Les Français à l’étranger, un atout pour la France

Bonjour à toutes et à tous,

j'espère que vous allez bien. Je fais circuler le communiqué suivant :

Communiqué et invitation – Colloque « Les Français à l'étranger, un atout pour la France »

2,5 à 3 millions. C'est le nombre de Français que l'on estime résider actuellement à l'étranger. Entrepreneurs, expatriés, étudiants, volontaires… pourquoi sont-ils partis ? Ont-ils un rôle à jouer pour leur pays d'origine ? Représentent-ils une fuite des cerveaux, des exilés fiscaux  ou au contraire, un intérêt économique pour la France ?

Aiment-ils encore d'ailleurs la France ?

Répondre à ces questions, comprendre les enjeux de la mobilité internationale, donner la parole à cette diaspora et affirmer haut et fort que les Français à l'étranger sont un atout pour la France, tels sont les objectifs d'Hélène Conway-Mouret.

La sénatrice et ancienne ministre des Français de l'étranger organise, le 5 octobre prochain, au Palais du Luxembourg, un colloque intitulé : « Les Français à l'étranger, un atout pour la France ». Evènement au cours duquel seront dévoilés les résultats d'un sondage inédit, réalisé auprès des Français à l'étranger, une enquête sur leur relation avec la France. 

Toutes les informations, le programme et les détails sont sur www.fe-atout.fr

Bonjour,

Evidemment que les francais a l etranger sont un atout pour la France !!!!

Ils font rayonner le,pays dans le monde.?.sauf dans le leur!!!! Qui leur supprime un tas d avantages et droits auxquels ils devraient avoir droit en tant que français, comme les residents...

Ben non, on leur a colle une etiquette de vache a lait...il suffit qu ils gardent un lien concret avec leur pays, pour qu on estime qu'ils doivent payer encore plus que les residents sans meme profiter des memes largesses...c est un comble!!!!

Les impots locaux, la scolarite, la sante, la retraite, les taxes, ...tout doit sortir de la,poche de l expat francais si il veut un jour pouvoir revenir chez lui en bonne et due forme...!!!

Un expatrié francais est un atout pendant et après son expatriation....il et sans doute un tout pour le pys dans lequel il vit, mais il acquiert egalemnt de quoi ensuite au retour partager son experience et faire evoluer son pays sur ce qu il se fait ailleurs....

Les residents ont une image erronee de l expatrie francais....je le constate a chacune de mes visites en France....ils sont percus comme profiteurs, comme riches, exiles iscaux ou autre debilites, toujours dans des lieux formidables, des chanceux, comme des genres de traitres....cette image me rend tellement triste et m enerve a la fois....NON un expatrie n est pas ca !!! Il faut regarder plus loin et plus en profondeur...avoir une vision logique des choses et de la vie, et de statuts de ces expatries...

Evidement alors que un pourcentage hallucinant de chomeurs ne souhaitent pas quitter ne serait ce que leur ville pour touver du travail, oui dans le pays,  on vient evidemment encore faire la fete aux expatries.....a qui on refuse d ccepter leur courage!!!!!

Si ces residents savaient un minimum la vie, les sacrifices et autres joyeusetés de la vie d un expatrie, certes ils ont choisi cette vie, quoique de nos jours, et bien sans doute ils aurraient un regard un peu plus juste ur la question...ils ecarquillent le yeux ceu qui s intéressent a la condition des expatries, et n aimerient pas etre a leur place....pourtant....c est  Schyzophrene....on veut de francais'partout dans le monde mais en meme temps on veut les mettre a part.....le montrer du doigt...

On se demande encore pourquoi il existe des cursus internationnaux dans les etudes en France, pourquoi,la France a opte pour la mondialisation et qu en meme temps elle puni ceux qui l appliquent.

Oui, pour ma part j aime mon pays, je compte bien y revenir, je suis francaise, mais de loin je déteste ce qu on fait de mon pays, alors je freine, je repousse.....des fois je me dis que la,ou je suis j ai une véritable valeur, chez moi c est l hypocrisie totale, l un dans l,autre de foi on se emande i on appartint encore a une contree...on balance entre l appatride et son origine......

Le savoir faire francais est tres demande partout dans le monde, il est exceptionnel, il n y a gure que la France qui n y attache mme plus d importance......

C etait mon coup de gueule....toutes,les etudes et sondages y changeront quelque chose? J en doute.....

lá je voit du grand allpice ,bie n oui on est des riches ,en argent ,non ,mais en savoir faire ,alors autant que l'étranger en profite puisse que la France ne nous aime pas ,on est des mauvais français ,alors quand je vais e n France ,je fait ce que j'ai a faire ,et quand je rentre en Allemagne ,je rentre chez moi .  jean  luc  ;)

Je n'ai rien à ajouter tellement ce brossage de contexte est autant réaliste qu'exact. :top:

"Barrez-vous", qu'ils disaient : le parcours du combattant de ces Français de retour au pays après être allés vivre à l'étranger

Les donneurs de leçon de mondialisation heureuse ne sont pas les payeurs : quitter la France est à la mode, mais revenir est compliqué. Le témoignage d'une jeune expat' revenue en France provoque beaucoup de réactions, et pose des questions.

"Barrez-vous !" est l'injonction à la mode, mais les problèmes de visas, les parcours professionnels, et le ressentiment anti-France n'étant pas tous également partagés, on en oublie qu'environ 270 000 personnes (estimation) reviennent en France chaque année.

Après quelques années passées au Canada, Anne-Laure Fréant est revenue en France. De deux ans de marécage administratif et dépressif dûs à une réacclimatation difficile, elle a tiré un livre de conseils aux "impatriés" et même un guide au retour, demandé par le gouvernement enfin sensibilisé à cette population mal connue.

Le succès de son post récent sur Médium, "Revenir en France : la galère silencieuse des expatriés" fait toucher du doigt que les "impatriations" sont des activités à hauts risques. Déjà, un autre de ses articles, "le choc culturel inversé, le tablou des expatriés" avait fait mouche sur les réseaux. Une communauté s'est formée autour d'elle, celle des "incompris du retour", des jeunes étudiants ou employés qui accumulent par goût, obligatio ou idéalisme, différentes expériences à l'étranger.

Globalement, on vous ment. Partir est génial, très bien accepté désormais. Mais la France n'aime pas tant que ça ceux qui reviennent. Surtout, elle ne les comprend pas. Hormis les cas de retour en famille "Ricorée", le retour est très dur, d'abord face aux proches. Côté famille, Ninon raconte : ''De mon expérience, les montagnes russes émotionnelles sont souvent provoquées par l'accueil qui nous est réservé : "alors cette fois tu vas peut-être enfin te poser ?" "Qu'est-ce que tu vas encore nous trouver comme prochaine destination ?" "La prochaine fois choisis au moins un pays qui fait envie / moins cher / plus proche / etc." On n'est pas encore rentré et on nous reproche souvent d'être parti par le passé, de potentiellement repartir dans le futur, et on n'est pas ancré dans le présent." David :  Je ne peux que plussoyer...après 3 ans au Japon, le retour (temporaire, je repars bientot) en France a été une horreur...pour dire, pendant les trois premiers mois de mon retour, je n'ai eu droit à aboslument rien, moins d'aide qu'un sans papier, je n'aurai pas eu mes parents, je me serais retrouvé à la rue. Pas le droit de prendre un logement car moins de trois mois sur le territoire, idem pour la secu, idem pour un boulot, bref, une belle galère...sans parler de la mentalité française, ou l'encouragemetn est surtout pour te tirer vers le bas plutôt que vers le haut'.

Une expérience à l'étranger est valorisante professionnellement ? Pas toujours. Les employeurs optent pour le simple et stable.  Pour les indépendants, bien entendu, l'accueil de l'URSAFF, des propriétaires d'appartements et des impôts vous rappellent que Balzac est français. Elizabeth confirme que les 'revenants' sont incompris même dans les entreprises.  'Bien souvent (la vie d'expatrié) est perçue par la société comme une vie dorée sous les cocotiers... Or les risques auxquels sont exposés ces salariés existent bel et bien. Les entreprises prennent le plus souvent en compte les risques physiques, moins les risques psychosociaux dûs à l'éloignement, les nouvelles organisations du travail...et le choc culturel inversé au moment du retour en fait grandement partie!." Clément acquiesce: "… 2 ans que je suis rentré du Canada, la première pensée qui me viens au réveil est d'y retourner.. gros décalage, limite t'arrives plus à te réintégrer dans ton propre pays".
Anne-Laure en veut aux spécialistes de l'expatriation des entreprises, souvent aveugles. ''Il est malheureux de voir les professionnels du monde de l'expatriation parler "d' addiction à l'international ": si les personnes qui repartent sont si nombreuses, ce n'est pas parce qu'elles sont « droguées » et qu'elles ont besoin d'une bonne cure de désintox pour rentrer dans le moule. (...) C'est au contraire parce que les personnes avec une intelligence culturelle (et émotionnelle) développées n'ont pas la possibilité de s'exprimer une fois rentrées en France. On leur demande de désapprendre au plus vite tout ce qu'elles sont devenues depuis plusi"eurs années pour les forcer à rentrer dans des cases qui de toutes façons ne les intéressent pas. La société française, très fermée sur elle-même, très conventionnelle, très hiérarchique, ne laisse pas beaucoup de place aux compétences relationnelles, à l'intuition, aux personnes dont l'identité s'est enrichie des nouvelles perspectives dont nous manquons pourtant cruellement.'

Elle insiste, et les commentateurs approuvent, que les risques psychologiques sont importants, et non pris en compte, d' 'une situation très inconfortable et difficile à gérer sur le plan psychologique: c'est comme retourner vivre chez ses parents à l'âge adulte alors qu'on mène une vie indépendante depuis plusieurs années " L'acculturation, la sensation de double vie très inconfortable, très souvent des dépressions, sont partagés par tous, et semblent faire partie de nouveaux effets collatéraux, encore mal compris de l'éparpillement des vies et des familles. Pierre trouve néanmoins que 'écrire un article sur la difficile réinsertion des expatriés français dans leur propre pays est limite 'obscène' par les temps qui courrent''. Et pour ces nouvelles générations très fournies d'expatriés,  Gaelle in Los Angeles, qui n'est pas encore rentrée, aimerait qu'on pense  à la précarité de son visa et de ses revenus, avant de la voir en princesse expatriée.  "Tous ceux qui disent “tu vis là bas ne te plains pas c'est génial qu'est ce qui pourrait être pire”, demandez-vous deux secondes si vous seriez prêt à partir seul à l'autre bout du monde sans aucun avenir certain. Pour beaucoup la réponse serait non !"

Read more at http://www.atlantico.fr/rdv/revue-blogs … IEFmsCb.99  jean  luc  ;)

Je suis bien d'accord avec ce texte !  Revenir en France après une expat c'est terrible !!! je l'ai vécu ! L'administration....Française, c'est une cata. je n'en dirais pas plus, votre texte reflète exactement ce que j'ai vécu !

Et bien c est dans mes intentions pourtant, et je suis d accord, la j avoue que c est pire que ce que je pouvais imaginer......meme en vivant dans des pays "difficiles" , rentrer pour moi c est en marche arriere toute!  J ai l impression, que meme etant francaise, je vais en chier grave, et je ne teouve pas ca normal du tout du tout!

J en suis au point de chercher une alternative....

personnellement je n'ai pas vécu ce traumatisme du retour
la France reste la France mais ça je le savais
pour moi,c'est un peu différent,ce n'est pas la France qui me  pose problème,
c'est tout simplement que je n'aime plus ce mode de vie à la française,la vie en Tunisie avec toutes ses imperfections me convenait,j'y étais heureux ,et je regrette mon retour

Bonjour Nougatine,

Oui je vous comprend et j essaye de me raisonner la dessus....et j ai bien l impression distante pour l instant que moi non plus je ne vais pas specialement apprecier ces changements de mentalites locales, et devoir m adapter aux nouveaux mode de vie,  que deja je ressens comme "coinces" et "
Limites"... ca me semble trop trop voulour etre carre et impose que ca me fait peur.....deja en cacances parfois je me demande ce que je fais la, alors un retour definitif......?

nougatine2015 a écrit:

c'est tout simplement que je n'aime plus ce mode de vie à la française,la vie en Tunisie avec toutes ses imperfections me convenait,j'y étais heureux ,et je regrette mon retour


C'est ce que dit le texte  , le retours peut avoir un impact sur la personne , le fait de regretté ,c'est déjas un début d'impact  . jean  Luc  ;)

Expatriée adolescente parce que mon père a eu un poste à l'étranger à l'autre bout du monde, départ difficile, mais adaptation très facile, mon retour 4 ans après a été catastrophique.

12 ans plus tard je suis finalement partie de mon propre chef. Moins loin, les retours en France ne sont que pour la famille. Mais je n'y reviendrais pas pour y vivre. Triste, mais pas complètement.

J'ai trouvé un boulot qui me plaît, même sans expérience, et pas un boulot par défaut.  J'ai trouvé une ville qui me plaît, sa plage à 10 minutes en bus, son centre ville à 10 minutes en bus, son immense parc à 10 minutes à pieds. J'ai trouvé un amoureux.

Bref, je fais ma vie ici et pas là bas. Ok j'avoue, le fromage me manque aussi  :D

un expat quand il part ,c'est pour lui , sa famille ,pas pour la France . Les Français nous aime pas , on est des priviligiers pour eux , oui avoir un bon boulot , c'est un privilége , moi j'ai plus ma place en France , on est devenues des parias . Réussir devient une honte en France . jean  luc  ;)

En 2008, j'ai voulu rentrer. La vie en Allemagne était très dure, je suis arrivé en 2006 avec une voiture, une valise et 200€, ce n'était pas la joie et je ne parlais quasiment pas allemand. Au lieu de repartir sur un coup de tête, j'ai pris trois semaines de vacances sans démissionner de mon petit boulot de garcon de chambre dans un hôtel et suis retourné en France où j'ai commencé les démarches de retour.

Résultat ? Nous somme millieu 2017, et je suis toujours en Allemagne. Ici, je peux postuler pour des poste avec des salaires de 30 000 à 40 000 euros sans trop de souci, en France en revanche (j'ai essayé récemment pour voir, un peu par jeu et un peu pour me confronter au marcher de l'emploi francais), on me refuse un poste en SAV payé au SMIC (j'ai longtemps travaillé en SAV international et en ai managé un sept ans) car je n'ai pas d'epérience significative.

J'ai passé 3 entretiens pour un poste similaire et d'autre pour des postes à responsabilité (tels que Ressources humaines poste pour lequel je suis compétent et qualifié). Au final ? Une proposition de STAGE en SAV, et un refus pour tous les autres postes. Je n'ai je cite, "aucune expérience significative". Voilà. Une entreprise voulait monter un service clientèle polyglotte pour gérer ses clients suisses et Allemands et le recruteur ne vois pas en quoi mes expériences correspondent à ce poste.

Si en plus, on prend en considération la galère pour toucher les aides au retour, c'est pas magique comme retour à la maison.

La france est fière de ses francais à l'étranger, ca fait égémonie, ca fait ambassadeur, mais l'état francais n'a rien a faire de ses ressortissants à l'étranger, et la société francaise semble incapable d'apréhendé le fait d'avoir vécu ailleurs. Je suppose que c'est ca la racine des refus que j'ai essuyé : une incapacité totale a comprendre mon parcour (alors qu'en Allemagne, on me répond de 1 à 3 jours après avoir postulé, prétentions salariales affichées á l'avance).

Parfois je me dis qu'il faut se faire une raison : si on pars et que l'on s'aclimate bien dans le pays d'acueil, il faut être conscient qu'il faudra sans doute se faire à l'idée de l'impossibilité du retour.

Ce n'est que mon expérience (et une expérience du coup), mais particulièrement sensible à ce sujet, je tenais à vous la faire partager.

J'avais oublié le titre du sujet quand j'ai écris XD.

Je doute avoir été ou être un atout pour la France, peut-être un jour, mais je n'y suis pas encore. Remarque j'aurai plus l'occasion de le devenir ici.

Bah, au moins ma famille est heureuse de me savoir heureuse.  A la lecture de ce topic, ce n'est pas toujours le cas  :(

zouzou1378 a écrit:

Bah, au moins ma famille est heureuse de me savoir heureuse.  A la lecture de ce topic, ce n'est pas toujours le cas  :(


trés heureux de vivre en Allemagne .jean  luc  ;)

Mad Jack a écrit:

En 2008, j'ai voulu rentrer. La vie en Allemagne était très dure, je suis arrivé en 2006 avec une voiture, une valise et 200€, ce n'était pas la joie et je ne parlais quasiment pas allemand. Au lieu de repartir sur un coup de tête, j'ai pris trois semaines de vacances sans démissionner de mon petit boulot de garcon de chambre dans un hôtel et suis retourné en France où j'ai commencé les démarches de retour.

Résultat ? Nous somme millieu 2017, et je suis toujours en Allemagne. Ici, je peux postuler pour des poste avec des salaires de 30 000 à 40 000 euros sans trop de souci, en France en revanche (j'ai essayé récemment pour voir, un peu par jeu et un peu pour me confronter au marcher de l'emploi francais), on me refuse un poste en SAV payé au SMIC (j'ai longtemps travaillé en SAV international et en ai managé un sept ans) car je n'ai pas d'epérience significative.

J'ai passé 3 entretiens pour un poste similaire et d'autre pour des postes à responsabilité (tels que Ressources humaines poste pour lequel je suis compétent et qualifié). Au final ? Une proposition de STAGE en SAV, et un refus pour tous les autres postes. Je n'ai je cite, "aucune expérience significative". Voilà. Une entreprise voulait monter un service clientèle polyglotte pour gérer ses clients suisses et Allemands et le recruteur ne vois pas en quoi mes expériences correspondent à ce poste.

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ton témoinage á sa place sur le forum allemagne , tu sait trés bien comme moi ,enFrance on veut des jeunes avec expériences et barder de diplôme , et pas les payer . un bac +3 en Allemagne sans expérience est payer comme un bac +5 en France avec 5 ans d#expérience .jean  luc  ;)

Je pensais surtout par rapport à la famille des expatriés dans un article que tu avais cité en février  :P
''De mon expérience, les montagnes russes émotionnelles sont souvent provoquées par l'accueil qui nous est réservé : "alors cette fois tu vas peut-être enfin te poser ?" "Qu'est-ce que tu vas encore nous trouver comme prochaine destination ?" "La prochaine fois choisis au moins un pays qui fait envie / moins cher / plus proche / etc."

zouzou1378 a écrit:

Je pensais surtout par rapport à la famille des expatriés dans un article que tu avais cité en février  :P
''De mon expérience, les montagnes russes émotionnelles sont souvent provoquées par l'accueil qui nous est réservé : "alors cette fois tu vas peut-être enfin te poser ?" "Qu'est-ce que tu vas encore nous trouver comme prochaine destination ?" "La prochaine fois choisis au moins un pays qui fait envie / moins cher / plus proche / etc."


la famille est le principale probléme effectivement  ,le conjiont qui suit peut partir e n vrille ,car souvent il doit mettre  son avenir pro en parenthése .  Avant de penser á la France ,mieux vaut penser á soit . jean  luc  ;)

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