Est-ce que c'est difficile de se loger au Canada?

Bonjour à tous!
Je viens d'être accepté à l'université de Sherbrooke au canada et la rentrée est dans  3 mois, j'ai peur d'avoir des difficultés à me loger car je ne veux pas aller sur le Campus( où les douches sont communes). Je voulais donc savoir si c'est difficile de trouver un logement quand on arrive sur place comme ça. Quels sont les papiers qui sont demandés , est ce qu'il faut un garant?
Merci à tous!

slt richan moi c'est kady je vis aux usa et j'aimerai aller a montreal on peut etre amie

Oui, ça va?
Oui j'aimerai bien aussi , mais tu sais je suis à deux heures de Montréal, tu vas quand au Canada?

bon j'attend ma green card je susi venu a usa cela fait 5 mois mais j'ai pas aime donc je veux me faire une amie au canada avant de partir

bibichekady a écrit:

bon j'attend ma green card je susi venu a usa cela fait 5 mois mais j'ai pas aime donc je veux me faire une amie au canada avant de partir


Pour venir au Canada vous devez avoir un visa.

moi je suis un jeune français qui est entrain d'aller travailler a Edmonton et je souhaiterais savoir par votre entremise les conditions de vie générales si vous en avez une idée....et comment s'y prendre pour réussir son adaptation socio-professionnelle ainsi que les démarches administratives necessaires

Bjr moi je suis olivier tu est tjrs au canada? j'aimerai bien m'y rentre aussi  tu voudras bien me dire si tu y est tjrs A+

Bonjour  toutes et à tous,

Juste un petit rappel que la question de Raichan 34 était "Est-ce que c'est difficile de se loger au Canada?" Ce serait bien qu'on puisse revenir sur le sujet de la discussion lancée. Et ainsi il vaudrait mieux éviter d'être en hors sujet sur ce fil-ci. ;)

Est-ce quelqu'un a des réponses à la question de Raichan 34?

Merci,

Shaazia
Equipe Expat.com

Plusieurs propriétaires profitent de la naïveté des immigrés en leur demandant des sommes extravagantes

http://www.journaldemontreal.com/2015/0 … es-faciles

Paiement de plusieurs mois de loyer d'avance, dépôts de garantie, supplément pour le ménage: des propriétaires montréalais violent délibérément la loi lorsqu'ils s'apprêtent à louer leur logement à de nouveaux arrivants, notamment des Français.

Au cours des derniers mois, Le Journal a réalisé une enquête auprès de 21 propriétaires montréalais, muni parfois d'une caméra cachée.
Les deux tiers d'entre eux ont imposé des clauses interdites par la loi à la journaliste française qui s'est fait passer pour une nouvelle immigrée à la recherche d'un appartement.
Approchés ensuite par une journaliste québécoise, la plupart des propriétaires ont soudainement assoupli leurs conditions.
« Stressant »
Le gérant d'un immeuble, rue Saint-Hubert, dans Rosemont–La-Petite-Patrie, a par exemple demandé un acompte de 500 $ et le paiement du dernier mois de loyer en argent comptant — le tout en plus du premier mois (715 $) — à la journaliste française.
En revanche, lorsque la Québécoise l'a contacté, M. Parent ne lui a demandé que l'acompte de 500 $ — qui demeure toutefois illégal.
Cette pratique à deux vitesses est d'autant plus discutable que beaucoup de futurs locataires étrangers ignorent tout de la législation provinciale en matière de logement.
Après avoir contacté plusieurs propriétaires, Le Journal a également recueilli plus d'une dizaine de témoignages de jeunes immigrés français qui ont eu des difficultés à louer un appartement.
Lorsqu'il est arrivé à Montréal en décembre 2011, Pierre (nom fictif) a dû donner 15 chèques postdatés à sa propriétaire, plus un 16e de 120 $ pour le ménage, systématiquement encaissé au terme du bail, bien qu'il eût rendu l'appartement lavé et propre.
« Vous les Français »
«J'ai été surpris. Mais quand tu arrives ici, tu ne sais pas trop, tu te dis que c'est comme ça que ça fonctionne», dit-il.
Selon lui, son ancienne propriétaire a profité de sa situation d'immigré. «Elle m'a carrément dit: “Vous, les Français, vous avez tous des comptes blindés”», rapporte le jeune boulanger,
Stéphane Labouille, un autre Français arrivé en septembre, s'est lui aussi heurté à quelques obstacles dans sa quête d'un logement. «Il fallait donner le mois de loyer à venir, plus deux mois de sécurité. Nous savions qu'ils n'avaient pas le droit de demander ça», confie-t-il.

Les demandes illégales faites par certains gestionnaires ou propriétaires n'ont malheureusement rien d'étonnnt. Le  Québec est le seul territoire dans lequel on demande pas de caution. Partout ailleurs au Canada il faut s'attendre à sortir le premier et le dernier mois de loyer et une caution équivalent à un mois de loyer, ce que les jeunes québécois qui partent ailleurs au Canada découvrent avec effarement.

En France c'est encore plus restrictif entre les demandes de vérification de revenus avec fiches de paie des 3 derniers mois (bonjour les travailleurs autonomes) les garanties la caution etc... Moi qui suis propriétaire au Canada, et travailleur autonome je ne serai jamais capable de me loger en France, même à plus de 60 ans, donc respectable ;-)))) car on refuserait mes déclarations de revenus du Canada. Les gestionnaires et propriétaires informés de ces disparités en profitent.

Par ailleurs locataire de nombreuses années avant de devenir propriétaire à Montréal, j'ai eu l'occasion dans mes recherches de visiter des appartements transformés en poubelle par les locataires, qui du fait qu'il n'y a pas de caution à fournir, se foutent complètement de l'état dans lequel ils laissent les lieux. Donc pour faire bref: Québec une fiche d'information à remplir; souvent une enquête de crédit demandé mais qui frappera un mur pour une personne nouvellement arrivée. Pas de caution à verser. Même si demandé, pas de numéro d'assurance sociale (NAS) à fournir et mieux de fournir un garant. Ceci dit la loi de l'offre et de la demande joue comme partout, et même si les discrimations sont interdites, ne soyons pas naïfs.