Discussions et réflexions sur l' Allemagne

L'hortensia, le cannabis du pauvre


Fumer les feuilles séchées des hortensias est une nouvelle "tendance" venue d'Allemagne. En cause : la crise. Mais quels en sont les effets ?http://www.lepoint.fr/images/2014/02/06/plante-cannabis-2407328-jpg_2069228.JPG   

Depuis quelques semaines, selon France 3 Nord-Pas-de-Calais, qui rapporte cette étrange histoire, les vols d'hortensias se multiplient dans le nord de la France. Le fait d'horticulteurs ? Pas du tout, car, selon la chaîne, les plantes auraient été dérobées dans le but d'être... fumées ! Où l'on apprend que les feuilles séchées de l'hortensia auraient des effets proches de ceux du cannabis.

Dans une interview au journal suisse Le Matin le professeur de pharmacologie Kurt Hostettmann affirme que "les hortensias ont des effets hallucinogènes et euphorisants". Mais il met surtout en garde contre les effets nocifs, "Ses effets secondaires sont très néfastes pour la santé : troubles gastro-intestinaux, problèmes respiratoires, accélération du rythme cardiaque, étourdissements."
Un produit plus accessible

L'hortensia n'est pas le premier produit naturel détourné de son usage pour être utilisé comme drogue - on pense notamment au champignon. La crise pourrait expliquer ce nouveau phénomène, l'hortensia étant beaucoup plus accessible que le cannabis. Ajoutez à cela que, pénalement, on ne peut pas reprocher à quelqu'un de faire pousser des hortensias...

Les vols opérés dans les jardins seraient destinés à la consommation individuelle. Question : des "exploitations" vont-elles fleurir dans quelques mois ? Certaines personnes mal intentionnées pourraient se découvrir une passion soudaine pour l'horticulture...http://www.lepoint.fr/insolite/l-hortensia-le-cannabis-du-pauvre-06-02-2014-1788805_48.php
jean  luc  ;)
PS:  J'ai un hortencia devant ma maison ,il va falloit que je le  surveille  :mad:

Allemagne : le ministre de la Santé contre la pilule du lendemain en vente libre .
http://media.rtl.fr/online/image/2014/0208/7769582264_hermann-grohe-le-28-janvier-2012-a-paris-archives.jpg   
Alors que la vente libre de la pilule du lendemain doit être débattue au Bundestag, le ministre allemand de la Santé (CDU) a pris position contre.

Le ministre allemand de la Santé, le conservateur Hermann Gröhe, s'est déclaré favorable au maintien de la prescription sur ordonnance de la pilule du lendemain en Allemagne.
"Nous avons besoin d'un accès rapide et sans discrimination à la pilule du lendemain et nous avons besoin d'une bonne consultation", a estimé Gröhe, membre du parti CDU de la chancelière Angela Merkel, dans un entretien au journal dominical Welt am Sonntag. "La meilleure façon d'assurer cela, c'est de garder la prescription sur ordonnance".

La pilule du lendemain, une contraception d'urgence à prendre au maximum 72 heures après une relation sexuelle, n'est disponible en Allemagne qu'après avoir obtenu une ordonnance auprès d'un médecin. La prise de position du ministre intervient alors que la vente libre de ce médicament doit être débattue jeudi au Bundestag, la chambre basse du parlement allemand. Les sociaux-démocrates du SPD, qui sont au côté des conservateurs dans le gouvernement de coalition d'Angela Merkel, y sont favorables, tout comme la gauche radicale et les Verts. Le CDU et son petit frère bavarois CSU sont au contraire réticents. Une partie des catholiques considère la pilule du lendemain comme une méthode d'avortement.

"Les expériences dans d'autres pays montrent que la pilule du lendemain contribue à limiter les interruptions volontaires de grossesse", a plaidé auprès du journal Hilde Mattheis, porte-parole du SPD sur les questions de santé. "On fait passer l'idéologie et les intérêts économiques avant le droit à l'autodétermination des femmes", a pour sa part dénoncé dans un communiqué Kordula Schulz-Asche, une porte-parole des Verts, en référence au lobby des médecins. Elle rappelle que l'Institut fédéral allemand des médicaments a rendu un avis favorable à la vente sans ordonnance de la pilule du lendemain .http://www.rtl.fr/actualites/info/international/article/allemagne-le-ministre-de-la-sante-contre-la-pilule-du-lendemain-en-vente-libre-7769582089    jean  luc  ;)

Allemagne: un ministre de Merkel contraint de démissionner
http://scd.rfi.fr/sites/filesrfi/dynimagecache/0/0/3500/1977/1024/578/sites/images.rfi.fr/files/aef_image/2014-02-14T172414Z_1001637745_BM2EA2E1BJG01_RTRMADP_3_GERMANY-MINISTER-RESIGNATION_0.JPG
En Allemagne, Hans-Peter Friedrich, ancien ministre de l'Intérieur d'Angela Merkel et ministre de l'Agriculture depuis deux mois dans le nouveau gouvernement de coalition, a démissionné ce vendredi. Le ministre conservateur est accusé, selon les médias allemands, d'avoir trahi le secret d'une enquête judiciaire sur un réseau de pornographie infantile. Tout s'est en tout cas réglé très vite.

Avec notre correspondant à Berlin, Pascal Thibaut

Angela Merkel a beau se déplacer encore avec des béquilles, l'affaire a été rondement menée. Premier acte : des informations révèlent que la justice enquête sur un député social-démocrate en vue et respecté, suspecté de pédopornographie sur Internet.

Deuxième acte : l'actuel ministre de l'Agriculture, Hans-Peter Friedrich, un conservateur bavarois, jusqu'en décembre en poste à l'Intérieur, reconnaît avoir informé à l'automne dernier le président du parti social-démocrate que son camarade de parti figurait sur une liste de suspects.

Alors que la grande coalition est en pleines négociations, l'information se veut un geste amical pour éviter de nommer au futur gouvernement un ministre menacé par la justice. Mais en divulguant ces informations confidentielles, le ministre de l'Intérieur de l'époque a enfreint son devoir de réserve.

Troisième acte : la pression monte. Angela Merkel persuade l'intéressé de démissionner. Souriant, il obtempère sur l'air connu « Non rien de rien je ne regrette rien ». Une demi-heure après, Angela Merkel rend hommage à ce même ministre, dont la carrière politique a été marquée par de nombreuses bourdes. La balle est désormais dans le camp des conservateurs bavarois qui doivent donner à l'Allemagne un nouveau ministre de l'Agriculture. http://www.rfi.fr/europe/20140214-allem … udiciaire/

jean  luc  ;)

Allemagne : l'affaire Edathy fragilise la grande coalition de Merkel


Après la démission du ministre de l'Agriculture, le scandale du député impliqué dans une affaire de pédophilie pourrait faire tomber d'autres têtes.
À qui le tour ? L'affaire Edathy n'en finit pas de fragiliser le gouvernement d'Angela Merkel. Le député social-démocrate (SPD), qui est soupçonné d'avoir commandé sur la Toile auprès d'une société canadienne des vidéos et des photos de mineurs dénudés, a déjà provoqué la démission, vendredi, du ministre de l'Agriculture, Hans-Peter Friedrich, accusé de violation du secret de l'instruction. Mais d'autres têtes pourraient bien tomber dans les prochains jours.

Sebastian Edathy était considéré comme l'une des étoiles montantes de l'opposition. Son travail à la tête d'une commission d'enquête parlementaire sur une série de meurtres racistes en Allemagne, qui avait fait neuf victimes dans les années 2000, l'avait placé sur le devant de la scène politique allemande. L'an dernier, le nom de ce sociologue né d'un père originaire d'Inde est toutefois apparu sur une liste de suspects impliqués dans un réseau de pornographie infantile.

Informé de cette enquête, Hans-Peter Friedrich, qui était à l'époque ministre de l'Intérieur, a cru bon d'alerter en octobre dernier les responsables du SPD. Ce membre de l'aile bavaroise du parti conservateur (CSU) aurait notamment prévenu personnellement Sigmar Gabriel, le président du parti social-démocrate, aujourd'hui ministre de l'Économie et vice-chancelier fédéral.
Effet domino

Officiellement, rien n'aurait filtré de cette rencontre, mais les enquêteurs se demandent alors pourquoi la police a retrouvé dans les locaux de Sebastian Edathy plusieurs disques durs endommagés lors d'une perquisition organisée la semaine dernière. Cette dégradation laisse en effet penser que le député avait été alerté de la visite imminente des forces de l'ordre et qu'il a cherché à éliminer des pièces à conviction.

Pour tenter d'éteindre cette polémique, Hans-Peter Friedrich a donc préféré quitter le gouvernement. Une démission acceptée immédiatement "avec de grands regrets et beaucoup de respect" par la chancelière. Mais la CSU semble aujourd'hui bien décidée à ne pas payer seule les pots cassés de cette sombre affaire  lire le reste de l'article   jean  luc  ;)

Le bio à la dérive en Allemagne
En Allemagne le secteur bio doit faire face à une situation paradoxale : la demande des consommateurs allemands pour les produits biologiques atteint des records, et pourtant, les producteurs nationaux sont bien en peine d'y répondre. Pour y remédier, le secteur recours à l'importation massive de produits bios qui sont ensuite distribués par les discounters. Une situation contraire à l'idéal des pionniers du bio.

« Pour les pionniers du bio, la recherche du bénéfice n'était pas le but recherché. Ils étaient à la recherche d'une autre agriculture, aux dimensions locales et régionales, parce qu'ils se préoccupaient de la qualité des sols », rapporte Felix Prinz zu Löwenstein, directeur du Bölw, l'organisme allemand représentant les intérêts du secteur bio. Force est de constater qu'en Allemagne, l'idéal est passé à la trappe. Dans le bio, une carotte sur deux provient des Pays-Bas, d'Israël ou d'Italie. Un concombre sur deux est importé. De même que huit citrons sur dix. Pour un consommateur allemand, il n'est pas surprenant de voir les pommes de terre bio venir d'Egypte. La viande porcine bio et les œufs bios proviennent à 20% de l'extérieur. Par ailleurs, les discounters ont envahi le marché et sont devenus les principaux distributeurs de produits bios, au grand dam du commerce de détail bio traditionnel.

« Les distributeurs conventionnels sont devenus le moteur du secteur », constate, un brin amer, Axel Hilckmann, volailler de Bavière et représentant pour son Land de la marque allemande Bioland. « Bien sûr, nous préférerions largement que nos produits soient distribués au sein de notre propre branche, mais nous sommes bien obligés de constater que les clients s'approvisionnent principalement chez les discounters lorsqu'ils achètent du bio ». Et jamais la demande pour ces produits n'a été aussi haute en Allemagne : selon les chiffres de la Bölw, la demande en 2012 a connu une hausse de 6% pour atteindre les 7 milliards d'euros de chiffre d'affaire. La part du bio dans le marché de l'alimentaire nationale représente 3,9%. A l'exception du fromage, des boissons non-alcoolisées et des pommes de terre, tous les produits ont enregistré une hausse.

Culture de maïs pour le biogaz contre production de bio ?

Cette envolée du bio devrait logiquement profiter aux producteurs nationaux. Logiquement seulement car il n'en est rien, bien au contraire. La croissance des surfaces agricoles en bio stagne: seulement 2,7% pour l'année 2012, soit 1 043 528 hectares. Parallèlement, le nombre d'exploitations bios a enregistré une hausse quasi similaire pour atteindre les 23 096 exploitations (chiffres du Bölw). Face à cette quasi-stagnation, il n'est guère surprenant de constater que les producteurs nationaux ne peuvent satisfaire la demande. Une situation pour le moins paradoxale. Comment en est-on arrivé là ? « C'est un effet pervers de la loi EEG, qui finance la transition énergétique », explique Axel Hilckmann. « Les agriculteurs optent pour la culture expansive du maïs qui alimente les centrales à biogaz. Grâce aux primes touchés par la vente du maïs cultivé à des fins purement énergétiques, les agriculteurs obtiennent des bénéfices plus intéressants que s'ils se lancent dans l'agriculture bio ». La concurrence du maïs sur l'espace agricole diminue non seulement la superficie disponible mais rend le terrain trop cher, explique encore Axel Hilckmann, et ce, d'autant plus que les agriculteurs bio obtiennent des rendements moins élevés que les agriculteurs conventionnels et donc ne permettent pas d'amortir la cherté du terrain.

Le nouveau ministre de l'Economie et de l'Energie, le social-démocrate Sigmar Gabriel (SPD), reconnait le problème et entend réduire les subventions pour les nouvelles centrales à biogaz. Or, les deux Länder du sud de l'Allemagne, la Bavière et le Baden-Wurtemberg, qui abritent la grande majorité des centrales à biogaz du pays, ont déjà fait entendre leurs désaccords contre cette initiative. http://www.novethic.fr/novethic/ecologi … 142170.jsp

jean  luc  ;)

L'Allemagne, championne d'Europe des inégalités !


Une étude montre qu'un Allemand de "l'Ouest" possède en moyenne un patrimoine de 94 000 euros contre à peine 41 000 euros pour un "Ossi".
http://www.lepoint.fr/images/2014/02/28/euros-2466564-jpg_2117953.JPG
Le pays de la zone euro où les inégalités sont les plus fortes est... l'Allemagne. Une étude de l'Institut allemand pour la recherche économique (DIW) montre que le fossé qui sépare outre-Rhin les riches et les plus démunis ne parvient pas réellement à se combler au fil des ans. Les Länder de l'ancienne RDA ont également du mal à rattraper leur retard malgré les 12 milliards d'euros qu'ils reçoivent chaque année de l'impôt de solidarité que doit verser l'ensemble des entreprises et des citoyens. Un Allemand de "l'Ouest" possède ainsi en moyenne un patrimoine de 94 000 euros, contre à peine 41 000 euros pour un "Ossi". L'égalité entre les sexes n'est pas non plus pour demain, puisque les hommes ont 27 000 euros de plus que les femmes comme "poire pour la soif" (pour calculer la fortune personnelle d'un particulier, l'étude prend en compte l'épargne, les assurances, les bijoux et les propriétés immobilières détenus par les particuliers, mais pas leurs voitures ni leurs liquidités).
Faire des enfants n'aide pas à économiser !

Si les riches ne cessent de s'enrichir (les Allemands qui ont la chance de faire partie de la portion de la population la plus aisée possèdent aujourd'hui 817 000 euros, contre à peine 787 000 euros il y a cinq ans), les chômeurs ont vu leur patrimoine chuter pratiquement de moitié en une décennie pour atteindre tout juste 18 000 euros. Faire des enfants n'aide pas non plus à économiser. Un couple seul dispose ainsi en moyenne de 216 000 euros contre à peine 62 500 euros pour une famille avec un enfant et 44 000 euros pour un foyer de cinq personnes. Et près de 20 % de la population ne possède aucun patrimoine, une proportion qui monte à deux tiers chez les chômeurs. Environ un tiers des Allemands sont endettés et le nombre des surendettés est même croissant.lire le reste de l'article   jean  luc  ;)

jolie vidéo sur le harzt IV,et les jobs á 1 €   :ohttp://www.agoravox.tv/actualites/polit … ible-43884


jean  luc  ;)

le  carnaval de Rottweil au sud de Stuttgard  http://videos.tf1.fr/jt-13h/2014/carnav … 77982.html  jean  luc  ;)

L'Allemagne abrite plus d'étrangers que jamais
Le nombre d'étrangers vivant en Allemagne a atteint un record l'an dernier, selon des chiffres publiés vendredi qui font état d'une hausse de 6% sur un an alimentée principalement par des arrivées en provenance de l'Union européenne.
A fin 2013, 7,6 millions d'étrangers vivaient en Allemagne - sur 80,5 millions d'habitants - selon ces chiffres publiés par l'Office fédéral des statistiques Destatis et calculés à partir des données du registre des étrangers.
C'est le nombre le plus élevé enregistré depuis la création de ce registre en 1967, a souligné Destatis.
La hausse entre 2012 et 2013 a atteint près de 420.000 personnes, soit 5,8%, accentuant une tendance qui se dessinait depuis 2011. L'essentiel de cette progression provient d'un solde migratoire positif de près de 520.000 personnes.
La plus grande partie des nouveaux étrangers sont originaires d'Europe de l'Est, notamment de Pologne, de Hongrie, et, avec des progressions très fortes mais des contingents toujours limités en valeur absolue, de Roumanie et de Bulgarie.
Les arrivées de Bulgares et de Roumains, qui s'installent dans certaines villes comme Berlin ou Duisbourg dans l'ouest du pays, ont été stigmatisées dans la presse allemande ces derniers mois.
L'immigration en provenance des pays d'Europe du Sud touchés par la crise a aussi continué à grimper, avec une hausse de 13% du nombre d'Espagnols, de 6% de Grecs et de 4% d'Italiens.
Le registre des étrangers ne comptabilise que ceux qui n'ont pas aussi un passeport allemand. Outre les arrivées et les départs, il prend aussi en compte les naissances et les décès d'étrangers en Allemagne, tandis que les personnes qui se font naturaliser sont radiées.http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/afp-00588370-l-allemagne-abrite-plus-d-etrangers-que-jamais-655412.php  jean  luc ;)

Pourquoi l'Allemagne est en première ligne sur l'Ukraine http://photo.europe1.fr/infos/international/merkel-iatseniouk/31156419-1-fre-FR/Merkel-Iatseniouk_scalewidth_630.jpg
http://photo.europe1.fr/divers/steinmeier-allemagne/31156603-1-fre-FR/Steinmeier-Allemagne_scalewidth_150.jpg Le très respecté Franck-Walter Steinmeier joue avec l'Ukraine sa première manche diplomatique depuis sa nomination au gouvernement au mois de décembre. Et sa performance est saluée par les médias allemands.

L'Allemagne en première ligne. Mais Steinmeier n'est pas seul sur le coup. Jeudi, la chancelière a discuté avec Arseni Iatseniouk, le ministre ukrainien par intérim. Le même jour, l'autre tête de l'Allemagne, le vice-chancelier Sigmar Gabriel, devait rencontrer Vladimir Poutine. "L'Allemagne est l'acteur clé dans cette affaire", confirme à Europe 1 Philippe Moreau Desfarges, chercheur à l'Institut français de relations internationales et auteur de L'histoire de l'Europe pour les nuls.lire le reste de l'article   jean  luc  ;)

Ukraine : Donald Tusk veut revoir la politique énergétique européenne
Selon le Premier ministre polonais, la dépendance de l'Allemagne au gaz russe menace la souveraineté de l'Europe.

La dépendance de l'Allemagne vis-à-vis du gaz russe constitue une menace pour la souveraineté de l'Europe, a affirmé lundi le Premier ministre polonais Donald Tusk (photo AFP). «La dépendance de l'Allemagne au gaz russe peut limiter réellement la souveraineté de l'Europe. J'en suis convaincu», a déclaré Donald Tusk devant la presse, à deux jours d'une visite de la chancelière allemande Angela Merkel à Varsovie.

«Pour moi, la question de l'Ukraine, c'est une question de l'avenir et de la sécurité de l'Union européenne», a déclaré le Premier ministre polonais en visitant une base militaire dans le nord de la Pologne. Il s'est prononcé pour «une certaine révision de la politique énergétique» de l'Union européenne.

«J'en discuterai très ouvertement avec Mme Merkel, faisant valoir que les conceptions actuelles concernant la politique climatique et gazière risquent de constituer une menace pour la sécurité et la souveraineté de l'Europe toute entière», a-t-il insisté. «Je formulerai sans équivoque nos opinions au sujet des menaces politiques liées à la dépendance au gaz et à l'argent russes. Ceci, bien sûr, ne concerne pas que l'Allemagne, mais l'Allemagne constitue un fort exemple de ce phénomène, ces dernières années», a-t-il encore déclaré.lire le reste de l'article    jean  luc  ;)

http://www.courrierinternational.com/files/imagecache/ulysse_une/2014/03/1303-UNE-Handelsblatt.jpg  VU D'ALLEMAGNE • Realpolitik en Crimée

"Cessez de vous emporter !" lance le quotidien économique allemand à l'adresse des Occidentaux. "Le président Poutine n'est pas l'infâme agresseur que l'Occident fait de lui."

Actuellement, dénonce Handelsblatt par la voix de l'un de ses dirigeants, Gabor Steingart, favorable à un "retour à la Realpolitik", l'Occident se livre à ce que les Américains ont baptisé en d'autres temps "Pitbull-Politics", ce qui signifie : "S'en prendre à quelqu'un sans réfléchir, avec la dureté de l'instinct animal".

"On ne peut, sans tordre les faits, qualifier Poutine d'expansionniste," poursuit Steingart. "La Crimée fait partie de la Russie comme le Vermont fait partie des Etats-Unis." "Si Poutine abandonne la Crimée, il est perdu. Son agressivité est nécessaire, politiquement, militairement et historiquement, s'il ne veut pas perdre son statut de puissance mondiale. Les craintes d'être encerclé sont dans l'ADN de tout hégémon. Qui n'accepte pas la chimie du pouvoir [...] ne comprend rien à la Realpolitik."

Dans ce contexte, "décréter des sanctions économiques n'est ni prometteur ni intelligent," estime Handelsblatt. Car "c'est précisément dans une telle situation que les relations économiques pourraient jouer un rôle stabilisateur."

"Quiconque pense en termes de Realpolitik sait que Poutine ne peut laisser la Crimée sortir de sa sphère d'influence. S'il l'acceptait, il serait un président en sursis. Et après Poutine, ce n'est pas la démocratie à l'état pur qui s'installerait mais l'anarchie en uniforme militaire. L'Amérique, l'Europe, l'Allemagne, Angela Merkel - nous tous serions bien avisés de nous imposer de la retenue, avant de l'imposer à Poutine. Le pitbull en nous doit être tenu en laisse." http://www.courrierinternational.com/un … -en-crimee 

jean  luc  ;)

Décidément, l'Allemagne ne change pas !                                                                                                              Instauration d'un salaire minimum, politique familiale plus généreuse, abaissement de l'âge du départ à la retraite à 63 ans pour les travailleurs ayant 45 ans de cotisations derrière eux.

L'Allemagne semble depuis peu jouer une partition plus coopérative de relance de sa demande intérieure et vouloir prendre sa part dans la nécessaire convergence européenne. En apparence du moins, car les derniers chiffres allemands nous renvoient une toute autre image. Celle d'un pays égal à lui-même qui tire sa force de son industrie grâce à des entreprises ultra-compétitives.

D'un pays qui continue d'accumuler des excédents extérieurs massifs. Des excédents d'autant plus importants que la demande domestique est atrophiée en raison du contrôle très strict des salaires, condition sine qua non pour rester compétitif. L'Allemagne reste aussi un pays vieillissant avec un déficit démographique naturel à peine compensé par les flux migratoires. Le changement de cap annoncé fait figure de concession formelle, à replacer dans le contexte politique de la coalition. Sans prise sur la réalité à brève échéance.  lire le reste de l'articl e   jean  luc  ;)

En Allemagne, le voile à l'école « n'a quasiment jamais posé problème »  http://www.la-croix.com/var/bayard/storage/images/lacroix/religion/actualite/en-allemagne-le-voile-a-l-ecole-n-a-quasiment-jamais-pose-probleme-2014-03-14-1120323/37677609-1-fre-FR/En-Allemagne-le-voile-a-l-ecole-n-a-quasiment-jamais-pose-probleme_article_main.jpg

Chercheur en sciences politiques à l'Université technique de Munich, spécialiste des questions de laïcité et d'islam, Janine Ziegler rappelle que l'interdiction qui prévaut dans une moitié environ des Länder ne concerne que les enseignantes.   D'une manière générale, la tradition allemande de coopération entre État et religions permet la résolution des quelques conflits nés de la pratique musulmane dans le cadre scolaire.

La Croix : Le port du foulard musulman par des collégiennes ou lycéennes a-t-il posé problème en Allemagne ?

Janine Ziegler : Le port du foulard à l'école par les élèves n'a quasiment jamais posé de problème en Allemagne, sauf dans quelques cas très rares de dissimulation du visage. Une fois, un directeur « engagé » a décidé d'interdire le voile dans son établissement mais cette interdiction a ensuite été annulée.

D'une manière générale, notre pays a une tradition de beaucoup plus grande compréhension et coopération dans les relations entre l'État et les religions. Sans doute aussi la nécessité de préserver la liberté religieuse a-t-elle conduit les Länder (qui ont la compétence scolaire) à ne pas interdire le voile aux élèves.

L'interdiction, qui prévaut dans une moitié environ d'entre eux, ne concerne que les enseignantes. Les premières législations sont apparues autour de 2004, au même moment à peu près que la loi française sur les signes religieux, et font apparaître des argumentations différentes selon qu'il s'agit de Länder du sud, majoritairement catholiques, ou du nord  lire le  rest e de  l'article    jean  luc  ;)

Importante manifestation pour le service public en Allemagne
Quelque 50'000 personnes ont manifesté mardi dans plusieurs villes d'Allemagne, demandant une amélioration des salaires de la fonction publique.http://www.rts.ch/video/info/journal-continu/5720745-importante-manifestation-pour-le-service-public-en-allemagne.html
jean  luc  ;)

Allemagne : les touristes allemands sont de retour http://geopolis.francetvinfo.fr/sites/default/files/styles/asset_image_full/public/assets/images/2014/03/Le-Reichstag-Berlin.jpg?itok=WARHZveo
Champions des voyages à l'étranger, les Allemands passent de plus en plus leurs vacances dans leur pays. Lequel attire toujours plus de touristes du monde entier. Notamment grâce à Berlin.

«Nous observons ce phénomène depuis plusieurs années. Il a commencé» avec la tenue de la Coupe du monde de football en 2006 Outre-Rhin, indique l'institut allemand d'études de marché GfK. «Cet évènement crucial a fait apparaître l'Allemagne sous un jour totalement différent», commente l'Organisation mondiale du Tourisme (OMT).

Sous un soleil le plus souvent radieux, les matchs joués dans 12 villes différentes ont alors contribué à faire découvrir un pays passionné de football. Pour la première fois depuis la chute du IIIe Reich, l'Allemagne, réunifiée depuis 1990, pouvait «afficher sans complexes un patriotisme (ne faisant) plus peur», selon L'Express, et agiter son drapeau naturellement, comme toutes les autres nations. Avec «une organisation sans faille», une «ambiance amicale», elle a su faire du Mondial «une fête». Un excellent moyen pour offrir «une image souriante». Ces dernières années, cette excellente image a sans doute été renforcée par les succès de l'économie allemande. Des succès tels que l'Etat fédéral affiche désormais un budget à l'équilibre pour la première fois depuis 1969…

En 2013, la barrière des 70 millions de nuitées de visiteurs étrangers a été franchie pour la première fois dans le pays (à 71,6 millions, soit une hausse de 4% par rapport à 2012), selon l'Office fédéral des statistiques. Pays de foires et de salons internationaux, comme celle de l'industrie à Hanovre (nord) au printemps, ou du livre à Francfort (centre) à l'automne,
l'Allemagne accueillait déjà depuis des décennies un nombre conséquent d'hommes d'affaires, venus du monde entier. Mais désormais, les étrangers y passent aussi leurs vacances.

Pour 2014, l'Office national allemand du tourisme (ONAT) table sur une progression de 1 à 3% du nombre de nuitées achetées par les visiteurs. Et «en 2020, nous considérons le chiffre de 80 millions de nuitées comme tout à fait réaliste», avance-t-on à l'ONAT. En 2012, l'Allemagne occupait le septième rang des pays les plus visités dans le monde. Loin, cependant, derrière la France, lire le reste de l'article  jean  luc  ;)

L'Allemagne adopte le salaire minimum
Le salaire minimum généralisé a été adopté en conseil des ministres ce mercredi 2 avril en Allemagne. Cette mesure concernerait 14% des salariés du pays, surtout des femmes et ex-citoyens de l'Est.http://www.bfmtv.com/i/580/290/1118425.jpg
L'Allemagne a adopté un salaire minimum à 8,50 euros brut de l'heure. Après plusieurs mois de négociations entre partenaires sociaux, la mesure a été examinée ce mercredi 2 avril en conseil des ministres.

Elle entrera en vigueur à partir du 1er janvier prochain, dans tout le pays. Les patrons n'ont finalement pas réussi à en limiter la portée comme ils l'auraient voulu. L'instauration d'un smic généralisé devient la mesure la plus emblématique de la grande coalition en Allemagne.

Ce salaire minimum concernera tous les Allemands, exceptés les jeunes de moins de 18 ans qui n'ont pas terminé leur formation, et les chômeurs de longue durée qui reçoivent une aide du pôle emploi allemand (16.000 sur un total de 1,1 million)

Des économies pour l'Etat?

Au total, selon l'institut de recherche économique IFO, de 3,7 à 5 millions de personnes, soit 14% des salariés dans la fourchette haute, devraient ainsi en profiter, en majorité des femmes.

Un quart des futurs bénéficiaires travaillent en ex-Allemagne de l'Est, moins bien payés que ceux de l'Ouest du pays.

Le Smic concernera aussi toutes les branches professionnelles, contrairement à ce que voulait le patronat, qui aurait bien multiplié les exceptions. Mais une quinzaine de secteurs ne le mettront en place qu'en 2017.

Les experts sont divisés sur les conséquences de la mise en place de ce smic. Ses pourfendeurs les plus pessimistes vont jusqu'à prédire la disparition de 900.000 emplois. Ses partisans, eux, anticipent une hausse du pouvoir d'achat, et donc la demande.

Ils croient même que l'Etat pourrait faire des économies, via une baisse des aides publiques qui compensaient jusqu'à présent les trop bas salaires. 11 millions d'euros d'aides de ce type sont versées chaque année à 1,3 million de salariés.

http://www.bfmtv.com/economie/lallemagn … 46079.html
jean  luc  ;)

PS. Le smic français a largement contribuer á l'augmentation du chômage en France ,je suis pas sûr que ce soit une bonne solution pour l' Allemagne

Bonjour Jean-Luc. Je découvre le site peu à peu. Je constate que tu es un grand connaisseur de l'Allemagne contemporaine, et j'ai certainement beaucoup à apprendre de quelqu'un comme toi. Je t'en remercie. Je réagis cependant, d'une manière générale, au concept gratuit et empoisonné "de l'arrogance de l'Allemagne", tant il a fait de mal dans le passé. N'oublions pas que les deux peuples (Angleterre et France),qui possédaient la moitié de la Terre et de la Mer à eux deux ont tout fait autrefois pour justifier l'entrée en guerre (et l'accomplir) contre l'Allemagne sous prétexte de son esprit conquérant ! J'admire la culture allemande, la France a beaucoup apporté aussi à la civilisation. Mais je ne crois pas qu l'Allemagne, depuis Fichte et antérieurement - et avant cela - ait à rougir de son histoire, si complexe, et si contradictoire. Berlin, après la Révocation de l'Édit de Nantes, fut en partie peuplée de français, Huguenots proscrits. Ne l'oublions pas.

Kreutzberg a écrit:

Bonjour Jean-Luc. Je découvre le site peu à peu. Je constate que tu es un grand connaisseur de l'Allemagne contemporaine, et j'ai certainement beaucoup à apprendre de quelqu'un comme toi. Je t'en remercie. Je réagis cependant, d'une manière générale, au concept gratuit et empoisonné "de l'arrogance de l'Allemagne", tant il a fait de mal dans le passé.  .


je te remercie  du  compliment ,mais je me considére pas comme un grand connaisseur de l'Allemagne contemporaine ,dans la mesure ou j'y suis depuis longtemps et que  ma femme est allemande ça aide beaucoup  ;) . tous les pays ont  une face sombre dans leur histoire ,l'Allemagne  c' est le nazisme ,la France l'esclavagisme ,le colonialisme ,la collaboration . Quand aux hommes politique qui parlent de l'arrogance allemande ,c'est simplement pour masquer l'échec de leurs politique nationale . moi je suis vacciné contre ça ,ma femme aussi ,en plus elle parle bien le français . je  t'invite á regarder mes photos sur le pays (209)  https://www.expat.com/forum/profile.php … fr&udi=408  jean  luc  ;)

Merci de ta réponse, mais je ne portais pas de jugement moral sur l;Allemagne au cours de son histoire, tant celle des autres pays ont aussi leur côté sombre... Je m'interrogeai sur la notion d'arrogance allemande.
J'accorde, par exemple, beaucoup d'importance au sens monumental, à l'architecture et à la sculpture, à l'art. J'ai donc apprécié Berlin lors de mon court séjour, et été agréablement surpris par l'ampleur des grands travaux en cours. Berlin mérite ce développement, nonobstant les critiques d'usage à pensée économique à court terme que pourraient lui opposé ses détracteurs. N'oublions pas que le tourisme est la première économie française, européenne et même mondiale, dans l'âge contemporain, qui prospère continuellement, et semble peu affecté par la Crise...
La première affectation du tourisme est le tourisme culturel et le tourisme culturel se justifie par 'importance des ouvrages, des œuvres d'art. Sans Architecture et sculpture, sans peinture, sans l'art dans l'espace public et les musées, tout Paris s'effondre. Et il en va de même dans la plupart des pays visités.
Si demain Berlin attire autant que Paris, sans doute entendrons nous nombre de grincheux politiques  (en France, en Angleterre comme autrefois ?) manifester - par arrogance - leur courroux contre "l'arrogance allemande" et la "puissance allemande"..? Espérons que nous n'aurons pas droit aux même folies qui réveillent les mêmes démons, chez tous les peuples.

J' ai  toujours  remarquer   que le premier de la classe etait soit adulé  par les uns ,soit homis par les autres ,selon qu'on soit un bon ou mauvais éléves . Pour ma part je laisse  les politiques français raconter leurs conneries .D'ailleur ils connaissent rien au pays. jean  luc  ;)

Pourquoi McDonald's a déjà commencé à recruter les grands-parents de ses employés pour travailler avec eux
David Fairhurst, DRH chez McDonald's Europe, a alerté l'Europe que la chaîne de fastfood, qui emploie 425.000 personnes dans 38 pays du Vieux Continent, ressent déjà les effets d'une crise européenne en matière de main d'œuvre. L'Europe est « au bord du gouffre » dans ce domaine, dit-il.

« La main d'œuvre est en train de se réduire des deux côtés du spectre démographique », a-t-il expliqué au Financial Times. « Il n'y a pas assez de jeunes qui arrivent sur le marché du travail, et trop de travailleurs âgés qui en partent ». Il affirme que la pénurie de main d'œuvre qui va en résulter va bientôt avoir un impact négatif sur la croissance économique, en dépit des forts taux de chômage en Europe. En moyenne, on déplore un taux de chômage de 10,8% en moyenne au sein de l'Europe, mais il atteint plus de 23% chez les jeunes.

Cette pénurie de main d'œuvre est une conséquence directe de la chute du taux de natalité en Europe. Celle-ci est plus sévère dans les pays les plus pauvres du sud et de l'Est du continent. On estime qu'un tiers des populations grecque, espagnole et portugaise sera âgé de plus de 65 ans en 2050, alors que cette tranche d'âge ne représente que 18% de la population pour le moment.

Selon Fairhurst, cette pénurie pourrait conduire à l'impasse dès 2015 aux Pays-Bas, et dès 2016 en Allemagne. En revanche, d'autres pays pourraient bénéficier d'un sursis, comme le Royaume Uni, qui ne devrait connaître le problème qu'à partir de 2023.

« Il y a de plus en plus de signes qui indiquent qu'une relance durable en Europe pourrait être compromise par le ralentissement de la croissance de la main d'œuvre », dit-il. Si l'emploi ne progresse plus, cela implique que l'on ne pourrait compter que sur les gains de productivité pour générer de la croissance. Or, sur les dernières années, ces gains de productivité ont été assez faibles. Un rapport de la Commission Européenne a démontré que le taux de croissance moyen de 2.25% que connaissaient les pays de l'UE avant la crise provenait pour 1% de gains de productivité, et pour 1% de la croissance de l'emploi.

Fairhurst estime que la croissance liée à la progression de l'emploi ne pourra pas être maintenue au delà de 2019. La main d'œuvre européenne devrait se réduire de 0,5% par an à partir de 2022, selon les prévisions. « Si les employeurs peuvent favoriser la participation d'une plus grande fraction de la population en âge de travailler, il sera possible de repousser d'une décennie le moment où ce problème se posera de façon dramatique d'une décennie », explique-t-il. Selon lui, les employeurs doivent développer des stratégies pour attirer les jeunes et éviter les effets de la raréfaction des candidats potentiels aux postes des niveaux hiérarchiques les plus faibles dans plusieurs secteurs d'activité. Seulement 41% des jeunes Européens âgés de 15 à 24 ans sont actuellement sur le marché du travail.

Une autre solution consiste à employer plus de séniors. Les Ÿ des effectifs de McDonald's sont âgés de moins de 30 ans, mais la firme a déjà commencé à recruter des séniors pour les faire travailler avec leurs employés plus jeunes. Au sein de l'Europe, moins de la moitié des travailleurs âgés de 55 à 64 ans ont un emploi ; au Royaume Uni, cependant, près de 60% des actifs de cette tranche d'âge travaillent.

Fairhurst affirme qu'il y a de bonnes raisons d'embaucher des séniors. Des études menées par la Lancaster University Business School ont montré que les clients étaient en moyenne 20% plus satisfaits dans les restaurants qui avaient embauché des salariés de plus de 60 ans .  http://www.express.be/business/fr/econo … 204062.htm

jean  luc  ;)

bon avec les progrès de la médecine, c'est parti pour travailler l'oeil vif et le poil brillant jusqu'à 80 ans  ;)

:lol: et puis avec le niveaux des retaites ça aide aussi. http://www.dailymotion.com/video/x4d5dz … t-la_music            jean  luc  ;)

ah super la video

L‘Allemagne tait le nombre d'accidents sur les autoroutes à vitesse librehttp://www.lefigaro.fr/medias/2014/04/07/PHO75443e84-be62-11e3-b1dd-ec2e93a69454-805x453.jpg
Berceau des constructeurs de grosses cylindrées, l'Allemagne redouterait en réalité que les données d'accidentalité soient une contre-publicité pour la vitesse.
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Les anti radars, les pourfendeurs des vitesses libres ne jurent que par l'Allemagne. Notre voisin d'Outre-Rhin est la preuve vivante, selon eux, que la vitesse n'est pas cause d'accidents. La limitation n'existe pas sur leurs autoroutes et il y a moins d'accidents, assurent-ils. Or c'est faux, apprend-on dans le film.

En réalité, sur l'ensemble du réseau allemand, il n'y a qu'un faible tronçon où l'on peut rouler sans devoir surveiller le compteur. 388 km exactement. Mieux encore, on apprend que l'Allemagne garde jalousement ses données d'accidentalité, notamment celles portant sur ces fameux 388km…. Ainsi au niveau européen, le responsable chargé de remplir le fichier des accidents pour chaque État-membre ne parvient jamais à remplir totalement sa mission. Il lui manque à chaque fois l'Allemagne! Berceau des constructeurs de grosses cylindrées, l'Allemagne redouterait en réalité que ces données soient une contre-publicité pour la vitesse. Car le nombre de sinistres recensés sur ces 388 km a finalement été divulgué. Jean-Luc Névache qui fut délégué interministériel à la sécurité routière et qui intervient dans le long métrage s'est procuré ces informations qu'il livre à la caméra…. Sur ce segment où la vitesse est libre, l'accidentalité est trois fois plus forte que celle en France, dit-il.
http://www.lefigaro.fr/actualite-france … -libre.php   jean  luc  :(

Prostitution : l'Allemagne doute de son modèle
La CDU estime que la légalisation de la prostitution n'a pas permis d'améliorer les conditions de travail des prostituées et veut revenir à plus de réglementation.

Faut-il interdire la prostitution par la loi ? Alors que la France est en train de pénaliser l'achat d'actes sexuels, l'Allemagne doute de son propre modèle. La voie choisie par Berlin est bien différente de celle empruntée par Paris. En 2002, le gouvernement des sociaux-démocrates et des Verts avait décidé d'abolir «l'immoralité de la prostitution», la rendant entièrement légale. Depuis, la prostitution est reconnue comme un métier à part entière. Les maisons closes sont autorisées tant que les conditions de travail y sont reconnues comme appropriées. Avec cette loi, l'Allemagne espérait sortir les femmes (et les hommes) prostitué(e)s de l'illégalité et de la clandestinité, leur donnant un meilleur statut, des conditions de travail plus sûres et un accès plus facile à la sécurité sociale.

Mais le modèle ne semble pas avoir apporté l'effet souhaité. Le parti conservateur CDU, au pouvoir avec les sociaux-démocrates du SPD, a présenté le 8 avril une proposition de réforme de la loi sur la prostitution. L'idée n'est pas de l'interdire mais de la réglementer davantage. «Si la loi de 2002 découlait de bonnes intentions, elle a entraîné des résultats catastrophiques», constate Hans-Peter Uhl, du parti CDU/CSU, qui a contribué à l'élaboration de la proposition. «L'Allemagne est devenu le bordel de l'Europe», déplore-t-il. De grandes villes comme Berlin, Cologne ou Stuttgart feraient de la publicité pour attirer des clients de l'étranger. A Sarrebruck, à quelques kilomètres de la frontière, 80 % des clients viendraient de France selon la police.

Hans-Peter Uhl dénonce des offres de certains bordels «flat-rate» où, pour un tarif fixe, les clients peuvent avoir autant de filles qu'ils veulent. Ce modèle irait souvent de pair avec la prostitution forcée. En 2012, deux tenanciers de ce type de bordels ont été condamnés à une peine d'emprisonnement de plusieurs années pour traite des êtres humains. Selon le journal Die Welt une vingtaine de filles roumaines qui témoignaient au procès ont raconté avoir été attirées en Allemagne par des perspectives de travail prometteuses puis forcées à travailler en tant que prostituées, avec jusqu'à 60 clients le jour.lire le reste de l'article  jean  luc  ;)

Têtes de sangliers ou bois de cerfs sur leur écusson de bois, les trophées de chasse, jadis comble du kitsch, ornent aujourd'hui les murs des bars à la mode et des appartements stylés, à Berlin, Munich ou Hambourg.

L'objet estampillé démodé, de mauvais goût voire un brin réactionnaire, est devenu accessoire de décoration tendance, très loin du parfum de cahute bavaroise qui lui collait à la peau. A l'instar de la barbe de bucheron devenue sommet d'élégance masculine...

Oubliée la célébration machiste d'un exploit au fusil, le trophée consacre aujourd'hui le sens de la dérision de son propriétaire, par un renversement propre à la culture "hipster", ce mot qui a fait le tour de la planète et définit une sorte d'avant-garde chic-négligée, urbaine, créative, connectée, qui colonise les quartiers à la mode des grandes villes, en Allemagne et ailleurs.

Le goût pour le trophée s'est à ce point développé que les créateurs d'ameublement haut de gamme en offrent des versions tout en dorures ou en strass, et que le très sérieux quotidien Franfurter Allgemeine Zeitung (FAZ) lui a récemment consacré une pleine page, affirmant que la pièce s'était depuis longtemps échappée de "la salle de chasse de grand-papa".

"C'était un nid à poussière, un bout d'animal mort dont vous ne saviez que faire si vous en héritiez", explique l'auteur de l'article, Jennifer Wiebking, rédactrice mode et tendances du FAZ qui rappelle les différentes étapes de la mutation: dans les cafés et restaurants meublés grâce aux puces, le trophée a peu à peu repris sa place sur les murs, puis conquis les salons privés où l'on n'oublie pas de l'accrocher avec un hochement de tête et un clin d??il pleins de sous-entendus.

"C'est un accessoire formidable pour montrer combien vous avez le sens de l'ironie", souligne-t-elle.

Des designers spécialisés arrangent têtes empaillées de chevreuils, élans, ou taureaux pour les revendre afin qu'elles décorent intérieurs, restaurants ou même locaux d'entreprises.

Sur le site www.geweihshop.de (geweih signifie bois - de cerf - en allemand), l'amateur trouvera par exemple tout ce qu'il recherche, du col-vert à l'écureuil en passant par le chevreuil et même un très étrange lapin à cornes. Certains modèles se font en différents coloris, du rouge vermillon au blanc laqué.

Si à l'étranger, on pense choucroute et saucisses quand on parle de l'Allemagne, le trophée de chasse est aux yeux des Allemands eux-mêmes un symbole de leur identité nationale, affirme Klaus Siebenhaar, professeur d'études sociologiques à l'Université libre de Berlin.

- "L'incarnation du côté coincé des Allemands" -

"C'est le symbole de la forêt germanique, du provincialisme, de la nature et en même temps de la petite bourgeoisie", a-t-il expliqué à l'AFP. "C'est l'incarnation du côté coincé des Allemands".

Pour lui, ces trophées rappellent le logo de la liqueur Jägermeister, un alcool aux herbes prisé du troisième âge, qui a lui-aussi, en quelques années, opéré sa mue, devenant un habitué des soirées électro.

Dans le quartier berlinois de Neukölln, haut-lieu des "hipster", le café d'Ines Djampour, "Rudimarie" arbore fièrement son trophée de chasse, en face de la porte d'entrée. "Quand j'étais enfant, c'était immédiatement synonyme de conservatisme et de tout ce que cela implique socialement", explique-t-elle.

"Je pense qu'il est temps de réutiliser (ces trophées) comme éléments de déco mais dans un contexte différent, avec de l'humour. A partir du moment où on les sort de leur élément pour les plonger dans un tout autre décor, on peut avoir un lien tout à fait différent avec eux", estime-t-elle.

A quelques pas, Kathrin Land, propriétaire du bar-restaurant "Major", voulait donner une touche décalée, rappelant une sorte de club anglais, à son fumoir: elle a choisi deux des fameux supports, arborant chacun une paire de bois de cerf, pour agrémenter son papier peint à motifs baroques.

"Evidemment, c'était considéré comme "plouc", ça évoquait la Bavière, cette Allemagne croquée façon Disneyland, et on fuyait les endroits de ce genre, au moins à Berlin", raconte-t-elle.

"Quand je pense à ma mère, à la génération des années 60, elle dirait: "oh mon Dieu, c'est contre ça qu'on s'est révolté, cette atmosphère étriquée des années 50". Je pense que pour les jeunes, il y a là-dedans quelque chose de rétro un peu pourri et kitsch, ils trouvent ça cool et marrant".

Mais, pour Kathrin Land et Ines Djampour, c'est aussi une manière de parler aux générations plus anciennes de Neukölln, même si leurs représentants ont tendance à se raréfier, du fait de l'augmentation constante des loyers: 40% par exemple, ces trois dernières années.

Mme Land concède que pour les plus âgés, le trophée peut avoir une connotation différente car "leur" Allemagne était tout autre, "très répressive". Mais, ajoute-t-elle aussitôt, "je suis sûr qu'ils comprennent la blague". https://fr.news.yahoo.com/troph%C3%A9es … 36247.html


PS:   je mange souvent  dans des restaurants décorer de cet façon dans les petit village de mon coin  ils vont rigoler quand je vais leur dire  que dans les villes c'est tendance  "  nouvel  art " pour la déco   des restaurants d e Berlin    .

:sosad:

Amsel a écrit:

:sosad:


C'est surtout le  braconnage qui va encore monter qui m'inquiéte le plus  :(   .jean  luc  ;)

L'Allemagne vire-t-elle à l'Est?

AUTOUR DU MONDE - D'après un sondage effectué début avril, 49% des allemands souhaitent que leur pays se positionne entre l'Occident et la Russie sur le conflit ukrainien .


Une enquête d'opinion saisissante et passée presque inapercue est venue jeter un froid à la veille de la rencontre de Genève cette semaine entre les Européens, les Américains, le gouvernement de Kiev et les Russes pour tenter de résoudre la crise ukrainienne. Le résultat du sondage, effectué début avril par l'institut Infratest Dimap, sur la position de l'Allemagne dans le conflit ukrainien entre l'Occident et la Russie, peut surprendre : si 45% des personnes interrogées s'expriment en faveur d'un engagement fort dans le camp occidental, 49% – et même 60% des personnes issues de l'ex-RDA – se prononcent en faveur d'une position "entre l'Occident et la Russie". Les plus jeunes (18-29 ans) favorisent à 60% une position neutre de l'Allemagne, ainsi que 55% des personnes les plus éduquées. Une génération après la chute du mur de Berlin et la réunification de l'Allemagne, les Allemands ne se sentent donc pas tout à fait occidentaux, en tout cas pas totalement solidaires. Bernd Ulrich, éditorialiste du quotidien Die Zeit, explique le décalage entre la position de l'opinion publique et celle du gouvernement d'Angela Merkel par l'histoire récente : les Allemands auraient perdu confiance en l'Occident après l'échec des guerres en Irak et en Afghanistan. Les révélations sur les écoutes de la NSA dans ce contexte ont été vécues comme une trahison de l'allié américain.
Être neutre pour le business

Mais tous les observateurs ne partagent pas cette déception. Un commentateur du magazine Der Spiegel qualifiait vendredi la méfiance vis-à-vis des États-Unis de "paranoïa pubertaire". L'anticommunisme virulent du tabloïd Bild à l'époque de la guerre froide s'est transformé en fronde contre la Russie. Tous ceux qui ne condamnent pas assez sévèrement l'invasion de la Crimée sont traités de "soutiens de Poutine". L'"insulte" s'applique aux anciens chanceliers Gerhard Schröder et Helmut Schmidt, comme au patron de Siemens, Joe Kaeser.
Ce désaccord avec le gouvernement d'Angela Merkel, qui condamne fermement les agissements de la Russie en Crimée, n'entame pourtant pas sa popularité. Mais les menaces de sanctions européennes contre la Russie et leurs conséquences expliquent en partie la volonté des Allemands de rester neutres. En effet, les exportations allemandes vers la Russie représentaient un volume de 36,1 milliards d'euros en 2013 et fin 2012, le montant des investissements allemands directs en Russie s'élevait à 23 milliards d'euros. Selon l'économiste Wolfram Schrettl, spécialiste des relations germano-russes à l'université libre de Berlin, le flou de ces sanctions est l'une des difficultés. "L'opinion publique semble craindre que la Russie ferme le robinet de gaz", dit-il, car environ un tiers du gaz importé par l'Allemagne provient de Russie. Selon Marcel Fratzscher, président de l'Institut allemand de recherche économique, "cette dépendance ne pourra être diminuée rapidement et pourrait avoir des conséquences très négatives, autant sur le prix de l'énergie que sur la croissance économique".

http://www.lejdd.fr/International/Europ … Est-662684 .
jean  luc  ;)

PS:notre gaz provient de russie ,alors les donneurs de leçon européen  :|

Les conditions de travail chez Zalando suscitent l'émotion en Allemagne
http://s1.lemde.fr/image/2014/04/21/534x0/4404677_7_f202_photo-d-un-employe-de-chez-zalando-prise-le-12_761780b0e20cbc1ada738e2fcdcc8414.jpg  Start-up berlinoise au développement exponentiel, l'entreprise de vente en ligne Zalando a passé une bien mauvaise semaine. Désormais baptisée « Sklavando » sur les réseaux sociaux, elle a été vilipendée par la presse allemande et mise à l'index par le syndicat des services Verdi, à la suite d'un reportage diffusé lundi 14 avril sur les conditions de travail dans l'un de ses trois centres logistiques, à Erfurt (Thuringe).Un reportage à des années-lumière de l'image que la jeune pousse de la nouvelle économie berlinoise aime à donner d'elle-même. Pour le public allemand, Zalando est en effet cette étoile montante de la mode en ligne, installée dans une vaste usine désaffectée du quartier branché de Berlin-Prenzlauer Berg. Quelque mille personnes de 40 nationalités travaillent au siège berlinois – avec une moyenne d'âge de 29 ans.
La présentation des faits ne correspond pas du tout à la culture au sein de l'entreprise », a réagi le porte-parole de Zalando sur Facebook, citant un sondage réalisé de façon anonyme et selon lequel 88 % des employés seraient satisfaits de leur sort. La start-up berlinoise a par ailleurs porté plainte contre la station privée RTL pour divulgation d'informations portant atteinte à son activité.

DES CDI AU COMPTE-GOUTTES

Ce n'est pas la première fois en Allemagne qu'un spécialiste du commerce en ligne est la cible d'un reportage en caméra cachée, révélant des conditions de travail douteuses. En 2013, le géant américain Amazon en avait fait les frais. La chaîne publique ARD avait en effet dévoilé comment des salariés, venus d'Europe du Sud pour la plupart, étaient hébergés dans des conditions proches de l'esclavage pour trimer dans l'un des centres logistiques de la firme américaine en Allemagne. Et toucher un salaire moins élevé que promis.lire le reste de l'article

jean  luc  ;)
Ps: zalando, et amazone sont des firmes américaine et se comportent  comme telle .  Faire une enquête auprés de ses salariers pour voir si ils sont heureux ,qui peut être heureux  avec les conditions comme le révêle le reportage de l'ARD

Oui, prudence en tout cas à l'est, ça n'est pas toujours optimal.
Possible qu' outre la peur du chômage commune à beaucoup de salariés de tous pays, en particulier dans des régions sinistrées, une part de survivance des mentalités de la DDR explique l' omerta. Et malheureusement des investisseurs étrangers peu scrupuleux savent en tirer profit. C'est triste pour la Thuringe.


le reportage
un des employés qui témoigne dit, on a du vivre la stasi et maintenant ça...

Amsel a écrit:

Oui, prudence en tout cas à l'est, ça n'est pas toujours optimal.
Possible qu' outre la peur du chômage commune à beaucoup de salariés de tous pays, en particulier dans des régions sinistrées, une part de survivance des mentalités de la DDR explique l' omerta. Et malheureusement des investisseurs étrangers peu scrupuleux savent en tirer profit. C'est triste pour la Thuringe.


le reportage
un des employés qui témoigne dit, on a du vivre la stasi et maintenant ça...


tu sait le  problême avec internet  est connus  .il faut savoir que les lois allemandes ne protégent pas les salariers ,la journaliste est attaquer  par zalando pour rupture du secret proféssionnelle  . jamais un salariers ne  dŽenonce un patron ,ou son chef car il a bessoin du salaire .  ça me fait penser au film" les  temps moderne " de Charlie Chapline tourner en 1936 voir une bande annonnce http://www.allocine.fr/video/player_gen … =1832.html  .  jean  luc  ;)

Allemagne : tollé contre la retraite à 63 anshttp://www.lefigaro.fr/medias/2014/04/22/PHOefa8a254-ca43-11e3-8cf1-a14004dae135-805x453.jpg 
Le patronat allemand et Bruxelles critiquent l'abaissement de l'âge de la retraite pour ceux qui ont cotisé 45 ans.
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À contre-courant de ce qui semble être recommandé pour le reste des économies européennes, l'Allemagne s'apprête à assouplir les modalités de départ en retraite. Au pays de l'orthodoxie budgétaire, le débat est enflammé. Le projet de loi, présenté par la ministre du Travail, Andrea Nahles, a été exposé au Conseil des ministres fin janvier, il doit être soumis au Bundestag, le parlement allemand, le 22 mai. Jour après jour, le patronat multiplie les mises en garde: le droit de partir en retraite à taux plein à 63 ans, au lieu de 65 ans, est un mauvais signal, prévient-on, alors que la tendance était à l'allongement. En 2029, cet âge légal de départ sera porté à 65 ans. Face au front des opposants, le gouvernement cherche à tenir bon.

Il faut dire que la charge est de plus en plus violente. Lundi, l'Allemand Günther Öttinger, commissaire européen à l'Énergie, s'en est pris violemment aux orientations politiques du gouvernement d'Angela Merkel. «Nous manquons de main-d'œuvre qualifiée et nous devons parler dans les prochaines années de retraites à 70 ans», a-t-il assuré dans le quotidien Die Welt. «Nous encourageons les Grecs à travailler davantage pour de moins bons salaires. Ils se demandent maintenant pourquoi les Allemands prennent le chemin inverse.» Au sein de la grande coalition, lire le reste de l'article   jean  luc  ;) 
PS: personnellement je serais pour ,mais je  suis aussi trés réaliste sur la situation sur la situation démographique de l'Allemagne ,je crois que tout simplement que c'est impossible sans une augmentation fantastique des charges sociales ,et des impôts ,des goûts salariaux  . je  ne veut pas que mes filles payent des charges fantastique a cause de nos génération trés egoiste . jean  luc  ;)

Les Allemands continuent-ils à former et conseiller l'armée russe malgré le déclenchement de la crise ukrainienne ?



Depuis plusieurs années déjà, l'Occident tente de se rapprocher de la Russie, et ce au travers d'échanges militaires. Ainsi, le conglomérat allemand Rheinmetall signait en 2011 avec la Russie un contrat à hauteur de 140 millions de dollars pour la construction d'un camp d'entrainement des forces russes. L'Allemagne n'est cependant pas la seule : la France et l'Italie, moyennant paiement, ont également contribué à améliorer le matériel russe.
Atlantico : En 2011, l'Allemagne signait un contrat de 140 millions de dollars avec la Russie, visant à la construction d'un camp d'entrainement dans le sud-ouest de la Russie. Ce camp était supposé entrainer 30 000 soldats par an. Les Etats-Unis pensent aujourd'hui que l'Allemagne aurait entrainé les troupes russes. Cela vous parait-il crédible ?

Xavier Roux :   Le terme d'"entraîner les troupes russes" est trop vague et trop imprécis. De façon générale, quand il y a des accords entre des pays et notamment militaires, ça veut dire qu'on s'échange un certain nombre de choses. On s'échange un certain savoir faire. Un camp militaire ne se bâtit pas en l'espace d'un an, ni même un an et demi, à moins d'avoir des espaces désertiques. D'autant plus que le savoir-faire des Russes n'a pas tellement besoin d'être amplifié en matière d'emploi des chars, ils l'ont largement prouvé dans les années passées. S'il s'agit de camp pour des opérations spéciales ou des actions de la sorte, ça demande du temps. On ne peut pas dire qu'en l'espace de deux ou trois ans les Allemands aient entraîné l'armée russe. Encore une fois, l'armée russe a prouvé sa valeur dans les années passées, les Russes sont loin d'être des incapables. Il ne faut pas les sous-estimer et dire que l'Allemagne a formé l'armée russe est un raccourci qui, sans doute, fait bien mais qui n'est pas l'image de la réalité.

L'armée russe occupe l'ensemble du territoire couvert par la Russie, et elle est bien sûr plus près des frontières que du centre. La Russie est depuis longtemps dotée de forces de protection des frontières, semblables à une douane et spécialisées dans la lutte pour la défense de celles-ci. Elle n'est donc ni massée autour de Moscou ni à la frontière ukrainienne. Il faut regarder chaque armée à l'aune de son propre territoire. La Russie est vaste donc les armées russes sont éparpillées sur l'ensemble du territoire. De même que l'armée française qui jusqu'il y a dix ans était répartie sur l'ensemble du territoire. Ce n'était pas simplement à la frontière de l'est, il y en avait partout. Il faut faire attention aux effets qui consisteraient à dire que l'ensemble des effectifs de l'armée russe est massée à la frontière ukrainienne. De toute façon il y en a de l'autre côté à la frontière asiatique, à la frontière du sud, et partout où c'est nécessaire. Il ne faut pas faire des totaux qui n'ont pas de rapport. Ce qu'il faut comparer, ce sont les capacités de projection, c'est-à-dire les capacités à déployer les troupes qui sont des troupes professionnalisées. Des troupes susceptibles de combattre dans des terrains divers, inconnus, et qui sont capables d'être projetées, comme les parachutistes ou des troupes mécanisées et qui soient susceptibles d'intervenir ailleurs que dans les endroits qu'elles connaissent bien.

Les comparaisons il faut les faire sur des questions de savoir faire et de logistique. Un soldat peut porter 20kg ou 30kg mais ne peut pas marcher pendant une semaine tout seul. Il lui faut de la nourriture, de l'eau… Tout ceci mérite une analyse plus spécifique même si le nombre des effectifs de l'armée de terre est un critère qui vaut quelque chose mais c'est un critère absolu.

http://www.atlantico.fr/decryptage/allemands-continuent-former-et-conseiller-armee-russe-malgre-declenchement-crise-ukrainienne-xavier-roux-1051863.html  jean  luc  ;)

Tour dEurope des campagnes pour les Européennes : direction lAllemagne

Première étape de notre tour d'Europe des campagnes pour les élections européennes : l'Allemagne, où l'attention des électeurs et des médias se porte sur le grand voisin russe, l'immigration de masse et les excès des régulations européennes.

http://www.atlantico.fr/sites/default/files/imagecache/Une/luf.jpg       Atlantico : A l'approche des élections européennes, quels sont les principaux thèmes qui occupent les débats en Allemagne ? Par quels partis sont-ils portés, et sont-ils focalisés sur l'Europe en elle-même, ou bien les préoccupations d'ordre national prévalent-elles ?

Jacob Höber : Les discussions sur l'Union Européenne en Allemagne se focalisent, comme dans la plupart des pays européens, sur les questions nationales. Étonnamment, la crise de la dette et les versements aux pays en difficulté que les Allemands associent à cette question, ne font pas partie du débat  lié certainement à un événement d'actualité plus présent, la crise en Ukraine. Mais même ce sujet n'est que peu discuté dans le cadre européen, les arguments tournent plutôt autour de la justification de l'annexion russe de la Crimée, et non des implications que ce changement dans les relations avec le voisin de l'Est engendre  et pour l'Allemagne, et pour l'ensemble de l'Union.

De même pour le débat autour de la liberté de la circulation en Europe. Avec l'ouverture des frontières avec la Roumanie et la Bulgarie, certains partis notamment l'Alternative für Deutschland (AfD), mais aussi la CSU, parti conservateur en Bavière, cherchaient à gagner des votes grâce à une prise de position dure vis-à-vis cette question. Or, leurs dirigeants ont, confrontés à des chiffres de l'impact réel, dû admettre en public qu'une immigration massive n'a pas eu lieu et qu'elle impliquait tout d'abord de la main duvre qualifiée. Pour cette raison le sujet figure toujours dans les programmes des dits partis, sans pour autant être mis en avant par eux.

Un sujet qui réunit la plupart des partis est leur dite opposition à la régulation démesurée par les institutions européennes  une perception partagée par beaucoup dAllemands. Même les Libéraux (FDP), habituellement avec une forte vocation pro-européenne, sorientent légèrement dans cette direction. Bien que la plupart des règles et directions faites à Bruxelles soient au moins portées par les gouvernements nationaux, il s'agit d'une idée reçue trop forte pour être ignorée par les rédacteurs des programmes électoraux.

Quant aux négociations du partenariat transatlantique de commerce et d'investissement (TTIP), ce sujet a surgi bien plus tard en Allemagne qu'en France, mais a un impact considérable pendant ces dernières semaines avant les élections. Porté notamment par les Verts qui demandent un redémarrage des négociations sous des conditions plus transparentes, ils sont défendus par le gouvernement des conservateurs et social- démocrates  qui restent pourtant prudents sur la question puisque une forte opposition au sujet commence à se former en Allemagne.

Un deuxième sujet réellement européen concerne la sécurité des données informatiques suite aux révélations faites par M. Snowden. Pourtant ce débat est aussi biaisé par un regard national, où les discussions entre Mme. Merkel et M. Obama priment sur les positionnement du Parlement européen. Ainsi, une majorité dAllemands préfère trouver des réponses au travail de la NSA au niveau européen  mais considère que le gouvernement allemand serait dans une meilleur position pour négocier avec les Etats- Uns que les Institutions européennes.

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LAllemagne plaide pour une deuxième conférence de Genève sur lUkraine  http://s2.lemde.fr/image/2014/05/06/534x267/4412227_3_75e6_franz-walter-steinmeiera-berlin-en-janvier_eb2b7fd85c87ed9bfc1d2067718b4445.jpg
Est-ce déjà la guerre en Ukraine ?

Les images qui nous parviennent sont effrayantes et, notamment depuis la tragédie dOdessa, nous ne sommes plus très éloignés dune confrontation militaire en Ukraine. Mais un ministre des affaires étrangères nest pas là pour décrire une situation mais pour la modifier. Cest pourquoi je concentre toute mon attention sur les possibilités quil nous reste pour éviter de basculer dans une guerre civile.

Quelles sont ces possibilités ?

Leur nombre nest pas très élevé. Je vois que tous les Etats membres de lUnion européenne excluent une intervention militaire. Cest aussi lattitude de lAllemagne. Cest pourquoi nous avons à la fois recours aux pressions politiques et aux possibilités quoffre la diplomatie pour créer les conditions dune solution politique. Personne ne conteste que cest devenu plus difficile ces derniers jours, mais peut-être la tragédie dOdessa va-t-elle servir de signal dalarme.

Vous avez proposé une deuxième conférence de Genève sur lUkraine. Quen attendez-vous, alors que la première a échoué ?

Lerreur nétait pas dorganiser une conférence mais de ne pas avoir mis en place un mécanisme qui permette de traduire dans les faits ce qui avait été décidé. Une deuxième conférence doit rendre obligatoire chaque étape nécessaire pour atteindre une désescalade là où la tension est particulièrement vive, nécessaire également pour renforcer un processus politique et constitutionnel qui inclurait tous les Ukrainiens, pour rapprocher les parties prenantes du conflit à lintérieur de lUkraine et également pour renforcer la volonté de coopération de ceux qui exercent une influence à partir de lextérieur du pays.  lire le reste de l'article   jean  luc  ;)

ALLEMAGNE : l'euro sur-mesure dont certains veulent sortir.
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Le blog Trans'Europe Extrêmes se rend pendant la campagne des élections européennes dans cinq pays où la droite populiste et europhobe est en plein essor. Troisième étape : l'Allemagne. Portrait-robot des anti-européens du champion de l'Europe.

Population :  81,89 millions d'habitants

Date d'adhésion à l'Union européenne : 1957 (membre fondateur)

Taux de chômage :  5,1%

Revenu moyen par habitant : 19 043 euros contre 19 995 en France et 14 811 en moyenne en Europe.

A gros traits : Angela Merkel est la figure honnie par les anti-européens de tous bords, accusée de construire une union politique et monétaire sur-mesure pour l'Allemagne. Fondé en juin 2013 autour d'une virulente critique de l'euro, Alternative Für Deutschland a très vite frappé à la porte du Bundestag, frôlant les 5% nécessaires pour y entrer, quelques mois à peine après sa création. Rejoint en janvier par l'ancien "patron des patrons" allemand Hans-Olaf Henkel, l'AFD devrait remporter six sièges selon les sondages qui lui attribuent 6,5% des voix. Le parti néonazi Nationaldemokratische Partei Deutschlands prétend lui à un siège.

A la rencontre de qui allons-nous ? Alternative Für Deutschland. Quelques semaines après son succès aux législatives, le parti est traversé par des dissensions internes sur la ligne à tenir, lorgnant plus ou moins sur son extrême-droite. Mais il reste un acteur de la politique allemande regardé avec intérêt. Les candidats du parti enchaînent les meetings n'hésitant pas à faire le grand écart entre problématiques locales (devenir du quartier de l'ex-aéroport Tempelhof à Berlin, reconverti en parc) et conférences économiques techniques sur l'euro.

Catégorie : Anti-monnaie unique, nationaliste et ovni politique. "C'est un parti très curieux, de type nouveau", abonde Patrick Moreau,  chercheur à l'université de Strasbourg et spécialiste de l'euroscepticisme. "Crée par une partie de l'élite économique et universitaire contre la monnaie unique, il a été rejoint voire infiltrés par des gens venus de l'extrême-droite, et peine à définir une ligne claire sur les questions autres que l'euro", décrypte-t-il.

Parcours : Le parti n'a pas encore de troupes, ni de bastions, mais déjà des leaders qui s'écharpent. J'irai donc en rencontrer un certain nombre afin de comprendre dans quelle direction ils souhaitent emmener le parti et ce qu'ils ont perçu des désirs et inquiétudes de leurs électeurs. Je suivrai aussi, toujours à Berlin, un de leur happening organisé à l'occasion de la venue de José Manuel Barroso, ainsi qu'une de ses candidates aux européennes en réunion de quartier.
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Un hymne officiel très sexy pour lAllemagne
Un titre entraînant chanté par quatre filles en mini-shorts, dont une ancienne actrice porno. La Mannschaft a misé sur le glamour pour son hymne officiel de la Coupe du monde.
http://www.20min.ch/ro/sports/football/ … e-29377558 .


Ps: Cet vidéo me pose probléme ,les dirigeants  du foot allemand ont une drôle de visions des femmes ,et des joueuses de foot .. Dans le foot ,il y a trés peu de femmes á des postes á responsabilirés ,mais pour montrer leurs ..... ,elles sont les bienvenues .     jean  luc  ;)