Bonjour, je suis né et j'ai grandi à Bruxelles jusqu'en 1992 après quoi j'ai commencé à goûter à l'Amérique du Nord. M'y suis installé en 1996 à Pointe-Claire sur l'Ile de Montréal. Naturalisé canadien en 2000, je me suis installé à Marseille en 2004 pour monter de plus en plus vers le Nord, région Carpentras-Avignon, Buis les Baronnies (2006-2010) Lyon (2008-2009) Paris (2010-2011). De retour à Bruxelles (quartier Métro Stockel) depuis octobre 2011 avec des A/R sur Paris selon les saisons/opportunités.
Miembro desde el 31 Enero 2011.
Venu passer 4 jours marathon à l'hôtel en août pour me dégoter une chambre à partager, j'ai trouvé dans le 19è proche de Crimée. Découverte en vélib puis en transports en commun, je ne suis pas déçu de l'atmosphère parisienne, je m'y plais. En février 2011, j'ai emménagé dans le Haut Ménilmontant du 20è, beaucoup plus sympa et mieux situé côté communications, reste plus qu'à se donner RDV pour aller prendre un verre et se rencontrer.
Les grandes villes m'ont toujours attiré par leur diversité tant humaine qu'architecturale, les odeurs, les couleurs, la bouffe, la gouaille,...s'y promener, s'y poser, s'y perdre volontiers.
Honnêtement, personne ne m'a forcé à venir, je connaissais Paris depuis mon enfance, je savais ce que j'allais y trouver,...ce qui me manque le plus, c'est sans doute d'avoir une bande avec qui avoir des activités sympas et découvrir de nouvelles choses mais tout arrive, voici mes premiers pas vers vous ! 06.10.38.33.38 Geoff
Issu d'un couple mixte franco-belge, je suis né à Ixelles, j'ai grandi à Woluwe St Pierre, Kraainem, Wezembeek-Oppem puis me suis installé à la Place Flagey...à Ixelles, c'est le hasard. Étudiant puis entrepreneur en quête d'ailleurs.
J'aime le pavé de la Grand Place, le quartier St-Géry, le Parvis St-Pierre, le Parc du Cinquantenaire et la Forêt de Soignes, 1000 autres lieux mais c'est d'y revenir qui m' a toujours fait le plus plaisir, tout reste plus ou moins pareil.
Certains quartiers sont devenus un peu impraticables à certaines heures, les travaux sont loin d'être efficaces mais tant qu'on y vit pas, ça va ;-)
Responsable de structures médico-sociales expérimentale. Accueil thérapeutique post trauma de mineurs placés par les juges et services sociaux.
Le cadre naturel, la simplicité désarmante à trouver des vues imprenables, des sentiers sans croiser personne pendant des heures et une heure après se retrouver dans la foule bigarrée de Marseille, Avignon, Arles, Uzes, Carpentras, Orange. Les gorges du Toulourenc, les Gouffres, les GR, le soleil, la pizza sur le rebord d'une fontaine à pas d'heure, le petit jaune chez Gégé, les histoires à dormir debout du Pierrot...
La mentalité parfois restreinte, le manque de recul et d'expériences, le pouvoir des Maires et des autorités dans les petits villages, la corruption.
Immigrant reçu depuis Bruxelles, amoureux de Montréal depuis 1992 avec de nombreux A/R. Six déménagements dont 5 collocations en 3 mois, du boulot en quelques semaines, une administration qui fonctionne et performe, un état qui ne se prétend ni providentiel ni répressif. J'ai repris des études, reconstruis ma maison, fondé ma famille et acquis largement plus que nulle part ailleurs.
La facilité d'y faire ce qu'on veut, y a qu'à...faut qu'on ! Quelque soit l'idée, vas-y mon (ma) chum ! Rien n'est impossible lol Les paysages blancs, la luxuriance en avril mai, se perdre dans les parcs, voyager chaque WE vers des destinations poétiques, partager une tourtière avec la sauce pickles maison en plein hiver après des heures dans la neige, partager une frite et un burger au frit'alors du Plateau avec Yannick ou Jean...assister à un spectacle au Cigare du Pharaon dans le Vieux Port de Montréal, manger des moules au Petit Moulinsart avec Eric...faire de la voile sur le Lac St Louis à Pointe-Claire, du ski-doo à Ste-Margerite, se jeter dans les feuilles à l'automne dans le Parc Oka, partir sur un coup de tête un WE à NY, Boston ou Washington DC.
Les moustiques en été ;-) L'a priori tenace qu'ont les québécois des français malheureusement renforcés par nombre de gros becs qui croassent par meute entière et font tellement honte aux gens simples et travailleurs qui voudraient juste s'intégrer. La difficulté de survivre à la superficialité des rapports, pour ceux qui y sont ou y ont vécu, tout est ben correct, on peut ben penser ce qu'on pense...encore faudrait-il être capable d'en parler , la dialectique n'a pas grand succès. Je suis prêt à en parler et même à changer d'avis, je ne parle que de mon expérience...