Le syndrome paraguayen

Bonjour Jean-Claude,

Merci de nous avoir fait parvenir ta vision de la vie au Paraguay, un homme averti en vaut 2...!

Nous envisageons toujours de venir nous installer au Paraguay, mais nous ne serons pas voisins, car notre projet se situe plutôt vers Ciudad Del Este.

Nous envisageons de reprendre la gérance de l'Estancia Laura, à Hernandaria.
Nous nous y rendrons début novembre 2013 pour finaliser le projet, ou non...

Si cela fonctionne, nous pourrions travailler conjointement pour proposer aux voyageurs  un programme varié de visites dans le pays.

Connais tu ce secteur, et cette ferme ?


Véro et Antoine

Bonjour,

Entre autres...

http://www.estancialaestrella.com/?gcli … 7Aod0DgAIghttp://www.estanciasantaclara.com.pyhttp://www.laquinta.com.py/v2//

http://www.laquinta.com.py/v2/http://www.estancialomalinda.com/http://www.estancia-aventura.com/index.php?area=3http://www.tacuaty.com.py/estancia.html

Bonne journee
Richard

Il est clair que la concurrence est pléthorique dans ce domaine, pour un pays où le tourisme est encore balbutiant et que l'écologie vient très très loin derrière manger, boire, avoir une moto puis une voiture, etc....
Je connais actuellement deux couples (un allemand, l'autre français) qui tous deux cherchent désespérément à trouver des repreneurs, pour tenter au moins de sauver quelques meubles. (les derniers qui leur restent).
Mon commentaire n'est pas encourageant, mais il vaut mieux être très très au fait de la réalité paraguayenne avant de se lancer.
Je conseille au minimum 6 mois voire un an dans le pays, avant de se lancer dans une quelconque affaire.
Et attention aux français! Les français installés au Paraguay, sont souvent les plus féroces prédateurs pour leurs compatriotes.

Se renseigner au consulat de France avant de traiter avec quiconque!

Bonjour,

Merci pour vos commentaires, pas toujours très encourageants..! :/

Nous continuons à prendre la température, vos messages seront les bienvenus.

Et sinon, toujours une visite sur place de prévue mi novembre.

Salut Antoine,

Comme tu l'as sans doute lu dans mon texte du « syndrome paraguayen », je ne partage pas complètement l'opinion de Terrik, mais c'est ce qui fait tout le charme de ce genre de débat

Le délai déjà : tu pourras bien passer 5 ou 10 ans au Paraguay, tu n'apprendras rien de neuf sur le pays  ni sur son mode de fonctionnement si tu n'es pas acteur et au coeur de l'action au quotidien ! C'est à dire, faire construire, engager et diriger les gens toi-même, traiter les contrats de service, ouvrir une activité commerciale, rédiger tes contrats de travail, employer des Paraguayens (j'en ai eu 40, il m'en reste 10), être trainé par eux en justice sur le droit du travail, être confronté à des avocats et des juges, etc.
C'est bien pour cela que j'ai écrit le syndrome !  A l'origine mon texte était destiné à mes copains pour que mes expériences ratées puissent leur profiter et qu'ils ne fassent pas les mêmes erreurs que moi, qu'ils ne tombent pas dans les mêmes pièges.
Passer du temps dans le pays peut sembler indispensable, mais seulement pour voir si on peut ou non s'accoutumer de vivre ici. Pour monter un bizness il en est tout autrement, car tous les renseignements que tu pourras demander ici et là, et à qui tu voudras, seront forcément erronés. Car un Paraguayen, et quel que soit son niveau, ne te donnera jamais le renseignement exact dont tu as besoin, il te fera une réponse qui servira ses intérêts (placer ou faire travailler un proche pour toucher une commission) ou inventera carrément une réponse s'il ne sait pas !

Je connais des gens qui vivent ici depuis 20 ans en « observant » le pays de leur camp retranché autarcique et qui ne connaissent absolument rien du pays. Pourtant ils  n'hésiteront pas à te dire « moi, monsieur, le Paraguay je connais, j'y vis depuis 20 ans ! »

Quant aux gens qui repartent en ayant tout perdu, la bonne question à se poser est : Qui sont-ils, pour la plupart ?
Trop de gens arrivent avec un pécule insuffisant pour se lancer dans une activité à laquelle ils ne connaissent rien, choisie au hasard des besoins que parait nécessiter le pays, du moins des besoins qu'ils supposent…
Tu sais qu'il est déjà extrêmement difficile pour un restaurateur français (par exemple) de changer de région dans son propre pays et de réussir à nouveau dans la nouvelle région. Alors imagine un peu ici, c'est une autre planète… Presque tous les gens qui viennent avec un peu d'argent pensent qu'avec leurs idées européennes ils vont casser la baraque dans une activité qu'ils n'ont jamais pratiquée. C'est une douce illusion !

Quand tu viens ici, tout le monde te propose (très gentiment) de te conseiller : Chambre de commerce franco-paraguayenne, Consulat, relations, etc.  Malheureusement, tous ces gens et si gentils voire adorables soient-ils, ne peuvent pas grand-chose pour nous. Et ce n'est pas de leur faute, ils sont installés dans une structure sécurisante qui leur fausse souvent la bonne vision du pays, ils n'ont jamais eu à lutter.

Je me répète donc : Il est impossible de comprendre comment fonctionne le Paraguay sans être intensément acteur et au coeur de l'action au quotidien. Ou alors, autre alternative, de lire mon texte plusieurs fois pour l'assimiler (pour toi c'est fait),  auquel cas tu en sauras plus que certains Français que j'ai rencontrés et qui pensent tout savoir parce qu'ils vivent ou travaillent ici depuis plus de temps que moi.
Pour l'instant 42 personnes m'ont demandé le texte, je n'ai eu que des compliments et remerciements. Un seul m'a dit « au début de la lecture, j'ai pensé que t'étais un vrai con ! Puis à la fin j'ai pensé que tu avais raison et je me suis dit que tu avais vraiment des couilles »
Ca va faire plaisir à ma femme !

...et! hééééé !!!!! comme toujours tu es plein de bon sens et de véritée sans ambages et rééllement dites qui valent pour tous les pays  BRAVOS L' AMI

On ajoutera que ces considérations "paraguayennes" se retrouvent à des degrés plus ou moins variés dans toute l'Amérique latine.
C'est aussi ce qui fait son charme, mais travailler dans le nord du Brésil, c'est aussi quelque chose...

Attendre 6 mois ou 1 an, je ne l'écrivais que dans l'attente de se positionner sur la prise en main d'une affaire.
Surtout pour connaitre les prix de marché.
Un prix qui peut paraitre très correct vu de France peut en fait se révéler une vraie escroquerie ici.
Bien évidemment, ce ne sont pas 6 mois qui vont apprendre le quotidien d'un entrepreneur ici.
Mais déjà si ça permet de ne pas tomber dans les pièges grossiers de certains compatriotes qui tondent comme des moutons les nouveaux arrivants, c'est déjà ça de paris, surtout dans l'exploitation agricole.

Pour l'expérience, jc, j'en suis à ma seconde entreprise au Paraguay. La première, une toute petite avec 3 salariés, m'a permis de me roder et d'essuyer les plâtres sans bobos. 38 salariés aujourd'hui! Ce n'est pas tous les jours facile, mais avec l'expérience, ça avance tout de même. Je ne vais pas donner de cours de management paraguayen, mais c'est assez sensiblement différent du management d'européens.
Un seul procès par un salarié en plusieurs années et je l'ai gagné.

Tout n'est pas noir sur le droit du travail. 80% des procès prud'homaux sont gagnés par les salariés en France. Et au Paraguay, c'est pareil, puisque le droit du travail paraguayen s'inspire fortement du droit français. Donc ce n'est pas la joie, mais ce n'est pas pire qu'ailleurs.

Pour le sujet initial, titouduvar tu parles de gérance.
En gros quelles en sont les conditions pour que nous puissions te dire si ça semble correct ou pas?

Bonjour jc,

Merci pour l'ensemble de vos contributions.
Elles donnent un avant-goût du pays.

Pourriez-vous me faire parvenir le "syndrome paraguayen" à l'adresse : [email protected]

En vous remerciant

Réponse à Terrik,

Excuse-moi je viens de m'apercevoir que je n'ai pas répondu, mea culpa !
Je veux tout rassurer tout de suite, je ne pensais pas à toi en écrivant mes propos. Simplement lorsque tu dis : «Je conseille au minimum 6 mois voire un an dans le pays, avant de se lancer dans une quelconque affaire. » je l'ai interprété à ma façon, c'est-à-dire qu'il suffit de passer six mois ou un an pour mettre en route son affaire. J'ai peut-être mal interprété et c'est juste sur ce point que je n'étais pas d'accord, mais je vois que tu as fait au parcours du combattant et que tu t'en es bien sorti, ce dont je te félicite sincèrement, car je suis bien placé pour savoir que ce n'est pas évident.
En parlant d'affaire, si la tienne tourne j'en suis ravi pour toi d'autant que je n'ai pas encore réussi à faire décoller la mienne. Déjà en arrivant, première erreur, je ne parlais pas un mot d'Espagnols donc, j'étais un type facile à berner,  j'ai plutôt une fâcheuse nature à faire confiance aux gens.  J'ai appris cruellement et à mes dépens ce que ça pouvait coûter dans un pays comme le Paraguay. Je dois commencer à être sérieusement déformé, car ces Paraguayens, pourtant si attachants au premier abord, je finis par leur trouver tous les défauts sans leur trouver la moindre qualité. Mais je reste positif et je continue à chercher, j'ai confiance en l'homme !

Je croyais naïvement engager un chef cuistot au vu de son beau diplôme qu'il avait obtenu avec un stage de cuisine de ... 15 jours !(je l'ignorais) Autant dire que mes deux filles cuisinaient mieux que lui lorsqu'elles avaient 12 ans. N'étant pas du métier, je pensais tout aussi naïvement trouver quelqu'un pour gérer  mon affaire. En quatre mois j'ai compris : arnaque de tous les côtés, double facturation, j'ai été obligé de fermer et de faire venir un français professionnel pour réorganiser complètement mon affaire.
Je n'ai pas d'autre but ni d'autres motivations que de faire profiter aux candidats à l'expatriation au Paraguay de mes aventures malheureuses de façon à ce qu'ils n'aient pas à vivre ce que j'ai vécu.

Bien amicalement

Bonjour JC,

J'ai lu avec beaucoup d'intérêt le "Syndrome paraguayen".
Il suffit de remplacer Paraguay par Gabon et tout est valable.
Ou Carrément mettre le syndrome des pays en voie de développement.

Evidement, il ne s'agit pas de vérité absolue mais cela donne une véritable note d'ambiance et il vaut mieux partir en connaissance de cause plutôt que de revenir chez soi les épaules basses et la truffe humide après un an ou deux.

Encore merci

Réponse à Pomerol

Salut Vincent
Ayant vécu au Gabon, je m'en doutais un peu, je te l'ai dit dans le mail...
Mais si tu me permets, il y a quand même une différence de taille :
Quand tu vas en Afrique, tu sais quand même un peu déjà où tu vas et ce que tu vas y trouver. Depuis que nous sommes petits, pour nous, l'Afrique c'est l'Afrique ! Et puis il est de notoriété publique que l'Afrique est le continent roi de l'arnaque. Tu peux taper dans Google « quel est le pays le plus arnaqueur de la planète ? » tu vas voir que les pays d'Afrique caracolent en tête.
J'en déduis que lorsqu'on va s'installer en Afrique, on fait attention à tout et confiance à personne.
Et puis, l'Africain est bon enfant, on le voit arriver avec ses gros sabots.

Mais quand tu viens au Paraguay, tu arrives à Asuncion et tu ne vois que la façade extrêmement trompeuse du Paraguay  (grands hôtels, grandes banques, supermarchés, supers centres commerciaux, etc.) avec des gens qui semblent avoir le même mode de fonctionnement que nous, les mêmes préoccupations du quotidien, ça rassure ! Ajoute à cela qu'ils sont tous catholiques, vu le contexte actuel, ça rassure encore plus !

C'est bien après que l'on déchante, car l'Africain est un enfant de choeur comparé à un Paraguayen. Et si l'Africain sait avoir une vraie sympathie ou amitié, ce sont deux notions totalement inconnues des Paraguayens

Ici, l'amitié et la sympathie sont toujours intéressées. Un seul et unique objectif : te déposséder de tout ce que tu as pour se l'approprier. Au Paraguay, la «plata» est tellement obsessionnelle qu'en août 2004, près de 430 personnes sont mortes dans un incendie qui s'est déclaré dans un supermarché à Asuncion. Et sais-tu quelle a été la seule préoccupation de Juan Pío Paiva et de son fils Víctor Daniel, les propriétaires ? De faire en sorte que les gens ne profitent pas de l'incendie pour partir sans payer ! ils ont fait verrouiller immédiatement toutes les portes, et il n'y avait pas d'issues de secours ; no comment ! Elle n'est pas bonne celle-là ?
Ils savaient très bien ce qu'ils faisaient en donnant l'ordre de fermer les portes, ils sont seuls responsables de la mort de 430 personnes, pour une poignée de dollars finalement puisque toutes les denrées alimentaires des rayons ont été détruites.
J'ai cherché sur le Net, je n'ai trouvé aucun cas semblable et je ne pense pas qu'un Africain aurait fait de même. Non, l'argent ici, c'est viscéral, il n'y a pas de pitié !

Va voir leur photo ici
Juan Pío Paiva

Le papa est toujours en tôle, mais le rejeton vient d'être libéré par anticipation.
Fiston

Cool la justice paraguayenne, ils n'avaient pris que 10 ans pour avoir tué 430 personnes...

Nous sommes en plein ici dans l'idiosyncrasie paraguayenne.

Contrairement à tous les autres pays d'Amérique du Sud où tous les indiens ont été massacrés, les indiens au Paraguay ont prospéré.
Tout d'abord grâce à l'aventure des pères jésuites, puis à la guerre de la triple alliance qui a vu presque tous les paraguayens mâles de souche espagnole mourir.

La conséquence c'est qu'au Paraguay c'est la culture indienne qui prédomine.

Et dans la culture indienne et dans la langue (la langue est toujours représentative de la culture et inversement) les mots travail et propriété n'existe pas. Par ailleurs le temps n'existe pas non plus, au-delà du coucher du soleil.

Pour faire court, la notion de propriété n'existant pas, le vol, l'escroquerie ou la dépossession des biens d'autrui en général, n'a pas du tout la même signification ici, et ne connais pas les mêmes tabous que ce que nous connaissons en Europe.

Escroquer quelqu'un ici, on s'en vante, c'est une réussite, un exploit. Surtout quand il s'agit de dépouiller un blanc. Les contes guaranis vis à vis des "blancs" sont en la matière tout à fait révélateurs.
Ceci étant, on se dépouille aussi allègrement, entre frère et sœur, père et fils, tante et nièce,...
Et ce n'est pas un problème.

L'imprégnation de la culture indienne, induit l'essentiel des comportements, et pas seulement en matière de vol, ce qui fait du Paraguay un pays vraiment à part, et très difficile à comprendre.

Comme dit JC, en arrivant ici, l'européen se trouve rapidement à l'aise, croit retrouver ses repères, alors qu'en fait le pays est aussi éloigné culturellement de l'Europe, que ce que peut être la Chine.

Un autre mot qui n'exista pas en tupi: "non"

Salut, merci pour tes contributions.

Ce Syndrome Paragayen  m'intéresse particulièrement, tu pourrai me l'envoyer stp?

Merci

[email protected]

Bonjour JC
Peux-tu m'envoyer par mail ton expérience "le syndrome paraguayen" à : [email protected].
Merci d'avance et bien amicalement.
Marco

Bonjour JC
Je ne suis là que depuis deux mois, Où se trouve ton hôtel?
Ce serait intéressant d'en savoir plus sur ce pays à travers le vécu des autres expatriés.
A quand la prochaine virée à Buenos Aires pour une soirée Théâtre!
J'aimerais lire ton livre si tu le proposes toujours.
0991-98-88-91
;)

Bonjour,
Ce serait gentil de m'envoyer l'info, je pense venir m'installer bientôt avec ma famille donc il serait intéressant de savoir comment ça se passe.
Merci d'avance!
Alain

A Alain 1962 et pourquoi pas la TAM

Donnez moi un mail tous les deux please !

Je veux que ce texte reste discret. A Chaque envoi je demande de ne pas diffuser ce texte, même des extraits, et en aucun cas sur le Net.
J'ai écrit tout ça pour prévenir les candidats à l'expatriation au Paraguay où ils allaient mettre les pieds réellement afin qu'ils ne se retrouvent  pas dans certaines situations désastreuses comme ça a été le cas pour moi.
Maintenant, je ne veux pas que ce que j'écris me revienne en boomerang pour avoir dit des vérités qui ne sont jamais bonnes à dire, comme toujours...

Bonjour,

Puis-je vous demander de m'envoyer "le syndrome...", svp ? Je le lirai avec attention. Merci pour votre partage. :)

[email protected]

Hola hombre,
Je suis Polynésien donc français sur mon passeport en tout cas, mais aussi citoyen de la république du Chili. Je partage ma vie entre le Chili et la Polynésie.
L'extrait de ton sujet concernant la relation de confiance guarani gringo se retrouve, peut être avec moins de force, au Chili.
Si mon côté polynésien m'incite a accorder ma confiance a l'autre cela fait partie de ma culture polynésienne, mon côté Chilien m'incite a avoir un comportement contraire. Je pense que cette propension a voir le gringo comme un paquet de $ sur patte qui est la pour se faire plumer et endémique a l'Amérique latine et même plus généralement aux pays dit en voie de développement.
Je cautionne tes avertissements répètes. Les bisounours n'existent que dans les dessins animes. Au Chili les français et le stupide "politiquement correct" qu'ils traînent derrière eux comme un boulet en font des proies particulièrement "plumable" dans nos pays sud américains.
Saludos cordiales compadre.

Bonjour,je suis intéressée par le syndrome paraguayen. Peux-tu me l'envoyer afin d avoir une idée un peu plus précise de la vie dans ce pays? Merci!

Bonjour Jc, si tu peux m'envoyer ton document syndrome paraguayen, je t'en remercie d'avance.
Je suis au Brésil depuis plus de 15 ans, je sature, le Paraguay me tente.
[email protected]
Abraço
Edd

Bonjour,
Pourriez-vous m'envoyer votre document le syndrome paraguayen svp?
Voici mon mail: [email protected]
Merci d'avance.
Mathilde

Salut Paracom,

Je suis nouvel inscrit et compte venir passer plusieurs mois au Paraguay. Ca fait 5 ans que je suis resident au Bresil et ce que j'ai pu cerner dans ce fil a propos de ton "syndrome paraguayen" m'a fait sourire...car tres ressemblant a ce que je pourrai dire a propos d'un "syndrome bresilien"...avec en plus une criminalite de droit commun exceptionnelle au pays de la Samba.

Mais merci de m'envoyer ton texte qui m'interessera tres certainement.

[email protected]

last week

Bonjour,

Je m'appelle Gwen et je suis en contact avec Alain (Palomapy) qui m'a recommandé ton article "le syndrome paraguayen" car je vais venir m'installer au Paraguay pour 3 ans avec mon conjoint, mexicain, en Août prochain.

Si tu peux me l'envoyer à l'adresse envoyée en MP, je t'en serais très reconnaissante:

Et une question histoire d'avoir plusieurs sons de cloche : est-il facile d'obtenir la résidence permanente au Paraguay ?

Je viens pour le boulot mais mon employeur se charge de tout.

C'est pour mon mari que l'on se questionne, notamment car cette histoire de "deposito" de 5000 dollars sur un compte de la banque nationale paraguayenne ne nous enchante pas tout à fait.
Mais bon, si c'est à faire et que l'on récupère ce "deposito" de façon sûre au terme de la procédure , on y viendra peut-être.

J'imagine que tu es passé par là pour monter ton projet hôtelier ?

Merci d'avance.

Gwen

Le dépôt de 5000$ peut se faire dans la banque de ton choix. Par contre sur un compte bloqué. Et avec une attestation comme quoi c'est bloqué durant 6 mois.
Il peut s'agir d'un compte rémunéré. En ce moment on peut trouver pour des placements à 6 mois en dollar entre 4 et 5 % d'intérêt.

Donc le compte est à ton nom, dans une banque présente au Paraguay, et tu récupères ton argent au bout de 6 mois.
C'est une mesure pour s'assurer que l'immigrant à de quoi pouvoir se retourner, et qu'il ne va pas aller toquer aux portes des aides sociales.

Merci Terrik pour cette précision. Dans ces conditions , c'est envisageable.

Bonjour,

Je suis grandement intéressé par votre texte. Pouvez-vous me le transmettre à l'adresse mail en MP ?

Merci d'avance.

Bonsoir,
Je termine l'année scolaire à Mayotte et l'on me propose d'enseigner au Collège français du Paraguay. Je serai donc intéressée par le document sur le syndrome paraguayen. Pourriez-vous me le faire par mail  ([email protected])?
Merci d'avance!

Bonjour j'ai dû me tromper d'endroit pour déposer mon message. Je serai intéressée pour lire "le syndrome paraguayen ". Pourriez- vous me l'envoyer que je puisse le lire avant de m'envoler le 28 mai pour le Paraguay svp merci beaucoup
Mail: [email protected]

Bonjour JC, j'espère que votre affaire rencontre autant de succès que votre texte :)
J'aimerais beaucoup pouvoir le lire moi aussi, j'espère que vous êtes encore actif sur le forum.

Voici mon email: [email protected]

merci d'avance!

Salut jp
j'aime beaucoup ta façon de voir les choses et il faut une belle dose de détermination  pour faire ce que tu as réalisé au paragay.mais j'aimerai avant tout lire ton syndrome.
Lorsque je suis a l.etranger et que l'on me demande comme est la France je réponds ceci .
Elle fait 1000 Kms de Long en large mais il faut moins d'une journée pour aller d'un bout à l'autre.
Ou que tu sois en FRance tu te trouves a moins de 30 minutes de tous(hôpital ,gare ecole supermarché,cinéma.....)
Mais nous utilisons de l.eau potable pour nos toilettes..........
Au plaisir de te lire
Voici mon mail:
[email protected]

Voi

Bonjour pourrais-je avoir votre texte ?

Dommage . Je ne l'ai jamais reçu. Pourriez- vous me l'envoyer?voici mon adresse: elisabeth _ [email protected]
Merci beaucoup

Bonjour, mon nom est Vincent, je voyage depuis les Etats Unis par la route, véhicule Dodge et petite remorque pour vivre simplement. Je suis au parc Manantial de Hohenau état Itapua, seul. Mon véhicule en réparation chez le mécanicien Oscar Ruschel. J'aimerais bien lire votre syndrome. Moi j'ai vécu au Chili ou j'ai une propriété actuellement haciendabellavista.cl cela a été très dur pour moi, ce pays. Je me suis fais bien avoir, trop gentil et trop large. Espère avoir de vos nouvelles
[email protected]

Bonjour,

Merci pour l'ensemble de vos contributions.

Pourriez-vous me faire parvenir le "syndrome paraguayen" à l'adresse suivante :
[email protected]

Vous remerciant par avance

Bonjour,
Je suis actuellement chef d'entreprise en France et mon affaire est en cours de cession. Je souhaiterais m'installer en Amérique du Sud (Argentine, Uruguay, Paraguay...). Pourriez vous me faire parvenir votre "mémoire" sur le "syndrome paraguayen".
Cordialement, Mr PAIN

En vue d'un retour en Amérique centrale où bien des problèmes sont similaires  j'aimerais bien lire le syndrome paraguayen .merci

Bonjour,
je vais peut-être partir m'installer à Assomption avec mes eux enfants dans le cadre d'un contrat avec une école française. Je lirais avec beaucoup d'interet votre syndrome parguayen. Pourriez vous me l'envoyer ? m@il:[email protected]
Merci par avance.