5 bonnes raisons de vivre à Mayotte

Ludi et micha a écrit:

Bonjour,
J'aime beaucoup vos posts car il changent de tous les avis négatifs et toutes les personnes qui se plaignent. :sosad::mad:  ....
(A se demander pourquoi ils y sont encore.. si tout est si NOIR!!!!! (ok mauvais jeu de mot ( :cheers: mais je précise que je suis noire aussi pour info à ceux qui me tagueraient de raciste  :cheers: )

Au moins là, il y a un rayon de soleil dans toute cette grisaille de commentaires...

merci à vous , car pour ceux qui ne sont pas encore arrivés, cela fait du bien de lire du positif!! :)


Tout à fait d accord avec toi ludi du POSITIF!!!!!!!!!!!!!!!Merci!!!!!!!

Sympa ce post, ça change des commentaires négatifs qui pullulent à tout va.
Pour ma part ce serait :
- retrouver mon île, mes racines, ma famille, mes amis, vivre de nouveau chez moi
- la perspective de faire  des rencontres intéressantes avec des métros et des gens de tout horizon
- le lagon : la plage, les fonds marins, la mer, la lagon dans toute sa splendeur
- la richesse et la complexité culturelle de cette île que j'ai encore du mal à maîtriser
- le côté cool de la vie là bas : on se prend moins la tête, on profite de la vie, les voulés, les brochettis, les fruits, etc

La qualité de vie
Les mahorais
Ma belle famille
Mayotte
Paysages, faunes

- 5mn pour aller au travail, en chemise ou tshirt, chaussures et pantalon légers. Autant pour en revenir. Des classes pas conflictuelles détendues. Un travail énorme en chantier.
- le soleil, la chaleur et le ciel bleu, les fleurs des flamboyants, la flore, la vue sur la mer et le lagon, la faune tropicale (margouillats caméléon, chauve souris, oiseaux, etc...), les coqs et poules en liberté
- des relations humaines plus détendues avec des potes de tout horizons et de bonnes rigolades. Des enfants souriants et polis dans les rues. Les bonjours des inconnus
- la plongée, les fonds sous-marins fabuleux et merveilleux dans une eau chaude
- La possibilité d'enfin épargner un peu quand on surveille bien ses dépenses ce qui devrait être le cas même en métropole mais qui ne l'est plus dans un contexte et une tendance à la paupérisation généralisée de la profession (je précise, le sentiment d'avoir ENFIN son du et pas un privilège indu)