-Allemagne a marqué le pays pour toute une génération.
http://www.foot01.com/equipe-de-france/ … nce,148043
jean  luc  ;)

PS:Si je montre cet article ,c'est pour montrer la bétise de certains journaliste en mal de copies ,il y a pas á avoir de revanche ,même si Battiston est partie sur une civiére dans le coma ,suite á une agression caractérisé du gardien allemand Haral Schumacher ,qui n'a pas été sanctionner par l'arbitre,ni même par un coup franc ,jean  luc  ;) 

Entre la France et l'Allemagne les rythmes de croissance vont désormais de un à trois. D'autres indicateurs, publiés jeudi, bien que mensuels, semblent confirmer cette divergence entre les deux économies.
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Les nouvelles prévisions du FMI, traditionnelles à la mi-année, s'apparentent cette fois à un grand exercice de reclassements tous azimuts au sein de l'économie mondiale. Le reclassement le plus cruel aux yeux des Français est sans conteste celui qui s'opère entre les deux premières économies européennes. «Au cur (de la zone euro) nous avons revu à la hausse les prévisions pour l'Allemagne et à la baisse pour la France», résume Olivier Blanchard, le conseiller économique du FMI.

L'information n'est certes pas nouvelle en soi. Le FMI avait déjà ramené de 1% à 0,7% son taux de croissance attendu pour la France à l'occasion de l'étude annuelle faite pour notre pays et publiée il y a deux semaines. De même, le FMI avait indiqué lundi dernier que l'Allemagne devrait bénéficier d'une expansion plus rapide, de 1,9% au lieu de 1,7% envisagé en avril dernier  lire le reste de l'article

Petite histoire de la germanophobie française : aux racines du mal

Elles sont soeurs, nées de la même terre, l'empire de Charlernagne. Pourtant elles ne cessent de s'observer, de se méfier l'une de l'autre, de s'envier, de s'aimer, de se haïr. Elles ? La France et l'Allemagne, les deux nations phares de l'Europe. Extrait de "Petite histoire de la germanophobie", de Georges Valance, publié aux éditions Flammarion (2/2).

Lallumette diplomatique était la crise égyptienne opposant le pacha Méhémet Ali et le sultan, qui se transforma en 1840 en une crise entre la France et lEurope. Théoriquement, les cinq grandes puissances européennes, lAngleterre, la France, la Russie, lAutriche et la Prusse, travaillaient de concert à apaiser la crise égyptienne. Mais le Français Adolphe Thiers et le Britannique Lord Palmerston jouaient chacun double jeu, le premier parce quil soutenait en sous-main Méhémet Ali, le second parce quil entendait briser linfluence française en Méditerranée orientale.

LAnglais dégaina plus vite : le 15 juillet 1840, à linsu de Paris, il signa avec la Russie, lAutriche et la Prusse la convention de Londres qui imposait ses conditions au Caire et à Istanbul. La coalition de Waterloo, qui avait eu raison de Napoléon en 1815, était reconstituée, et la France exclue du concert européen. Lhumiliation ressentie à Paris fut telle que la guerre semblait imminente. Des députés dénoncèrent à la tribune de lAssemblée les traités de 1815 et réclamèrent la restitution de la rive gauche du Rhin. Les manifestations belliqueuses se multiplièrent dans les rues de la capitale. Des journaux, comme Le Capitole, proclamaient que lAllemagne nattendait que larrivée des armées françaises pour « se débarrasser des petits despotes qui la déshonorent ». La modération de Louis-Philippe, qui renvoya Thiers, évita le conflit, mais la crise eut un effet inattendu en se transformant en une « crise du Rhin » dans lopinion publique.

Les Français sétaient trompés sur létat desprit de leurs voisins. Les manifestations de Paris avaient réveillé en Allemagne les souvenirs de 1813, et la résurgence de la revendication de la rive gauche du Rhin provoqua une vague dindignation populaire dune ampleur que personne navait prévue. En quelques mois, trois chansons composées par des inconnus devinrent immensément populaires dans tout le pays : Die Wacht am Rhein (« La Garde au Rhin ») qui sera tant chantée par les nazis ; le Deutschlandlied, qui deviendra lhymne national allemand, exaltant une Grande Allemagne allant « de la Meuse au Niémen » ; et le Chant du Rhin du poète Nikolaus Becker, le Rheinlied dont Bismarck dira quil eut le même effet, lors de la guerre de 1870, que quelques corps darmée supplémentaires : « Ils ne lauront pas, le libre Rhin allemand, quoiquils le demandent dans leurs cris comme des corbeaux avides ! »

Les auteurs français ripostaient, mais avec moins de hargne et plus dironie. Alfred de Musset écrivit : « Nous lavons eu votre Rhin allemand. / Si vous oubliez votre histoire, / Vos jeunes filles sûrement, ont mieux gardé notre mémoire : / Elles nous ont versé votre petit vin blanc. » Il fut bientôt suivi par un Victor Hugo plus professoral, qui opposait le Rhin, fleuvefrontière créé par la Providence (et célébré par César), au Rhin prussien qui était une menace pour la paix : « Avoir donné la rive gauche du Rhin à lAllemagne, cest un chef-doeuvre. Chef-doeuvre de haine, de ruse, de discorde et de calamité. »

La crise de 1840 sapaisa mais lidéologie de l« ennemi héréditaire » était née. Son pas était plus raide en Allemagne quen France : outre-Rhin, réunification et nationalisme étaient désormais étroitement liés dans lesprit des Allemands, et il fallut les désastres de la Seconde Guerre mondiale et la réussite de la République fédérale pour dissoudre ce mariage explosif. Les Français, eux, ont attendu la catastrophe de la guerre de 1870 et la mutilation du territoire pour prendre la mesure du danger allemand. Ils étaient encore trop confiants pour prêter loreille au terrible avertissement lancé par Heine

Quand vous entendrez un craquement comme jamais craquement ne sest fait encore entendre dans lhistoire du monde, sachez que le tonnerre allemand aura enfin touché le but. À ce bruit, les aigles tomberont morts du haut des airs, et les lions, dans les déserts les plus reculés dAfrique, baisseront la queue et se glisseront dans leurs antres royaux []. Je vous le conseille, Français, tenezvous alors fort tranquilles et, surtout, gardez-vous dapplaudir. Nous pourrions facilement mal interpréter vos intentions, et vous renvoyer un peu brutalement suivant notre manière impolie 1.

Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/peti … rq0Vbcf.99    jean  luc  ;)

L'Allemagne veut que Paris renonce à vendre ses Mistral à la Russie  http://www.lefigaro.fr/medias/2014/08/01/PHO945ad3d6-197b-11e4-854b-ebf550c7f874-805x453.jpg   Berlin juge incompatible la livraison des frégates à Moscou qui bloque la situation en Ukraine. «Les Russes ont payé», plaident les Français.
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S'il y a une sanction contre la Russie symboliquement importante que l'Allemagne a jugé indispensable de prendre, c'est bien d'interdire à la France de vendre des frégates à Moscou. Paris est censé livrer deux porte-hélicoptères Mistral mais ses partenaires européens, en premier lieu Berlin, jugent le contrat incompatible avec le durcissement des relations avec la Russie, considérée comme responsable du blocage de la situation en Ukraine. «Nous ne livrons pas [d'armes ou d'équipements militaires à Moscou] même si les contrats ont été conclus par le passé. J'aurais attendu cela aussi de la France», a déclaré le vice-chancelier Sigmar Gabriel sur la chaîne de télévision ARD. «Ce n'est pas une solution raisonnable.»

«Les Russes ont payé», a déclaré François Hollande le 14 juillet. Le contrat se monte à 1,1 milliard d'euro et, s'il n'est pas honoré, la France devra rembourser. La première frégate est achevée et doit être livrée en octobre. Quant à la deuxième, le chef de l'Etat a laissé ouvert toutes les possibilités. «Cela dépendra de la Russie», a-t-il ajouté, mais aussi d'un éventuel nouvel élargissement des sanctions contre Moscou qui concerneraient des secteurs économiques. Mais de l'autre côté du Rhin, on plaide pour une solution plus radicale.
Les Mistral vendus à l'Otan ou à l'UE?

L'idée court depuis quelques jours à Berlin. Mardi, le vice-président de la commission de Défense du Bundestag, Karl Lamers, a proposé «d'examiner dans quelle mesure un achat des Mistral par l'Otan ou l'Union européenne était possible». Jeudi, c'est un autre député de la CDU, Roderich Kiesewetter, qui l'a formulé sur Twitter: «Mistral: ne pas les livrer à la Russie, aider la France, renforcer les capacités de l'UE et de l'Otan, donc les racheter à la France.» Jusqu'à présent, au sein du gouvernement allemand, on n'évoquait que des «compensations financières» pour les entreprises d'armement qui seraient pénalisées par la perte de contrats, en l'occurrence la DCNS à Saint-Nazaire.

En coulisses, Angela Merkel fait pression sur François Hollande. Lors de sa conférence de presse le 18 juillet, la chancelière avait, elle aussi, pris ses distances avec la vente des frégates françaises, tout en restant prudente sur la forme. «Le cadre légal permet ces exportations», avait-elle souligné avant d'ajouter: «De son côté, l'Allemagne a décidé de suspendre la construction d'un centre de tir.» L'opinion allemande, quant à elle, ne comprend pas la position française. «Grande Nation, ganz klein», titrait la semaine dernière l'hebdomadaire Der Spiegel: «Grande Nation, très petite». Après avoir été longtemps réservée sur les sanctions à prendre contre la Russie, l'Allemagne a décidé de changer de ton.
http://www.lefigaro.fr/international/20 … russie.php
    jean  luc  ;)

PS:  j'ai jamais compris pourquoi on a vendu ses armes á la Russie on parle de deux porte hélicopters,mais c'est quatres en réalitée 2 doivent être construits en Russie avec TRANSFERT DE TECNOLOGIE MILITAIRE.

L'Allemagne sommée d'aider la croissance française? "Aucune raison", répond Berlin
  http://static.lexpress.fr/medias_9783/w_1468,h_638,c_crop,x_580,y_280/w_605,h_270,c_fill,g_north/britain-s-pm-cameron-france-s-president-hollande-and-germany-s-chancellor-merkel-attend-a-last-post-ceremony-at-the-menin-gate-in-ypres_5008951.jpg  L'Allemagne joue-t-elle trop perso? Alors que François Hollande appelait lundi à son "soutien" pour la croissance française et européenne, la porte-parole du gouvernement allemand n'y a vu, elle, "aucune raison" de modifier la politique économique nationale.

"Les déclarations très générales en provenance de Paris ne fournissent aucune raison pour de quelconques corrections dans la politique économique", Christiane Wirtz, interrogée lors d'une conférence de presse régulière sur les propos du chef de l'Etat dans Le Monde.

"L'Allemagne est déjà une locomotive importante, la plus importante même pour la conjoncture de la zone euro", a-t-elle affirmé.
Un "aveu" d'échec pour la presse

Dans un éditorial mercredi, le quotidien de centre gauche Süddeutsche Zeitung a estimé que le président français attendait à tort "le salut de l'extérieur". De son côté, le quotidien Die Welt, conservateur et critique à l'égard de François Hollande, a vu dans cet entretien "un aveu du président français que sa politique économique a échoué".

François Hollande avait déclaré attendre de l'Allemagne "un soutien plus ferme à la croissance" dans cette interview. "Ses excédents commerciaux et sa situation financière lui permettent d'investir davantage. C'est le meilleur service que l'Allemagne peut rendre à la France et à l'Europe", avait alors argumenté le président français.

En savoir plus sur http://lexpansion.lexpress.fr/actualite … PTlUqyi.99      jean  luc  ;)

L'Allemagne refuse toujours une logique de relance
https://s.yimg.com/bt/api/res/1.2/QnzcfTOGpBacIOJw9l5WGA--/YXBwaWQ9eW5ld3M7Y2g9NDUzO2NyPTE7Y3c9ODAwO2R4PTA7ZHk9MDtmaT11bGNyb3A7aD0zNTc7cT04NTt3PTYzMA--/http://media.zenfs.com/fr_FR/News/figaro/PHOa571c974-247d-11e4-b678-4c0e448139a8-805x453.jpg  Angela Merkel ne fléchit pas dans son bras de fer avec le président français.
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À long terme, mieux vaut un petit coup de mou qu'une relance artificielle. À Berlin, Angela Merkel garde la tête froide après les mauvais chiffres du deuxième trimestre en Europe en général et particulièrement dans son pays. Le PIB allemand a reculé de 0,2 %, tandis que la moyenne européenne est à la stagnation. Mais ce n'est pas suffisant pour infléchir la politique de la première économie d'Europe. Dans son bras de fer avec François Hollande, la chancelière ne fléchit pas.

Alors que Paris réclame un effort européen pour relancer l'activité au sein de l'Union, Merkel temporise. La semaine dernière, elle avait déjà adressé une fin de non-recevoir aux suggestions de Hollande. L'Allemagne a les moyens «d'investir davantage», avait-il déclaré au Monde. Il n'y a «pas de raison pour une correction de la politique économique» de l'Allemagne, lui avait-on répondu.

Le ralentissement économique allemand n'est que passager, veut-on croire à Berlin. «Les taux de croissance en Allemagne devraient redevenir positifs lors des prochains trimestres de l'année», a commenté jeudi le ministre de l'Économie, Sigmar Gabriel, en expliquant par des facteurs externes la contre-performance des derniers mois: «Les risques géopolitiques en Europe de l'Est et au Proche-Orient tout comme une progression plus faible de la zone euro ont eu un effet de frein sur l'économie allemande.»  lire l e rest e de l'article   jean  luc  ;)

Croissance, déficit: pourquoi ça va clasher entre la France et l'Allemagne
Le déficit budgétaire français va encore déraper. L'Allemagne n'a pas l'intention de l'aider. Tous les ingrédients sont réunis pour un mémorable "clash" de rentrée.
http://static.lexpress.fr/medias_9656/w_1570,h_683,c_crop,x_201,y_44/w_605,h_270,c_fill,g_north/angela-merkel-francois-hollande-1_4943955.jpg
Avec une inflation négative en juillet et une croissance nulle depuis le début de l'année, la France est dans la nasse. Le gouvernement sait déjà qu'il ne parviendra pas à un déficit de 3% du PIB en 2015 et qu'il va devoir demander un nouveau délai à Bruxelles. 
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Plus grave, ses efforts de restriction budgétaire risquent de ralentir encore l'activité du pays. François Hollande demande donc à Angela Merkel de faire plus pour la croissance européenne, notamment en acceptant une dépréciation de l'euro. Mais l'Allemagne, par deux fois, a déjà opposé une fin de non-recevoir.

Tous les ingrédients sont donc réunis pour un sévère clash de rentrée entre la France et l'Allemagne. Ce ne sera pas 14-18, mais ce sera loin d'être tendre.
Parce que le déficit français va inévitablement déraper...

Les chiffres publiés par l'Insee ce jeudi sont implacables. La croissance française affiche un zéro pointé au second trimestre, comme sur les trois mois précédents. Pourtant, sur la même période, elle fait mieux que l'Allemagne qui recule quant à elle de 0,2%. La différence, et de taille, c'est que sur un an, l'Allemagne affiche un taux de croissance de 1,2% et que ce léger recul affiché entre avril et juin a tout du coup de mou passager quand la France elle, voit tous ses moteurs de croissance flancher (investissement des entreprises, commerce extérieur). 

https://pbs.twimg.com/media/BvAZGBJIMAAU7Hq.jpg   lire le reste de l'article

jean  luc  ;)

L'Allemagne ne paiera pas ; et elle aura bien raison ! http://www.lefigaro.fr/medias/2014/08/20/PHO86ce03b0-27b2-11e4-b061-0ddcbd6721f2-805x453.jpg
François Hollande a plongé l'économie française dans le chaos, comme en témoignent les récents chiffres sur la croissance publiés par l'Insee. Non seulement l'économie française tourne deux fois moins vite que ce qui était promis pour cette année par le chef de l'État. Non seulement l'investissement des entreprises a fondu et la consommation des ménages s'est évanouie. Non seulement les faillites d'entreprises augmentent en flèche. Mais surtout les recettes fiscales ne seront pas au rendez-vous cette année. Si bien que la France sera le seul pays européen qui verra s'accroître, cette année, son déficit budgétaire par rapport à 2013.

    Le problème du président de la République, c'est qu'il ne veut pas reconnaître que c'est sa politique fiscale insupportable qui a plongé notre économie dans cet état-là.

Le problème du président de la République, c'est qu'il ne veut pas reconnaître que c'est sa politique fiscale insupportable qui a plongé notre économie dans cet état-là. À tel point qu'à ce rythme, la France risque de se retrouver d'ici deux ans dans le même état que la Grèce. N'en déplaise aux agences de notation qui recommandent toujours aux investisseurs l'achat des emprunts d'État tricolores comme s'ils étaient aussi solides que de l'or. De fait, François Hollande a trouvé le coupable idéal. Tout en multipliant les embrassades avec les officiels d'outre-Rhin pour commémorer le déclenchement de la Première Guerre mondiale, il s'en prend à Angela Merkel et à une Allemagne qu'il considère comme égoïste car «ses excédents commerciaux et sa situation financière lui permettent d'investir davantage. C'est le meilleur service que l'Allemagne peut rendre à la France et à l'Europe».

La réponse de la bergère allemande au berger français ne s'est pas fait attendre. Et la chancelière a immédiatement rétorqué que «les déclarations très générales en provenance de Paris ne fournissent aucune raison pour de quelconques corrections dans la politique économique () l'Allemagne est déjà la locomotive la plus importante pour la conjoncture de la zone euro».

Et comme à Paris les voix autorisées faisaient semblant de ne pas avoir compris, Jens Weidmann, le président de la Bundesbank, a rappelé à nos dirigeants socialistes qu'avant de demander à leurs voisins de faire des efforts, peut-être pourraient-ils s'atteler à des réformes de structure. «La France a des défis structurels à relever, elle doit redresser sa compétitivité et réduire le niveau très élevé de ses dépenses publiques», a déclaré le grand argentier allemand avant d'ajouter: «Paris devrait exercer son leadership en donnant le bon exemple, notamment en matière budgétaire.»

Ce n'est pas la première fois que François Hollande essaye de se défausser sur notre voisin et de faire croire aux Français qui l'ont élu, que «l'Allemagne paiera», reprenant ainsi la fameuse expression de Clemenceau après la signature, en 1919, de l'humiliant traité de Versailles. Ce texte imposa à l'Allemagne défaite de payer pas moins de 269 milliards de marks-or, soit quatre fois plus que ce que l'économiste Keynes, alors jeune expert à cette conférence de la paix, jugeait supportable. Même si François Hollande aime à se replacer un siècle en arrière et si Manuel Valls a fait de Clemenceau son modèle en politique, l'Allemagne ne paiera pas.

    Pourquoi donc Angela Merkel braderait-elle des années de sacrifices faits par son peuple pour des Français incapables de se réformer ?

Tout simplement parce que si l'Allemagne est devenue l'une des principales puissances exportatrices mondiales et si elle a réduit à néant son déficit budgétaire, c'est après avoir mené des réformes drastiques. Tant au profit des entreprises et de leur compétitivité que de l'État fédéral. Angela Merkel avait récolté les fruits de la politique audacieuse de Gerhard Schröder et notamment de son efficace réforme du marché du travail. À son tour elle a amplifié ce rebond en instaurant une sorte de TVA sociale destinée pour partie à alléger les charges des entreprises et pour partie à réduire le déficit budgétaire. Cela fait maintenant une décennie que les Allemands se saignent aux quatre veines pour que l'Allemagne profite de la mondialisation plutôt que de la subir.  lire le reste de l'article   jean  luc  ;)

je  paye mes impôts en Allemagne ,c'est pas á moi á payer pour la France

Le livre de Valérie Trierweiler refusé par l'Allemagne
Les confidences de l'ex-première dame ne seront vraisemblablement pas traduites en allemand. Qu'ils soient politiques ou tout simplement littéraires, les motifs sont divers et empêchent pour le moment les germanophones de découvrir les dessous de l'Élysée.



Valérie Trierweiler ne passera pas outre-Rhin. Selon nos informations, son livre Merci pour ce moment ne paraîtra pas en Allemagne pour le moment. Les Allemands ne pourront donc pas lire les confidences de l'ex-première dame sur sa relation avec François Hollande. Si les germanophones sont habituellement friands de ce genre de littérature, ils ne découvriront pas les dessous de l'Élysée dans la langue de Goethe.

Deux raisons à cela. La première est purement politique. La France suivant l'Allemagne sur toutes les questions européennes, Angela Merkel ne voudrait pas froisser le chef de l'État français. Selon un récent sondage, plus d'un Français sur deux désapprouverait la décision de Trierweiler de publier ce livre très intime.

La seconde met en cause le contenu même de l'ouvrage qui d'après l'agent contacté par l'éditeur Les Arènes, n'est pas assez attractif pour les lecteurs allemands. La liaison entre le chef d'État français et une journaliste n'est pas sujette à publication. Le public français achèterait-il le livre contant l'éventuelle «love story» extraconjugale de la Chancelière? Pas sûr...

Déjà en cours de réimpression, le best-seller des Arènes pourrait cependant trouver preneur lors de la Foire du livre de Francfort qui se tiendra du 8 au 12 octobre prochain. On rappellera qu'elle est le plus grand événement mondial dans le domaine littéraire. La manifestation rassemble en moyenne 300.000 visiteurs venus du monde entier et se tient depuis environ 500 ans.

En attendant, Merci pour ce moment sera prochainement publié en Italie, au Vietnam et aux États-Unis.
http://www.lefigaro.fr/livres/2014/09/1 … emagne.php 
ps : moi je  l'ais jamais apprécier  ,il faut pas oublier qu'elle a soutenue un dicident socialiste pour faire battre  Ségoléne Royal  ancienne compagne de Hollande ,elle  a fait une  salopperie a cette occassion  ,c' est sa nature .  jean  luc  ;)

L'Allemagne considère que les critiques contre sa politique économique sont "vaines"


Mardi, le Premier ministre français avait appelé la première économie européenne à assumer sa responsabilité pour la croissance de la zone euro. http://www.lepoint.fr/images/2014/09/17/sch-2830596-jpg_2464812_652x284.JPG  Manuel Valls a reçu un message : "Les critiques envers l'Allemagne selon lesquelles nous investirions trop peu sont vaines", a déclaré mercredi un porte-parole du ministre allemand des Finances Wolfgang Schäuble, sur fond de débat lancé notamment par la France sur la politique économique du pays. Mardi, le Premier ministre français avait appelé la première économie européenne à assumer sa responsabilité pour la croissance de la zone euro, dans un discours aux députés français.
Une fin de non-recevoir à Paris

Paris a réclamé à plusieurs reprises ces derniers mois que l'Allemagne investisse plus pour relancer la conjoncture européenne, se heurtant systématiquement à une fin de non-recevoir. Martin Jäger, porte-parole de M. Schäuble, a répété lors d'une conférence de presse régulière du gouvernement allemand les conditions qui doivent permettre pour Berlin de renouer avec la croissance et de créer des emplois en zone euro, à savoir des réformes structurelles, la consolidation des comptes publics et des investissements financés avant tout sur fonds privés.

C'est la position que M. Schäuble défendra vendredi et samedi, lors d'un sommet des ministres des Finances du G20 à Cairns en Australie, a précisé M. Jäger, sans se référer explicitement à la critique française. Berlin avait notamment déjà opposé une fin de non-recevoir à Paris en estimant en août qu'il n'y avait aucune raison pour le pays de changer de politique économique, après un appel du président français François Hollande à investir davantage. "Nous investissons déjà de manière substantielle", a redit M. Jäger mercredi.lire le reste de l'article  jean  luc  ;)

L'Allemagne, l'homme malade de l'Europe.
Une thèse est très en vogue actuellement chez nos voisins d'outre-Rhin, une thèse reprise en chœur par la droite dans notre pays, une thèse selon laquelle la France serait devenue l'homme malade de l'Europe. Selon les thuriféraires de cette opinion, la France est devenue faible parce qu'elle n'a pas su prendre exemple sur son voisin allemand en menant en son temps les « réformes nécessaires » pour assurer la compétitivité de son économie.

Il n'y aurait donc point d'avenir pour la France en Europe hors celui d'une adaptation, voire d'une conversion au modèle testé avec « succès » chez nos amis allemands. Et notre gouvernement d'en faire son viatique en promettant de mener « jusqu'au bout » les « réformes » et en allant se soumettre devant la Chancelière Merkel, comme jadis hier le roi des romains Henri IV s'en allait faire pénitence à Canossa.

Dans ce débat seul importerait l'ampleur de la soumission. Le gouvernement la chiffre à 50 milliards d'euros d'économies de dépenses publiques, l'UMP à 130 milliards d'euros. Nous en sommes au point où aujourd'hui, on peut se demander si ce n'est pas au fond la droite allemande qui gouverne la politique de l'ensemble des Etats dans la zone euro, à rebours de l'inflexion qu'il conviendrait au contraire d'apporter en Europe, alors que la récession et la déflation menacent notre continent. C'est pourquoi il est temps d'avoir avec nos voisins, nos amis et nos frères allemands une franche explication politique. Non pas avec une quelconque prétention de défendre un prétendu « orgueil » français, mais avec la volonté de trouver les nouveaux compromis nécessaires au redémarrage du projet européen. Il en va de l'avenir démocratique de notre continent.

L'Allemagne connaît une réussite économique éclatante qui la conduit à dégager des excédents commerciaux avoisinant les 6% de son PIB et un budget à l'équilibre. Pourquoi ? Surement pas grâce aux réformes libérales menées par Schröder et accentuées par Merkel. Ce ne sont donc pas la flexibilisation du marché du travail et la baisse du coût du travail qui ont constitué la principale réussite, c'est au contraire le plus grand échec puisqu'aujourd'hui la République Fédérale Allemande a vu une partie substantielle de sa population plongée dans une très grande précarité. Le taux de chômage apparemment faible qu'elle affiche ne doit pas nous abuser car sont comptabilisés dans les actifs les 6 millions de personnes rémunérées en moyenne à 400 euros par mois en complément de leurs allocations. http://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/240914/l-allemagne-l-homme-malade-de-l-europe  jean  luc  ;)

Le budget 2015 de la France en passe d'être retoqué par Bruxelles ?Il y a une forte probabilité pour qu'il soit rejeté, ce qui va accentuer les tensions entre la France et l'Allemagne", prévient une source européenne.   http://referentiel.nouvelobs.com/file/10541428-le-budget-2015-de-la-france-bientot-retoque-par-bruxelles.jpg
La France risque d'être contrainte par la Commission européenne de revoir son projet de budget 2015, qui prévoit un net dérapage des finances publiques, indique vendredi 3 octobre une source européenne à l'AFP.

"Le projet de loi de finances va être présenté" d'ici au 15 octobre à la Commission européenne. "Il y a une forte probabilité pour qu'il soit rejeté, ce qui va accentuer les tensions entre la France et l'Allemagne", confie cette source, confirmant une information du "Figaro".

"Ce qui passait il y a peu comme la 'bombe atomique' dans la confrontation entre Paris et Bruxelles apparaît désormais plausible : dans les derniers jours de son mandat, le 31 octobre au plus tard, la Commission Barroso pourrait retourner pour correction à François Hollande son projet de loi de finances", affirmée le quotidien ce vendredi soir.

Le gouvernement français a présenté mercredi son projet de budget pour 2015, qui prévoit une très légère baisse du déficit budgétaire, à 4,3% du PIB après 4,4% cette année. Il devrait se réduire à 3,8% en 2016 puis 2,8% en 2017, revenant ainsi sous la limite fixée par Bruxelles deux ans après la date prévue.  lire le reste de l'article  jean  luc  ;)

L'Allemagne tend la main à la France, pays « too big to fail »http://www.lefigaro.fr/medias/2014/10/20/PHOe1117270-5869-11e4-b103-07ca10a9b47e-805x453.jpg

Malgré l'impatience à l'égard des lenteurs françaises, palpable dans les milieux conservateurs allemands, la  realpolitik européenne est de retour.
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Les Allemands ont beau être agacés par les Français, ils sont réalistes et profondément Européens. «La France est “too big to fail”», rappelle Ulrike Guérot, directrice du bureau berlinois du Conseil européen des relations étrangères (ECFR). «Les Allemands ont commencé à le comprendre. D'où cette main tendue à la France, qu'elle a bien raison de saisir!», décrypte cette spécialiste du couple franco-allemand. «L'Allemagne fait avec la France ce qu'elle n'a fait ni avec la Grèce, ni avec l'Espagne, ni avec l'Italie: elle lui tend la main pour que la France s'en sorte et que l'Europe s'en sorte», ajoute Ulrike Guérot.

Vue d'Allemagne, la rencontre franco-allemande à Berlin ne trahirait ni  pacte  ni nouveau diktat , mais plutôt un geste de solidarité avec la France, pays très mal en point économiquement, dont le budget 2015 dérape tellement qu'il risque d'être retoqué par Bruxelles à la fin du mois, ce qui serait une première en zone euro. «Le gouvernement allemand ne veut pas laisser la France seule face à la Commission européenne dans ce moment difficile», analyse Ulrike Guérot.
Les marchés financiers en embuscade

Malgré l'impatience à l'égard des lenteurs françaises, palpable dans les milieux conservateurs allemands, la  realpolitik européenne est de retour. Le laxisme budgétaire français, les réformes distillées au compte-gouttes, sans qu'aucun cap politique ne soit donné, irrite au plus haut niveau à Berlin. Mais il n'est pas question, pour autant, d'ostraciser la France, deuxième économie d'Europe, dont une sortie de route économique ferait dérailler le train de la zone euro. Les marchés financiers sont déjà en embuscade.lire le reste de l'article     jean  luc  ;)

L'Allemagne, l'euro et l'énarchie

Depuis la chute du mur de Berlin, l'élite française, et singulièrement l'énarchie, ont dégouliné et dégoulinent encore d'un amour immodéré et dogmatique pour l'Allemagne et l'euro.

     

Cette nouvelle trahison des clercs nous mène à la catastrophe. Non seulement l'aveuglement économique dominant conduit à des choix économiques absurdes, qui sont autant de dangers pour l'équilibre continental, mais la fascination pour l'Allemagne entraîne un affaiblissement constant de la France.
L'énarchie et l'Allemagne: fascination et aveuglement


Que l'énarchie soit prussophile n'est guère étonnant. L'ENA fut créée en 1945 pour reconstruire une élite technocratique qui avait fait défaut avant et pendant la guerre.

L'objet de l'ENA était donc étroitement lié à l'édification d'un nouvel ordre social et continental où l'Allemagne devait être un allié. Cette alliance était facilitée par la division de l'Allemagne en un bloc de l'ouest, libéral, et un bloc de l'est, communiste.

Il est assez cocasse de comparer, au passage, la carte de l'Allemagne de l'ouest adulée par l'énarchie:

http://www.eric-verhaeghe.fr/wp-content/uploads/2014/11/Capture-d%E2%80%99%C3%A9cran-2014-11-10-%C3%A0-08.37.37.png  Et la carte de la confédération du Rhin bâtie par Napoléon:
  lire le reste del'article   jean  luc  ;)

L'Allemagne, orpheline de la France   http://www.slate.fr/sites/default/files/imagecache/1090x500/vachesallemagnefrance.jpg  Le plus grand problème aujourd'hui pour Berlin en Europe est la faiblesse de celui qui fut longtemps son partenaire privilégié, et qui reste indispensable.

Le verdict est sans appel dans la bouche d'un expert allemand des affaires européennes: «La France est aux abonnés absents.» Et il n'est pas le seul à penser que le plus grand problème aujourd'hui pour Berlin en Europe est la faiblesse du partenaire qui fut longtemps privilégié, et qui reste indispensable.

A la faveur de la crise de l'euro, l'Allemagne a pris une place dominante dans l'Union européenne. Cette position de puissance suscite des sentiments mitigés. Elle n'est certes pas pour déplaire à un pays qui fête les vingt-cinq ans de la fin de sa division provoquée par le nazisme et sa défaite lors de la Seconde Guerre mondiale, mais elle le met aussi mal à l'aise.

Elle l'oblige à s'interroger sur ses nouvelles responsabilités et risque de faire renaître des craintes chez ses voisins. Ceux qui nous demandent aujourd'hui d'assumer les conséquences de notre position de force seraient les premiers à nous critiquer si nous le faisions, dit-on à Berlin. Les Allemands reculent devant la perspective d'un leadership solitaire. Ils préfèreraient partager cette position avec la France, comme au bon vieux temps où Paris relayait les initiatives de Bonn ou Berlin, les reprenait à son compte ou les présentait au nom des deux partenaires pour les rendre plus acceptables par les autres Européens.

Bien sûr, la situation actuelle présente des avantages pour Angela Merkel. Elle lui a permis d'imprimer sa marque sur les changements rendus nécessaires par la crise de l'euro, d'imposer ses principes, même si la chancelière a été obligée de faire des concessions par rapport à ses positions de départ. Elle a accepté de payer pour le sauvetage des économies du sud de l'Europe et d'entériner des entorses au statut de la BCE, lire le reste de l'article  jean  luc  ;)

Achtung ! Mélenchon renouvelle l'image du couple franco-allemand http://rue89.nouvelobs.com/sites/news/files/styles/asset_img_full/public/assets/image/2012/01/melenchon-lafontaine-ouvriers-metz2.jpg  (De Metz) Debout sur l'estrade, transporté par son propre discours, Jean-Luc Mélenchon en fait trembler son pupitre. Assis à sa gauche, un homme plus tranquille ne le quitte pas des yeux, l'air admiratif. Il est allemand, c'est Oskar Lafontaine, président du parti d'extrême gauche Die Linke.

Le duo formé par les deux camarades, proches depuis la création du Parti de Gauche par Jean-Luc Mélenchon en 2008, diffère sensiblement du couple franco-allemand de Nicolas Sarkozy et Angela Merkel. Un décalage que le candidat du Front de Gauche à l'élection présidentielle a réaffirmé lors de son meeting à Metz le 18 janvier. Avec un but : porter, avec son homologue allemand, l'alternative au « Merkozy ».

Leur discours est bien rôdé. D'une même voix, ils ont condamné l'échec de l'Europe austère « à la sauce Sarkozy » et appelé à une « Europe du progrès social et du développement humain ». Invité à s'exprimer avant Jean-Luc Mélenchon, Oskar Lafontaine n'a pas mâché ses mots :

    « Nous allons travailler à dégager Sarkozy, [...] dégager tous ceux qui servent les marchés plutôt que les hommes et les femmes de nos pays ! »

« Frapper en particulier madame Merkel et monsieur Sarkozy »

Puis Jean-Luc Mélenchon a fait preuve de réciprocité :

    « Nous allons frapper frapper et encore frapper la droite qui dirige l'Europe et en particulier madame Merkel et monsieur Sarkozy. Madame Merkel, non pas parce qu'elle est allemande mais parce qu'elle est libérale de droite. »

Cinq jours après la perte du triple A par la France, il n'a pas boudé sa cible de choix : les agences de notation. Il a rappelé : « C'est le peuple qui commande, pas les agences de notation. »

La volonté qu'ont les deux hommes d'affirmer leur proximité aux yeux du public n'est pas nouvelle. Dans une « déclaration commune » filmée et diffusée sur le Net mi-décembre, Jean-Luc Mélenchon assure qu'ils mettent « un point d'honneur à [se] montrer le plus souvent possible ensemble ».

Oskar Lafontaine rappelle lui que « l'amitié franco-allemande est une base de l'Europe ». Le Français aligne quelques mots en allemand, Oskar Lafontaine s'exprime dans un français parfait.  lire le reste de l'article   jean  luc  ;)

L'Allemagne en danger ?
L'Allemagne est le pays dont on parle constamment en France. Que l'on soit à l'UMP ou au PS, Il est l'exemple à suivre en terme de réformes, le modèle qui va nous permettre de sortir de la crise.

Et nos médias entonnent la même chanson, il y a bien quelques petites critiques faites ici ou là, mais rien de bien virulent pour empêcher la petite musique de continuer.

D'ailleurs, à force d'entendre des compliments de toute part, Angela Meckel se sent pousser des ailes au point de venir nous faire la morale.

Et bien sur, à part Mélenchon personne n'est scandalisé par une telle arrogance de la part de la Chancelière allemande. Nos médias sont bien plus virulents lorsqu'un politique français ose émettre des critiques sur ce qui se passe outre-Rhin.

Et pourtant il y a de quoi se poser des questions sur ce pays dont il faut s'inspirer coûte que coûte, un travail que font de nombreux experts internationaux, y compris des allemands.

Un exemple, l'économiste libéral anglais Philippe Legrain nous apprend qu'entre 2000 et 2013 , la croissance de l'Allemagne n'a été que de 15 % (1,1% par an) . Un chiffre qui la classe au treizième rang des dix-huit nations de la zone euro.

Il faut savoir également, qu'en matière d'investissement, l'Allemagne se situe derrière la France, l'Espagne et l'Italie.

Pour Olaf Gersemann, rédacteur en chef du service économie de Die Welt, l'inquiétude vient de la trop grande confiance allemande dans les vertus de son modèle : « Il règne dans mon pays une allégresse et un sentiment d'orgueil que rien ne justifie, et qui me paraissent dangereux parce qu'ils favorisent des décisions irrationnelles ».

Il cite comme exemple la sortie du nucléaire décidée par Angela Merkel, sans concertation ni préparation, pour passer au très polluant charbon. Il estime qu'il s'agit d'une preuve que son pays surestime sa puissance économique actuelle ainsi que son potentiel pour l'avenir.  lire le reste de l#article   jean  luc  ;)

Mireille Mathieu : Les Allemands l'adorent et lui rendent hommage !
http://www.non-stop-people.com/sites/non-stop-people.com/files/styles/article/public/styles/paysage/public/images/2014/12/bestimage_00246402_000032.jpg?itok=aVIvFQZu   Mireille Mathieu est une très grande star en Allemagne. Alors qu'elle célébrait ses 50 ans de carrière, le site SZ Magazin lui a consacré un très long article rappelant pourquoi Mireille Mathieu est si populaire.

Cette année, Mireille Mathieu fêtait ses cinquante ans de carrière avec une série de concert à L'Olympia. Véritable phénomène, la chanteuse à la coupe de cheveux reconnaissable entre toutes connait également le succès à l'étranger. Mireille Mathieu a tout de même vendu 130 millions d'albums, enregistré 1 200 chansons en 11 langues. Un palmarès qui a été salué par le SZ Magazin, un site allemand. Ce dernier rend hommage à cette chanteuse, souvent considérée comme une artiste ringarde. « Il s'est pourtant passé quelque chose cet automne. La Mathieu est de retour. Avec une tournée à guichets fermés, avec une vénération collective qu'elle n'a jamais connue. Des interviews dans les grands magazines, de larges parts d'audience, des standing ovations où qu'elle aille. » Mireille Mathieu n'avait pas fait de tournée en France depuis à peu près dix ans. Il semblerait donc que le vent ait tourné en sa faveur. « La jeune star Ycare a écrit une chanson pour elle, et quand on a demandé il y a peu à Lady Gaga avec qui elle aimerait bien chanter en duo, elle a dit: "Avec cette femme merveilleuse, Mireille Mathieu." Elle est "une artiste très importante". »
« Elle aime les Allemands et l'Allemagne l'aime »

SZ Magazin s'est alors demandé comment Mireille Mathieu a fait pour avoir ce succès et surtout avoir la cote auprès des plus jeunes. « Quel est le secret? Qu'est-ce qu'a changé Mireille Mathieu durant les dix dernières années, fait différemment? Rien. L'offre est restée la même: coiffure, robe, voix, chansons. Ce n'est pas la Mathieu mais la France qui s'est transformée, et avec elle le public. Le pays est enlisé dans la crise, les dettes, le chômage, bien trop petite à côté du voisin allemand, des nouvelles puissances dans le monde. Les gens ont la nostalgie du passé. » C'est donc cela le secret de Mireille Mathieu, être vintage. La chanteuse est également une très grande star en Allemagne. Alors qu'elle entamera en mars prochain une tournée outre-Rhin, le quotidien autrichien Kurier rappelle qu'elle est déjà très appréciée en dehors de la France. « Elle aime les Allemands –et l'Allemagne l'aime: pour les efforts qu'elle a fournis pour entretenir la relation franco-allemande, on lui a même décerné l'Ordre du mérite de la République fédérale d'Allemagne. » C'était en 1984. 27 ans après, rappelle Slate, elle recevait la légion d'honneur.

Read more at http://www.non-stop-people.com/actu/mus … 3xAfhlD.99    jean  luc  ;)

L'Allemagne veut priver de carte d'identité les candidats au djihad .   C

Ceux qui prononcent des paroles de haine, qui commettent des actes violents au nom de l'islam, leurs complices et les idéologues du terrorisme international seront combattus avec rigueur, en employant tous les moyens à la disposition d'un Etat de droit », a promis Angela Merkel, dans un discours devant la chambre basse du Parlement allemand, à l'issue d'une minute de silence.

Elle a assuré aux juifs d'allemagne comme aux musulmans d'Allemagne qu'ils seraient protégés par les autorités.

    « Nous en Allemagne, nous ne nous laisserons pas diviser. Chaque terroriste qui déclenche une explosion ou qui tire sur quelqu'un sait qu'il vise des gens qu'il ne connaît pas et qui ne lui ont rien fait. Ce faisant, chaque terroriste prend une décision dont il doit assumer la responsabilité. Nous poursuivrons avec résolution les actes antisémites avec tous les moyens de l'Etat de droit (…) Il en va de même pour les attaques contre les mosquées. »

AMITIÉ FRANCO-ALLEMANDE

    « Nous sommes choqués et stupéfaits par la mort des 17 personnes innocentes. Notre compassion va aux proches des victimes, aux blessés et au peuple français. (…) L'Allemagne et la France ont une amitié particulière. L'Allemagne et la France sont ensemble en ces jours difficiles. Nous sommes conscients qu'il n'y a pas de sécurité chez nous en Allemagne, s'il n'y a pas de sécurité en France. La France et l'Allemagne ont des destins inséparables l'un de l'autre dans la mondialisation. » lire le reste de l'article  jean  luc  ;) 

Ps: pour ma part je suis pour en ce qui concerne la confiscation des papiers d'indentitée , et la remise d'une carte de couleur avec mention qui désigneras volontairement la personnne  ,ainsi que la création d'un systéme de reconnaissance par image .

VU D'ALLEMAGNE Après les attentats, la France reste calme dans la tempête
Le président Hollande et son Premier ministre se gardent des dérives américaines de l'après-11 Septembre. Satisfaction outre-Rhin. http://www.courrierinternational.com/files/imagecache/article/2015/01/2301-HollandePluie.jpg  Deux semaines après les attentats du 7 janvier, une bonne nouvelle nous arrive de Paris : le gouvernement français ne sombre pas dans l'hystérie. Il ne rogne pas sur les libertés de ses citoyens au profit de la sécurité intérieure. Il ne brade aucun des principes de l'Etat de droit. Ce triple non est la meilleure réponse aux terroristes. Dans la tourmente, la République garde son calme.

La réussite d'Oussama Ben Laden

Le président François Hollande et son Premier ministre Manuel Valls ont tiré les leçons des erreurs commises par les gouvernements américains après les attentats du 11 septembre 2001. Avec le Patriot Act, les interrogatoires sous la torture et Guantanamo, Washington a porté atteinte à l'Etat de droit et à la réputation de l'Amérique dans le monde. C'est en cela qu'Oussama Ben Laden et ses bandes d'assassins ont réussi.

Mesures dures et douces

Or si le gouvernement de Paris reste calme, il n'en agit pas moins. Il ne préconise pas de nouvelles lois, plutôt une application plus rigoureuse de celles qui sont déjà en vigueur. Les services secrets, la police et la justice vont voir leurs effectifs renforcés afin de mieux lutter contre les terroristes.

Grâce à de nouveaux aumôniers et à la création de quartiers séparés pour les islamistes dans les prisons, il sera possible d'endiguer la propagande extrémiste en milieu carcéral. Les établissements scolaires recevront de l'aide afin de pouvoir mieux accompagner les jeunes en difficulté. Ce mélange de mesures dures et douces contre le terrorisme semble convaincant. Hollande et Valls se montrent à la hauteur de leur tâche. Il était temps.  http://www.courrierinternational.com/ar … la-tempete

jean luc ;)

Quand François Hollande voulait réinventer la puissance franco-allemande : à vous les usines, à nous les soldats… mais les Allemands ont-ils besoin de ça pour se sentir puissants ?

François Hollande a annoncé lors de sa conférence de presse de ce jeudi 5 février un rapprochement avec l'Allemagne sur la question de la défense. En ligne de mire, une mutualisation des moyens avec la prise en charge par notre voisin d'une partie de notre budget militaire. Un intérêt stratégique discutable, et peut-être une manière de réaliser une bonne opération budgétaire. http://www.atlantico.fr/sites/atlantico.fr/files/styles/une/public/images/2014/09/rtr451z7.jpg  Des discussions à Bruxelles sont en cours. L'idée est de demander à l'Allemagne une contribution financière, car cette dernière profite de l'effort de défense français. Dans le même temps, on demande à la Commission européenne de retirer dans les chiffres du déficit budgétaire les dépenses militaires. François Hollande est resté prudent cependant dans sa conférence de presse, en annonçant certes un rapprochement avec l'Allemagne, mais sans se montrer plus précis. Les discussions restent pour l'instant bloquées au niveau de la Commission, mais cela n'a pas empêché le président français de déclarer :

"Qui a la capacité de mettre en œuvre une armée, qui peut prendre une décision à l'échelle du monde, qui a la force économique ?

Quand nous sommes ensemble, Français et Allemands, nous avons toute la capacité de la puissance à l'échelle du monde, et je veux que les Européens s'en rendent compte - ils le savent - et que le monde également saisisse ce qui va se produire."
Atlantico : L'idée d'une telle mutualisation est-elle aussi séduisante que présentée par François Hollande ? Y a-t-il un vrai intérêt stratégique pour la France dans ce qui ressemble à une division des tâches ?

Bertrand Badie : Il s'agit là d'une idée qui organise la pensée de François Hollande depuis longtemps déjà. Son tandem asymétrique avec Angela Merkel l'incite à exprimer une volonté de compenser l'incapacité économique française par une capacité militaire.

Est-ce une bonne idée ? La réalité est plus compliquée que cela. Le discours du président français pourrait être interprété comme habile s'il s'agissait d'un moyen pour la France de demander pour son armée un soutien budgétaire à l'Europe. Or cela a déjà été plus ou moins admis dans le dernier budget rectificatif. Est-ce une stratégie d'avenir ? Rien n'est moins sûr, car il faudrait pour cela que la France démontre que ses initiatives militaires aboutissent à des résultats probants. Aujourd'hui les résultats sont pour le moins négatifs en Libye, et médiocres ailleurs.  En outre, nos partenaires européens ne croient guère aux vertus de l'intervention militaire.

Par ailleurs, quelle serait la nature de ce projet ? Si les Européens décident d'investir dans la crise ukrainienne, alors tout le monde a besoin de tout le monde. L'Allemagne, en sa qualité de force prédominante, atténue l'idée d'une division des tâches. Mais la prudence est de mise, car un engagement en Ukraine relèverait du saut dans l'inconnu.

Lire également : La France, une puissance qui assume ses responsabilités dans le monde… oui mais avec des moyens militaires rééls de plus en plus limités sur le terrain

Yves Boyer : Le président Hollande retrouve les fondamentaux de la politique "gaullo-mitterandienne" de la France. Elle a une vocation à assurer la sécurité en Europe. Nous avons des moyens tout à fait conséquents à l'échelle européenne pour assurer cette mission. Et ce positionnement montre aussi que la France reconnaît ne pas pouvoir rivaliser en termes de prouesses économiques avec l'Allemagne, c'est le moins que l'on puisse dire... Dans le même temps, l'Allemagne reste assez limitée au niveau de la défense, avec son armée "parlementaire" – qui nécessite donc une décision politique complexe pour pouvoir l'employer – qui lui empêche d'être vraiment impactante. L'Allemagne assume presque une approche où le pays "paie" pour s'assurer une sécurité, là où la France accorde encore une grande importance à la question du rapport de puissance. La France peut donc profiter de ce contexte pour faire reconnaître sa prééminence sur la question de la sécurité et les technolgies qui y sont rattachées comme le nucléaire et le spatial. Quant à la capacité d'intervention de l'armée française, l'opération Serval a été reconnue par tous nos alliés comme un modèle.
Cette volonté de mutualisation peut-elle être une manière de réduire les dépenses budgétaires de la France en faisant porter celles-ci sur d'autres, évitant ainsi au gouvernement de devoir mettre en place des réformes structurelles ?

Philippe Crevel : Il y a déjà eu des précédents dans la volonté de faire peser sur d'autres pays européens une partie des dépenses militaires françaises. C'est même le souhait de plusieurs anciens présidents, il n'est donc pas étonnant que François Hollande puisse l'envisager. Nicolas Sarkozy l'avait déjà souhaité avec le Royaume-Uni. L'idée répandue est que les actions de défense menées par la France sont, en quelque sorte, un "service public" rendu à l'Europe et, en conséquence, les autres pays européens devraient y contribuer financièrement. Cependant, il sera assez difficile de pouvoir mutualiser la totalité des 1,5% de ce que représente le budget de la défense dans un budget européen ! En effet, comme de nombreuses dépenses gardent un strict plan national, on peut envisager qu'une mutualisation de ce budget pourrait faire "gagner" à la France 0,3 ou 0,4 points de PIB par rapport à ses dépenses militaires, mais guère plus. Après, si officiellement la mutualisation ne pourra pas aller plus loin, il serait par contre plus aisé d'envisager des mutualisations de dépenses officieuses.

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Commerce extérieur : l'Allemagne est-elle déloyale ?  http://static.latribune.fr/article_page/101957/2011-12-02t132814z-1-apae7b111f400-rtroptp-3-ofrtp-france-allemagne-relations-20111202-jpg.png
L'Allemagne a dégagé un excédent commercial de 217 milliards d'euros en 2014, en hausse de 11%. Pour la France, on parle plutôt de déficit. Un manque à gagner de... 53,8 milliards d'euros .
On n'a pas fini de comparer les modèles économiques allemands et français. Symbole de la toute-puissance industrielle allemande et sa capacité à se projeter aux quatre coins du monde, l'excédent commercial de l'Allemagne a atteint un niveau record en 2014. Selon Destatis, l'office fédéral allemand des statistiques, il a progressé de 11% l'année dernière pour s'élever à 217 milliards d'euros, contre 195 milliards d'euros l'année dernière.

Établi en 2007, avant la crise dont la France et la plupart des pays européens n'arrivent pas à sortir, le précédent excédent record s'élevait à 195,3 milliards d'euros.

A titre de comparaison, la France a affiché un déficit commercial de 53,8 milliards d'euros l'année dernière, en léger recul par rapport à 2013. Un recul qui s'explique en majeure partie par la baisse de 10 milliards d'euros de la facture énergétique liée au repli des cours du brut depuis le début de second semestre 2014. En effet, les exportations françaises n'ont augmenté que de 0,1%. Quant au nombre d'entreprises exportatrices, il est quasi stable, en dépit de la multiplicité des acteurs et des dispositifs publics de soutien à l'export. Dernier exemple en date de ce volontarisme de l'Etat, François Hollande a annoncé vendredi la création prochaine d'une banque de l'exportation dédiée aux grands contrats.
Une stratégie déloyale ?

Comment expliquer le succès allemand, sachant que la compétitivité de notre voisin, comme celle des entreprises françaises, peut souffrir d'une variation défavorable de l'euro face aux autres monnaies et en particulier face au

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Motion de censure : "Une farce qui profite au FN"
En jouant au "shérif de gauche", Manuel Valls peut faire adopter la loi Macron. Mais le gouvernement français est loin de pouvoir mettre en place un agenda global de réformes. Au contraire, Paris risque de produire une nouvelle paralysie politique – et la montée des extrêmes.http://www.courrierinternational.com/files/imagecache/article/2015/02/1902-AssembleeNationale.jpg  "La loi Macron ne suffira pas pour libérer vraiment la France de sa paralysie économique. Pour y parvenir le gouvernement français devrait se lancer dans un marathon de réformes", analyse la Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ), à l'approche du vote de la motion de censure à l'Assemblée nationale. Mais force est de constater que "la fronde s'est levée contre le président Hollande" et que "l'esprit [d'union nationale] du 11 janvier s'est évaporé".

Pour le quotidien conservateur, "la victoire contre les frondeurs est une victoire à la Pyrrhus. Hollande est affaibli."

Reste Manuel Valls. Mais "le shérif de gauche" pourra-t-il tenir bon ? "Combien y a-t-il de Schröder en lui ?" Son recours au 49.3, estime Handelsblatt, rappelle la politique de l'ex-chancelier social-démocrate Gerhard Schröder, qui ne s'est pas privé d'imposer son programme néolibéral, et "basta !"

Il ne fait aucun doute – comme l'a parfaitement compris la Süddeutsche Zeitung (SZ) – que le gouvernement français surmontera cette crise. Cette motion de censure est une "farce", assure le quotidien libéral. "Mais ce n'est pas tout. Malheureusement. C'est maintenant que commence le vrai drame de la nation : la crise est une constante." Et de s'alarmer que "le pays plonge de nouveau dans la division et la paralysie", les jeux politiciens fatals à toute modernisation de l'économie et l'incapacité du couple Hollande-Valls à "mobiliser une 'grande coalition' – autant dire une coopération au centre, avec les éléments les plus modérés de la droite".

Or, pendant ce temps, "le Front national avance. La crise et la désaffectation politique poussent les Français dans les bras de Marine Le Pen. Le Pen n'a rien à proposer, son programme va de l'absurde au dangereux. Et pourtant, c'est elle qui est le grand vainqueur de ce 19 février."  http://www.courrierinternational.com/re … fite-au-fn    jean  luc  ;)

Le salaire minimum mensuel est désormais plus élevé en Allemagne qu'en France
http://i.f1g.fr/media/ext/805x/www.lefigaro.fr/medias/2015/02/26/PHO87ddb414-bdc4-11e4-a31f-13612ed14647-805x453.jpg
Selon Eurostat, le salaire minimum mensuel est de 1473 euros en Allemagne contre 1458 euros en France. Une vraie révolution. Voilà une démonstration en grandeur nature que «pour gagner plus il faut travailler plus»!
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Heureux comme Dieu en France, et prospère comme un smicard en Allemagne. Tout le monde connaît bien sûr le premier dicton, qui est d'ailleurs d'origine allemande. Mais il va falloir s'habituer au second: un travailleur payé au salaire minimum gagne désormais plus en Allemagne qu'en France. C'est Eurostat qui le dit. Selon les chiffres publiés ce jeudi par l'institut des statistiques européennes, le salaire minimum mensuel s'établit depuis le 1er janvier à 1473 euros en Allemagne et à 1458 euros en France.

Chacun sait que l'Allemagne ne s'est convertie que tout récemment au salaire minimum. La réforme a été décidée après les élections générales de septembre 2013 et elle n'a été réellement mise en place qu'à compter du 1er janvier 2015. Après moult réflexions outre-Rhin, le gouvernement fédéral a décidé de fixer le salaire minimum à 8,50 euros de l'heure. C'est certes beaucoup moins qu'en France où il atteint 9,61 euros. Mais les Allemands se rattrapent en appliquant un autre adage, «travailler plus pour gagner plus». Et le résultat est bien là: un Allemand rémunéré au salaire minimum a une paye mensuelle supérieure à son homologue français.
Perte d'une des rares supériorités

Eurostat précise que «pour les pays dans lesquels le salaire minimum n'est pas défini sur une base mensuelle» mais horaire (ce qui est le cas en France, en Allemagne et au Royaume -Uni), «le niveau du salaire minimum est converti en un taux mensuel sur la base mensuelle du nombre standard d'heures de travail effectuées par mois». En France, c'est très simple, ce sont les 35 heures. Outre-Rhin les choses sont un peu plus compliquées car il n'existe pas de durée légale nationale du travail, chaque branche et même chaque entreprise fixe la durée du travail qui lui convient, en concertation avec les syndicats. Eurostat en a bien sûr tenu compte, et se base sur une moyenne entre l'ensemble des branches en Allemagne. lire le reste de l'article  jean  luc  ;)

http://d.ibtimes.co.uk/en/full/1366394/carnival-merkel.jpg http://www.google.de/imgres?imgurl=http … EK0DMCo4ZA

http://renaudfavier.files.wordpress.com/2013/01/france-saura-prendre-virage-competitivite-eco-l-enqt3g.jpeg?w=640&h=445                http://www.google.de/imgres?imgurl=http … CCMQrQMwAA  jean  luc  ;)

Sur l'Europe, François Hollande aura tout raté et l'histoire ne lui pardonnera pas

Sur l'Europe et depuis le début du quinquennat, François Hollande a tout faux. Le dernier sommet européen a encore été marqué par l'impuissance française à éviter le déclin, ce qui a permis au président de la Commission de retrouver un pouvoir d'influence qui était très fragile et oblige l'Allemagne à jouer un rôle impérialiste qu'elle ne souhaite pas forcément.
En Europe, le seul pays qui pose problème à une évolution plus cohérente et efficace, ce n'est ni la Grèce, ni l'Allemagne. C'est la France.

Les vieux Européens français, de Jacques Delors à Valéry Giscard d'Estaing ne décolèrent pas.

Les jeunes qui ont profité d'Erasmus sont désolés par un tel gâchis, obligés pour la plupart à s'exiler en Australie ou au Canada pour trouver un vrai boulot. L'Europe n'a pas cessé de décliner dans un monde dominé de plus en plus par trois régions surpuissantes : l'Amérique du nord et du sud, l'Asie, et l'Afrique.

La responsabilité de la France dans ce déclin est considérable. François Hollande aura véritablement tout raté. La France a perdu sa crédibilité et sa légitimité à transformer cet univers hétérogène en une institution capable d'offrir aux jeunes générations un projet d'avenir. Le seul possible en dehors de l'expatriation vers les pays émergents qui tentent de plus en plus nos élites diplômées.

La France pouvait conduire ce changement. François Hollande ne l'a jamais voulu en dépit des injonctions des hommes qui, dans sa propre famille, au PS étaient les plus convaincus que la modernité passait par une politique européenne plus volontariste. Le cœur du Parti socialiste avec en plus, les écologistes de gauche comme José Bové ou les socio-démocrates comme Manuel valls.

En fait, François Hollande a commis trois erreurs historiques qui ont bloqué le changement.

La première erreur est d'avoir considéré dès son arrivée que l'Europe était à l'origine des difficultés françaises. Il a voulu faire changer le mode de fonctionnement de l'UE pour ne pas avoir à réformer la France. Il a utilisé l'Europe, Bruxelles et la BCE comme des bouc-émissaires. Ce faisant dès le début de son quinquennat, il s'est mis en marge de la communauté européenne. Il a essayé de rallier les pays du sud à sa thèse. L'Espagne, l'Italie, le Portugal ont refusé. Du coup, la France est le seul pays de la zone euro à avoir refusé d'appliquer la discipline commune. Quelle impuissance ! Près de  trois ans plus tard, l'économie française est la plus en retard de toutes les économies de la zone euro. Pas de croissance et du chômage de masse. On profite seulement du vent qui vient d'ailleurs. Et encore.

La deuxième erreur est de tricher dans la présentation de ses comptes, de faire des promesses de rééquilibrages budgétaires mais de ne pas modifier son fonctionnement afin de délivrer ces promesses. Le comble est d'avoir intrigué pour obtenir que Pierre Moscovici soit le commissaire à l'économie. Les Allemands et les autres ont fait ce cadeau à François Hollande, mais il est empoisonné. Pierre Moscovici n'a pas forcément plus de bienveillance ou de tolérance envers l
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  jean  luc  ;)

Vu d'Allemagne, le succès du FN aux départementales menace toute l'Europe
C 
Même si le Front national n'est toujours pas «le premier parti de France», comme le promettait Marine Le Pen, son score élevé lors du premier tour des élections départementales inquiète la presse allemande, qui se tourne déjà vers l'horizon 2017: «Si la fausse Jeanne d'Arc devenait la présidente de la France, cela signerait la fin de l'Europe», affirme le quotidien bavarois Süddeutsche Zeitung:

    «Elle ne cherche pas à trouver de réelles solutions. Il lui suffit de critiquer les partis au pouvoir depuis des décennies comme “le système” qui trahit le peuple. Le summum de toute cette conspiration, comme le fait croire au quotidien cette fausse Jeanne d'Arc, serait cependant le fait que la «classe politique» parisienne [en français dans l'article] ait livré sa nation jadis fière à un pouvoir étranger –à la domination de l'UE et de l'euro, au “monstre froid” de Bruxelles.»

Le quotidien, qui analyse la dialectique eurosceptique de Marine Le Pen, empruntée à l'extrême gauche, qui donne selon lui l'impression qu'elle «aurait fait son apprentissage chez Karl Marx et non pas chez son père Jean-Marie, un esprit frappeur maintes fois condamné pour avoir tenu des propos antisémites», estime que la présidente du FN se montre jusqu'à présent plus «prudente» que l'extrême gauche grecque en n'attaquant pas frontalement l'Allemagne:

    «Elle sait en somme que ses concitoyens sont jaloux du “modèle allemand”. Mais cette envie qui couve, la présidente du FN en tire profit: l'UE et l'euro ne servent plus que les intérêts de Berlin. La politique de Merkel rendraient les Allemand détestables –et ferait courir le risque d'une “explosion de l'UE”.»
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quelle raclée pour le ps et Hollande ,il y a eu quand même eu 6 ministre ou secrétaire d'état virés pour fraude fiscales ,donc certains avaient en charge les finances ,le FN au pouvoir se seras pareille ,une chose aussi qu'il faut regarder le taux d' abstention 49%  ,c elas en dit long sur la crise de notre pays .

L'Allemagne peu attentive au procès du "comptable d'Auschwitz" 
(France 2)
Francetv info

Mis à jour le 22/04/2015 | 11:20 , publié le 21/04/2015 | 21:53

Oskar Gröning ne pensait sans doute pas se trouver face à la justice soixante-dix ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale. La société allemande ne s'attendait d'ailleurs pas non plus à un procès aussi tardif, explique Amaury Guibert, en direct de Berlin pour France 2. "Quel sens a ce procès soixante-dix ans après ? Doit-on juger un vieillard ? Pourquoi le faire seulement maintenant ?"
Le nazisme n'a plus le même poids symbolique

Mais au-delà de ces questions, le procès du comptable du camp d'extermination d'Auschwitz, accusé des meurtres aggravés d'au moins 300 000 juifs en 1944, ne suscite pas vraiment d'intérêt en Allemagne.

"Une page est en train de se tourner. Le nazisme n'occupe plus cette place écrasante qu'il a pu avoir dans l'Allemagne d'après-guerre, avec notamment cette question de la responsabilité collective", analyse le journaliste. Mais la population n'oublie pas son passé : d'après un sondage, c'est un sujet de discussion régulier pour la moitié des familles allemandes.
[url=   http://www.francetvinfo.fr/monde/europe … tor=AL-79-  voir vidéo[/url]jean  luc  ;)

oui les allemands ont tourné la page,les français ferais bien d'en faire autant

Airbus va porter plainte pour soupçons d'espionnage en Allemagne https://s.yimg.com/bt/api/res/1.2/3GuyH_UEBp2vgYTy8Icbiw--/YXBwaWQ9eW5ld3M7Y2g9NDgxO2NyPTE7Y3c9ODAwO2R4PTA7ZHk9MDtmaT11bGNyb3A7aD0zNzk7aWw9cGxhbmU7cT03NTt3PTYzMA--/http://globalfinance.zenfs.com/images/FR_AHTTP_REUTERS_OLFRBUS_WRAPPER_H_LIVE/2015-04-30T164800Z_1007120001_LYNXMPEB3T0W3_RTROPTP_3_OFRBS-FRANCE-ALLEMAGNE-ECOUTES-AIRBUS_original.jpg  Airbus Group a annoncé jeudi son intention de porter plainte en Allemagne après les informations selon lesquelles le BND, le service fédéral de renseignement extérieur allemand, a aidé ses homologues américains à espionner plusieurs entreprises européennes.

"Nous avons demandé des informations supplémentaires au gouvernement", a déclaré un porte-parole d'Airbus en Allemagne. "Nous allons porter plainte contre X en raison de soupçons d'espionnage industriel."

L'hebdomadaire Der Spiegel a rapporté la semaine dernière que des responsables du BND avaient indirectement aidé la National Security Agency (NSA) américaine à espionner plusieurs cibles en Europe pendant plus de 10 ans.

Le ministre de l'Intérieur allemand, Thomas de Maizière, un proche allié de la chancelière Angela Merkel, a nié mercredi avoir menti au Parlement à propos de la collaboration entre les services de renseignement allemands et américains.

Il est depuis plusieurs jours sous le feu des critiques de l'opposition dans ce dossier en raison de son rôle lorsqu'il était directeur de la chancellerie fédérale entre 2005 et 2009.

En 2013, après la publication d'informations selon lesquelles les Etats-Unis avaient placé le téléphone portable de la chancelière sur écoute, Angela Merkel avait déclaré que "s'espionner entre amis n'est absolument pas acceptable".

Le quotidien Handelsblatt avait le premier fait état de la plainte d'Airbus jeudi.

Selon la presse allemande, le BND a également aidé les services de renseignement américains à espionner les services de la présidence française, le ministère français des Affaires étrangères et la Commission européenne.

En France, plusieurs responsables politiques ont réclamé jeudi des excuses de l'Allemagne et une enquête dans ce dossier.

De son côté, le président de l'exécutif européen, Jean-Claude Juncker, a déclaré lors d'une conférence de presse ignorer si des agents allemands étaient en activité à Bruxelles mais il a rappelé avoir proposé dans le passé que la Commission crée ses propres services secrets "car les agents sont partout".

Lui-même ex-Premier ministre d'un gouvernement luxembourgeois contraint à la démission par un scandale d'espionnage et de corruption en 2013, Jean-Claude Juncker a ajouté que son expérience personnelle lui avait appris que les services secrets étaient très difficiles à contrôler.

La semaine dernière, le gouvernement allemand avait reconnu des failles au sein de ses services de renseignement et dit avoir demandé au BND de les combler.  https://fr.news.yahoo.com/airbus-va-por … 00575.html      jean  luc  ;)

Ps:Quelle belle  occassion pour certains politiques français de montrer leur germanophobie ,comme ci la France ne faisait pas la même  chose ,les grandes oreillse française  sont en Alsace

Pour moi il est reconnu , que les Français aiment pleurer sur leur compte , ils ne sauront jamais tourner la page , parce qu'ils se rattachent aux faits , pour d'autres dépassés.

Pour le FN , je ne pense pas que cela soit une menace pour L'Europe , bien que n'étant pas Membre du FN , la France ne pourrais se permettre de quitter la zone Euro , et surtout pas sous la tutelle de Bruxelles .
Ce qui affole une fois de plus c'est le basic people , qui aime a penser qu'avec le FN , c'est en quelque sorte les drapeaux style "Nazis" qui flotterai sur nos belles campagnes .

Il est vrai , que Hollande , dieu le saint père jouit d'une répulsion ,et que son gouvernement est loin d'être a la hauteur .Mais ne nous leurrons pas , c'est le résulta de fainéantise , a devoir grandir de noter pays Français qui en est la cause .
Parce que les français pensent poursuivre leur style de vie , comme en 1955/ 70 ....
Le monde bouge , les réalités sont la , cela me fait penser a la cigale et la fourmis , la fourmis Allemande et la cigale Française ....

Même si le FN monte en flèche , il n'occupe que quelques sièges au sénat , pas de panique a avoir .
Et si un jour , il devient le N° 1 , je pense qu'ils feront un ménage , le PS , est très bon dans la critique mais nul en dirigeant , La droite... pas si nul que cela , seulement leurs divergence interne nuit a la reconstruction de notre Nation .
Parc ce que LA est le mot "reconstruction " du territoire intellectuel Français .
Mon grand regret est de ne pas parler Allemand , ou de ne pas être né Allemand.

Il faut aussi que l'économie , ne repose plus sur les bases anciennes , elle est mondial , les répercussions ne se fond pas attendre .
Les USA ont eu chaud au derrière , il y a de cela quelque mois .
La City de Londres ....véritable plaque tournante , des valeurs numéraires , et des combines Offshore ....

Si la grogne des Français grandi , c'est qu'ils ne se reconnaissent plus , ils sont spectateurs , d'un nouveau Show business  a niveau politique.

Mais voyez le débat ne fait que commencer .

si le  FN est une menace pour l'europe comme tout les partis nationaliste ,car ils sont nationaliste et incapable de régler les problémes entre pays  ,sauf en pratiquant la solution militaire ,la Russie est un exemple parfait . autre   ex emple les derniéres elections  elections européenne ,ils ont pas été foutus de faire un groupe parlementaires car ils se detesde royalement les uns et les autres,d'ou le risque  de la solution militaire . il prône une iodologie du passé ,
celle de Colbert  . la réalitée e conomi que est telle que lorsqu'une zone e conomique est á la peine ,toutes les autres zones sont touchées  par  ex la zone euros est malade ,la Chine souffre et exporte moins 7,5% de croissance au lieu   de 11% ,par ans . Le  vrais probléme en France c'est notre classe politique et notre haute administration  qui se partage les postes en famille . les gouvernants de droite aidant ceux de gauche en cas de défaites electorales ,et vice-versa . tous les gouvernants ou presque sorte de l'ENA  ,ce qui fait qu'il se connaissent tous et sont copains comme cochon ,ils pratiquent  la politique des copains et des coquins . Aucun dirigeant français connais le monde du travail ,et encore moins celuis de l'entreprise ,car ils sont pour la plupart sorti de l'ENA  , et sont donc des fonctionnaires ,voir la derniére affaire http://www.lefigaro.fr/medias/2015/04/2 … -l-ina.php .
l'Allemagne se porte mieux dans ce domaine car elle est pas gérer par des fonctionaires,mais par des gens issue de l'entreprise ,et de lasociété civile .  jean  luc  ;)

Si on lit entre les lignes , ces foutus politiciens savent garder leur cul au sec , en monnayant leur poste ministériels et autres.....pas faux du tout .
L'abrogation de L'ENA c'est pas demain la veille , car question faux cul ils sont la , pour je reconnais que les mentalités sont tout autre en Allemagne , un politique est en principe coutumier du monde soit du travail , des finances , des affaires , et situations divers .

Hollande , lui ne c'est pas ce qu'est le monde des "sans dents" .

Son ex maîtresse c'est fait des seins en or en publiant son livre ....les Français ont couru aux librairies .....
Belle action , baux bénéfices ...le second livre devrait paraître récemment .
C'est pas beau la liberté d'expression ......

Oui mais sur un compte offshore au Luxembourg .ou ailleurs ....

Prenez moi pour un demeuré !!!!

En Allemagne ,quand tu tombe , tu tombe,  et si tu veut pas tomber ,tes amis te poussent ,mais ils peuvent pas monopoliser les postes ,au plus un politique se recase  dans l'industrie  ,, et c'est tout .
pour la derniére affaire cité ,c'est une lettre anonyme qui a dénoncer cet haute responsablede l'ina ,en plus avant elle etais conseilliére auprés du ministre de la culture du 1er gouvernement Walze . Auprés le remaniment et le changement du ministre,elle  a dû partir ,en consolation ,elle a été nommer au poste de président de l'INA ,organisme qui dépend du ministére de la culture ,un parachute doré .Cette responsable á été dénoncer par un petit fonctionaire ,ce n'est pas le service interne  de contrôle qui l'a fait . si un simple salarier fait ça  ,il va au trou ,pas c'est gens lá .
jean  luc  ;)

L'Allemagne, un modèle pour relancer l'apprentissage en France ?
http://static.latribune.fr/article_page/94290/des-apprentis-a-lille-en-fevrier-2009.png  Manuel Valls reçoit ce 12 mai l'ensemble des partenaires sociaux et des présidents de régions pour relancer l'apprentissage. Dans ce contexte, l'Institut Montaigne a publié une note préconisant de s'inspirer du modèle allemand.
sur le même sujet

    Les Régions se veulent à la pointe dans le développement de l'apprentissage
    Quatre économistes veulent refonder totalement l'apprentissage
    Redonner ses lettres de noblesse à l'apprentissage
    Le succès de l'apprentissage en Suisse: quelles leçons pour la France ?


Ce mardi 12 mai, Manuel Valls organise une « journée de mobilisation pour l'apprentissage et la formation » qui réunira les organisations syndicales et patronales, les présidents de Conseils régionaux et les ministres du Travail et de la Fonction publique, respectivement François Rebsamen et Marylise Lebranchu. L'objectif de cette réunion est de parvenir à « booster » l'apprentissage, alors que le gouvernement s'est engagé à porter d'ici 2017 de 300.000 à 500.000 le nombre des apprentis. Mais comment faire sachant que seulement 3,5% des entreprises françaises prennent des apprentis contre plus de 20% en Allemagne ? Chaque participant, bien entendu, y va de sa recette. L'Association des régions de France (ARF), très impliquée, a déjà présenté ses idées de réformes en faveur de l'apprentissage. Tout comme le Medef d'ailleurs.
La CGPME prône l'instauration d'un "crédit d'impôt apprentissage"

Mais d'autres organisations ont aussi fait entendre leur petite musique. Ainsi l'organisation patronale CGPME estime que:

    « Tout doit être fait pour faciliter les démarches administratives lors de l'embauche et tout au long de la durée du contrat. Or, au fil du temps, les contraintes sont venues s'accumuler donnant parfois le sentiment à l'employeur prêt à embaucher un apprenti qu'il entame un parcours du combattant et si cet apprenti est mineur, les contrôles s'abattent.  http://www.latribune.fr/economie/france/l-allemagne-un-modele-pour-relancer-l-apprentissage-en-france-475509.html#xtor=AL-13  jean  luc  ;)

PS:  il y a pas photos entre les deux systéme , moi j'ai une fille dans le systéme allemand super.

"Tsipras est peut-être moins européen qu'on ne le croit"    http://cdn-parismatch.ladmedia.fr/var/news/storage/images/paris-match/actu/politique/tsipras-est-peut-etre-moins-europeen-qu-on-ne-le-croit-daniel-cohn-bendit-grece-796102/8418258-1-fre-FR/Tsipras-est-peut-etre-moins-europeen-qu-on-ne-le-croit_article_landscape_pm_v8.jpg

L'ancien député européen redoute une logique de descente aux enfers. Nous l'avons rencontré.

Paris Match. Le vote massif en faveur du “non” au référendum du 5 juillet semble avoir figé encore un peu plus les positions des deux camps. Ni la Grèce ni l'Europe ne veulent céder. Pensez-vous que l'UE devrait se montrer plus conciliante ?
Daniel Cohn-Bendit. Les deux parties devraient chacune faire un effort. Mais, en ce qui concerne Bruxelles, je ne comprends pas l'attitude des dirigeants. Que le pire survienne et il faudra que l'Europe assume le poids d'images désespérantes, diffusées dans le monde entier, de Grecs en proie à la misère, de files d'attente interminables dans les rues, d'hôpitaux à court de médicaments… Elles porteront un coup fatal au sens même du projet européen, qui repose aussi sur la solidarité entre ses membres. Athènes et Bruxelles souffrent d'un blocage psychologique. Pour parvenir à un compromis, il faut se mettre dans la tête de l'autre et comprendre sa vision. Aujourd'hui, c'est l'inverse. Nous sommes dans une logique de crise, de descente aux enfers, parce que la Grèce n'a plus d'avenir. Et qu'en face la Commission européenne estime que le pays est responsable de son sort, puisqu'il refuse de se réformer. Mais l'Europe est incapable de mesurer ce qu'un pays peut supporter. Les deux côtés se nourrissent de stéréotypes caricaturaux. Il est impossible d'avancer dans ces conditions.

Que proposeriez-vous ?
Il faudrait nommer d'urgence un groupe de médiateurs indépendants qui n'appartiennent ni au FMI, ni à la Commission, ni au gouvernement grec. Cette initiative permettrait à tout le monde de sauver la face. Ensemble, ils pourraient réfléchir pendant huit jours à une solution acceptable. Ce serait une porte de sortie. Une façon de renoncer à ce jeu mortifère, issu de “La fureur de vivre”, où deux voitures roulent à toute vitesse, l'une vers l'autre, en espérant que ce soit l'autre conducteur qui prenne peur en premier. En entendant les déclarations de chaque camp, on a l'impression qu'il s'agit de gamins : “J'ai raison”, “Il a tort”, “Non, c'est toi.” Impossible de savoir qui dit la vérité. La Grèce, avec ce référendum, a eu un sursaut d'orgueil, car il est toujours désagréable de se voir intimer l'ordre d'agir dans des domaines souverains. Quant à Alexis Tsipras, peut-être est-il beaucoup moins européen qu'on ne le croit. Au point de dire, plus tard : “J'ai tout fait, mais je n'ai pas pu.” Son discours du 5 juillet avait, en tout cas, des accents insupportables. Affirmer que la Grèce a “créé la démocratie” relève en effet de la propagande la plus éhontée. Ce pays compte également l'un des partis les plus fascistes de la planète, tandis que son parti communiste a longtemps été l'un des plus staliniens parmi ses pairs internationaux, sans oublier que l'Eglise orthodoxe grecque a soutenu la Serbie dans la guerre de Bosnie. Des mythes ne font pas une réalité  lire le reste de l'article  jean luc  ;)

Prix du lait : en Allemagne, « nous avons les mêmes difficultés que les agriculteurs français »
La crise du lait n'épargne pas les producteurs allemands. Restés jusqu'ici relativement discrets sur leurs difficultés, beaucoup éprouvent durement les conséquences de la chute des prix du lait – mais aussi de la viande de porc – sur leurs exploitations. Le blocage des camions de produits alimentaires allemands, à la frontière alsacienne par des agriculteurs français en colère, a suscité, lundi 27 juillet, l'émoi dans toute la branche. La fédération syndicale allemande de l'industrie du lait (MIV) a condamné les blocages et marqué au passage son opposition aux mesures prises par Paris pour soutenir les éleveurs français.

« Si des décisions prises par un ministère français équivalent à un boycott des produits allemands, alors on remet en question les fondements de l'Europe », a déclaré Eckhard Heuser, président de la MIV, qui a appelé la Commission européenne à examiner la conformité du plan français d'aide aux éleveurs avec les principes de concurrence.

« Nous avons les mêmes difficultés que les agriculteurs français », a martelé Udo Hemmerling, président de la DBV, la plus grange fédération d'agriculteurs allemands, à la chaîne NTV, lundi. Il a contesté l'accusation de dumping salarial, arguant que tous les travailleurs agricoles employés outre-Rhin étaient aujourd'hui payés au salaire minimal.
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Allemagne: mort de l'ancien chancelier Helmut Schmidt  http://scd.rfi.fr/sites/filesrfi/imagecache/rfi_16x9_1024_578/sites/images.rfi.fr/files/aef_image/helmut-schmidt_0.jpg  Helmut Schmidt est décédé, mardi 10 novembre, à l'âge de 96 ans. Le chancelier social-démocrate dirigea l'Allemagne de l'Ouest de 1974 à 1982. Le président français François Hollande salut « un grand Européen »C'est d'abord le souvenir d'un chancelier de crises que laisse Helmut Schmidt même avant d'accéder au pouvoir en 1974. Lorsqu'il succède à un autre social-démocrate, Willy Brandt, Helmut Schmidt avait déjà fait parler de lui contre les inondations à Hambourg, sa ville natale au début des années 1960 ou bien pour lutter contre les étudiants d'extrême gauche, au cours de la même décennie.

Son mandat, durant huit ans, aura aussi été marqué par des crises importantes. Bien sûr la première crise économique, la première crise pétrolière, mais aussi une crise interne avec la Fraction armée rouge, le groupe d'extrême gauche terroriste qui le contraindra à prendre des mesures très difficiles et également contre la base du parti social-démocrate pour imposer le déploiement des euromissiles américains en Allemagne de l'Ouest face aux SS20 soviétiques.

Durant son mandat, Helmut Schmidt est d'abord plus respecté qu'aimé. Puis il devient la coqueluche des Allemands, avec une trentaine d'ouvrages, dont beaucoup d'entre eux auront été des best-sellers. Il était aussi très présent dans les débats publics; il aura dirigé pendant longtemps l'hebdomadaire prestigieux Die Zeit, il écrivait aussi ailleurs, mais on le voyait souvent dans les médias. Il était sans doute l'homme politique le plus aimé des Allemands.

Il avait encore pris position, il y a quelques semaines avant que son état de santé ne se dégrade dans les débats publics. Même s'il se déplaçait en fauteuil roulant, il restait toujours un esprit extrêmement ouvert et très vif. Il aurait eu 97 ans au mois de décembre  http://www.rfi.fr/europe/2min/20151110- … -democrate   


commentaire . beaucoup ne le connaisse pas ,mais c'etais un grand bonhomme ,un trés chancelier ,et il aimais notre pays , au revoir helmut  :cheers:   jean  luc  ;)

L'Allemagne aurait espionné Laurent Fabius et des personnalités des pays alliés .
http://static.latribune.fr/full_width/521586/le-ministre-francais-des-affaires-etrangeres-laurent-fabius-prend-la-parole-lors-d-une-assemblee-generale-des-nations-unies-onu-le-30-septembre-2015.jpg Les services de renseignements allemands ont placé sous surveillance le ministre français des Affaires étrangères ainsi que membres de la Court pénale internationale (CPI) à La Haye, de l'OMS, du FBI américain et de sociétés aux Etats-Unis, selon une radio allemande. Laurent Fabius va demander des explications à l'Allemagne. L'espionnage à nouveau au cœur d'une polémique outre-Rhin. Les services de renseignements allemands (BND) ont espionné un diplomate allemand ainsi que des personnalités de pays alliés, dont le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, affirme mercredi 11 novembre la station de radio allemande Radio Berlin Brandebourg (RBB) Inforadio. Et ce, alors que la constitution allemande interdit l'espionnage des citoyens allemands.

Sans révéler l'identité de ses sources, RBB indique que le BND a surveillé le diplomate allemand Hansjörg Haber, qui a dirigé la mission d'observation de l'Union européenne en Géorgie entre 2008 et 2011 et a ensuite été en poste à Bruxelles. Il est actuellement chef de la mission de l'UE en Turquie. Parmi les autres cibles figurent Laurent Fabius et des membres de la Court pénale internationale (CPI) à La Haye, de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), du FBI américain et de sociétés aux Etats-Unis, affirme RBB.

Il n'a pas été possible d'obtenir des commentaires officiels sur cette information. La commission parlementaire qui supervise les agences de renseignements doit se réunir dans la journée pour discuter du sujet lire l e reste   jean  luc  ;)

ps:  les hypocrites comme ci  on le savait pas ,la France  fait la même chose

Et puis, Fabius, avec toutes ses casseroles...