Maraîchage (recherche de fournisseur)

Bonjour,

Je vous conseille de prendre le temps de visiter la plaine du Cibao (bonao-santiago) et les deux villes de culture vivriere en region montagneuse que sont Constanza et Jarabacoa, vous trouverez aussi dans ces zones de nonbreux models de tunnels de maraichage, appelés ici "invernaderos"
quelques fournisseurs ICI .

FABIO213 a écrit:

et la difficulté pour s"approvisionner en fines herbes aussi.(basilic,persil,ciboulette,menthe..)

Pour le persil d'accord, la menthe et le basilic je les trouve à la SIRENA sous emballage comme en France, j'y trouve aussi différentes sortes de salades mais pas de frisées, c'est vrai que des légumes avec une certaine amertume comme la frisée, l'endive...j'en trouve pas, peut être du fait que c'est suite à une éducation du gout qu'on les apprécie. Le dominicain moyen n'est pas trop ouvert à la découverte d'autres gouts, il y a de grandes chances que j'en trouverai jamais.
Ciboulette, coriandre c'est au petit magasin du coin ou au marché.
Pour tout ce qui se rapproche de nos gouts culinaires, à priori cela vient de la région centrale de la RD.

C'est vrai qu'où je réside c'est pas la capitale du gout, quand on voit qu'ils rajoutent des boites de sardines à la tomate dans le dompline on a tout compris.
Sorti du yucca, platanos, riz, haricots, chulleta, salami, pollo et une tonne de bouillon cube, ce qui est commun pour nous c'est la cinquième dimensions pour la cuisinière dominicaine de base.
Bonne recherche et bons débouchés pour la production.

merci yan pour les infos sur les fournisseurs et phil pour ton analyse sur les gouts des dominicains.en effet j·ai vite remarquer qu·ils  ont tres peu de curiosite envers la cuisine etrangere mise a part la junk food americaine et les sempiternelles pizza .de toute facon je vise plutot le marche des hotels qui sont legion vers samana en leur proposant des legumes qui n"existent pas ici.
ayant suivit vos conseils je me trouve actuellement a constanza ou j·essaye d·obtenir des contacts et des prix mais aparemment les cours sont tres variables .cela me rappele un article d·un journal  local qui disait que les producteurs d·oignons etaient accuse  d"organiser la disette pour faire monter les prix.
.avant d"avoir une production a commercialiser je pensais acheter en gros des fruits rouges )fraises framboises et mures) car si vous en trouvez dans vos lieux de residence a san cristobal et a la capitale je n·en ai jamais vu dans la peninsule.que pensez vous de cette idee?
pour les hivernadoras je vois que beaucoup sont fait avec du bois et finalement comme les locaux ont un sens  pratique tres develope je vais peut etre m"en inspirer
PS: DESOLE POUR MON ORTHOGRAPHE MAIS JE NE MAITRISE PAS LE CLAVIER ESPAÑOL

Bonjour fabio213, j habite a Santo Domingo, je suis dominico francesa, j aime bcp les cuisines, . Et la cuisine gourmet. Les endives au four avec du lait et fromages , jambon, sel et poivre etc, par example j aprecie bien. J ai enmenee depuis la France quelques sachets des graines de haricots verts ,des endives... des carrots, des herbes (peut etre la frisee aussi. ) sont dans leur sachets. entre autres. Comme j aime bcp la cuisine francaise et regional, et international (je connais bcp des plats car c est un hobby, ) je me suis essaye  habitant en France a faire des plats variees pour recevoir les amis,  avec mon couple. Qui comme la plupart des francais connais bcp au sujet des vins. (Le Sylvaner, Gwervorstraminer, le vin nouveau, Le Beaujolais), Aussi comme c est dit en France: Il y a "un fromage pour chaque jour de l annee! "  L e fromage de chevre chaud dure avec son petit toast est un d eux, le Roquefort, etc. Aussi les plats dominicains sont tres interessants et tres bons, maintenont c est la saison de Habichuelas con dulce, pour Pac. Je souhaite Donc: trouver des investiseurs pour monter un restaurant a Santo Domingo, asap. Merci et a bientot.

Réponse à Phil, pour le fun (je n'ai pas retrouvé le blog sur "les pets de vaches"
Les scientifiques, la "vache du futur" et ses rots écolos -Publié par Sylvain Lacombe le Jeudi 10 Avril 2014 à 10h09

Un plan de réduction des émissions de méthane a été proposé fin mars par Barack Obama. Les vaches rejettent actuellement beaucoup de ce gaz malgré elles, mais les scientifiques espèrent bien pouvoir bientôt contrôler la teneur en méthane de leurs rots.
L'objectif fixé par Barack Obama à l'horizon 2020 est de parvenir à réduire de 17% les émissions de gaz à effet de serre des Etats-Unis. Dans ce cadre, il a proposé fin mars un plan de réduction des émissions de méthane (CH4). Ce gaz à effet de serre est 24 fois plus puissant que le CO2 et les ruminants – notamment les vaches – en sont d'importants contributeurs. Rien que sur le sol américain, le méthane représente 9% des émissions de gaz à effet de serre.

Pour les scientifiques, il s'agit donc d'arrêter de regarder les trains passer et de trouver une solution à ce problème : la teneur en CH4 des rots (et non des pets, comme on le dit souvent) des bovins devrait bientôt pouvoir être contrôlé.
Les chercheurs se sont donc lancés dans la quête de la "vache du futur" : celle qui n'émettra plus de gaz à effet de serre, qui sera consommable par l'homme, qui sera nourrie par des produits que l'homme ne mange pas, et qui - accessoirement - sera polie et ne rotera plus en public.

Il faut rappeler que 36% des émissions totales de CH4 proviennent du secteur agricole, principalement à cause de la production laitière. Lorsque le fumier émis par les vaches se décompose, ou lorsqu'elles émettent leurs fameux rots, les vaches dégagent du méthane.

Vaccin, sac à dos à gaz, compléments alimentaires

Concrètement, les chercheurs planchent actuellement sur l'alimentation de l'animal. Il s'agit de trouver une molécule ayant un effet direct sur les microbes qui produisent le CH4. Outre ces compléments alimentaires, la recherche s'oriente aussi vers la sélection génétique des animaux. En Asie, un vaccin, qui agirait directement sur les microbes à l'origine de la production de méthane, est à l'étude. La question de la récupération de gaz a aussi été soulevée. Une équipe argentine travaille sur un projet consistant à récupérer les émissions dans un sac à dos à gaz.

Toutefois, toutes ces esquisses de solution n'abordent pas la problématique du financement. En effet, tous ces projets ont un coût très important et demandent une importante technologie. La réponse au problème la plus simple – mais aussi la plus radicale - resterait de réduire drastiquement notre consommation de viande, fromage et yogourt.

A défaut de roter nos détracteurs,  en un mot, vont peut être cesser d'ergoter sur la teneur de ce forum, car il offre souvent une belle valeur ajoutée.

cathysuite a écrit:

Réponse à Phil, pour le fun (je n'ai pas retrouvé le blog sur "les pets de vaches"

C'était ici.

La réponse au problème la plus simple – mais aussi la plus radicale - resterait de réduire drastiquement notre consommation de viande, fromage et yogourt.

En cela les dominicains sont plus sérieux que nous, c'est aussi le manque de moyens, car on trouve quand même ces produits.
En plus ils consomment 5 fois moins de pétrole.
En 2030-2050, on fera comme eux et non l'inverse.

On se recentre sur le maraîchage.
Sur San Cristobal c'est de la culture tropicale, à part des pommes de terre et de la ciboulette qui entre dans la définition du maraîchage il n'y a pas grande chose. La semaine prochaine j'irai dans la sierra pour voir, la température moindre permet peut être des cultures différentes.