Sage-femme en Polynésie Française en 2013 :-)

Bonjour à tous !

Je viens vers vous pour avoir qqs informations en ce qui concerne le méier de sage-femme en Polynésie Française. J'ai vu qu'il y avait déjà des discussions à ce sujet mais elles commencent à dater, d'où ce petit message :-)
Je suis actuellement sage-femme dans une grosse maternité Bruxelloise (en salle d'accouchement) et je pense très sérieusement à partir en Polynésie Française.
Est-il compliqué de trouver du travail sur place ? Comment avez-vous trouvé votre job en tant que sage-femme ?
Niveau logement, est-ce compliqué ? La vie en colocation est-elle courante ?

A bientôt !

Céline.

Bonjour Céline et bienvenue sur Expat.com!

J'espère que vous aurez pas mal de témoignages.;)

En attendant, n'hésitez surtout pas à parcourir le forum.

Je vous souhaite bonne chance,
Harmonie.

Bonjour et bienvenue sur le forum,
Pour ce qui concerne la co-location, oui c'est une pratique assez courante et pratique pour se loger à moindre frais. Les maisons et appartements sont loués la plupart du temps déjà meublés et équipés.
Bon courage,
nana
Angéli

Bonjour
Es tu de nationalité française ou pas ?car cela change beaucoup de choses quant à la recherche d'un emploi ...
Bonne chance.
Laurence

Bonjour :-)
Oui je suis de nationalité française mais mon diplôme est belge... Mais c'est un diplôme reconnu en France et dans l'union européenne.
En quoi cela change-t-il quelque chose ?
Merci pour vos réponses :-)

Bonjour,

Tentez directement l'hôpital 

A bientôt
Stéphanie

Bonjour CélinetteBxl,

je suis auxiliaire de puériculture en maternité, actuellement en disponibilité et je souhaite moi aussi partir en polynésie en seconde partie d'année, dans le but principal de rencontrer une famille faa'a'mu pour adopter un enfant polynésien.
Je désire partir au moins 6 mois à Tahiti et espère trouver un poste d'auxiliaire à l'hopital, en creche ou ailleurs.
Si tu as des infos sur comment postuler avant de partir, si tu as des tuyaux ou aurte, je suis prenneuse!!!

Bonne chance à toi,
Amélie